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Tata brands - Tata group

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Près d'un Indien sur trois vit sous le seuil de pauvreté Trois cent cinquante six millions d'Indiens – soit près d'un tiers de la population – vivaient sous le seuil de pauvreté en 2010. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Julien Bouissou Trois cent cinquante six millions d'Indiens – soit près d'un tiers de la population – vivaient sous le seuil de pauvreté en 2010. Mais celle-ci a reculé de 7,3 % par rapport à 2005, selon les chiffres publiés lundi 19 mars par le Commissariat au Plan indien. Selon Abhijit Sen, du Commissariat au Plan, les programmes publics de redistribution des richesses expliqueraient au moins pour moitié le recul de la pauvreté. Une inquiétude existe cependant sur l'avenir de ces programmes de redistribution : un budget d'austérité vient d'être adopté par le gouvernement pour réduire le déficit public, et, selon l'aveu même du Commissariat au Plan, près de 40 % des fonds qui leur sont destinés sont détournés par des fonctionnaires corrompus.

untitled carte lieux de fabrication iphone Miracle japonais Le Vietnam, eldorado des délocalisations Le pays se tourne de plus en plus vers les services à haute valeur ajoutée. Samsung, Canon, Foxconn, Neon Led, Hazan Group… qu'ils soient coréens, chinois ou japonais, tous les grands groupes asiatiques y sont installés. L'an dernier, plus de 200 sociétés nippones, confrontées aux conséquences du tsunami et de la catastrophe de Fukushima, ainsi qu'aux inondations en Thaïlande, sont parties s'implanter au Vietnam, y investissant 1,4 milliard d'euros. En juillet 2011, le français SEB y a racheté le numéro un local des ventilateurs, Asian Fan, pour en faire sa tête de pont en Asie. Si les premiers investissements étrangers au Vietnam concernaient des secteurs bas de gamme, dans le textile ou les chaussures notamment, et l'industrie légère pour profiter des bas salaires du pays, ils sont désormais de plus en plus orientés vers des domaines très sophistiqués et vers les services. Une main d'œuvre moins chère par rapport à la Chine Partenariats universitaires

La Chine délocalise à son tour sa production - Asie-Pacifique Il y a quelques années, la Chine était la destination privilégiée des délocalisations d'entreprises européennes et américaines. Avec l'augmentation des coûts en Chine un mouvement inverse s'amorce. Des entreprises chinoises produisent désormais en Ethiopie, Indonésie et Egypte. L'augmentation des salaires et des coûts de fonctionnement en Chine sont à l'origine d'un mouvement de délocalisation des entreprises chinoises. Ces dernières cherchent dans des pays à plus faible niveau de vie un moyen de préserver leur marge. En Ethiopie, le coût de la main d'oeuvre et la production locale de cuir ont permis l'implantation d'usines de chaussures qui seront vendues aux Etats-Unis et en Europe. Les délocalisations chinoises ont aussi pour but de rapprocher la production des consommateurs. Chronologie et chiffres clés

Baisse record de la population japonaise en 2013 - Zoom La population japonaise pourrait chuter d’un tiers entre 2010 et 2060 selon une estimation du gouvernement. Le Japon compte aujourd’hui 126 millions de personnes. En 2060, les plus de 65 ans représenteront près de 40% du total contre plus de 20% aujourd’hui. Certains pensent que le gouvernement laisse délibérement sa population diminuer plutôt que de s’ouvrir à l’immigration. Cela lui permettrait aussi de résoudre le problème du financement de son vieillissement. Selon la même étude du gouvernement, d’ici à 2060, le nombre d’enfants de 0 a 14 ans va être divisé par deux. Le Japon manque de crèches, discrimine les mères qui travaillent et les entreprises ne comprennent pas encore que c’est dans leur intérêt de rendre compatibles le travail et l’éducation des enfants.Le gouvernement préfère accorder des abattements fiscaux plutôt que des allocations aux rares Japonais qui font encore des enfants. Les femmes absentes de la sphère professionnelle

untitled Les approches japonaise et coréenne sur la politique familiale La Corée du Sud a fait ces dernières années l’expérience d’une « évolution de la famille » très rapide : baisse de la natalité, vieillissement de la population, croissance rapide du taux de mariages multinationaux. Une comparaison avec la politique familiale coréenne permet de faire apparaître certaines questions propres au Japon. La baisse de la natalité et le vieillissement démographique dans l’Asie orientale L’un des problèmes politiques communs à toutes les sociétés d’Asie orientale concerne la nécessité de se doter d’un système d’aide sociale efficace avec des ressources limitées, adapté à la baisse de la natalité et au vieillissement rapide de leurs populations. Pour affronter en douceur ces problèmes, la répartition des ressources financières doit être revue, à la fois à l’intérieur d’une même génération mais aussi entre la jeune et la vieille génération. L’évolution des indices démographiques diffèrent en phase et en amplitude d’un pays (ou région) à l’autre (Tableau 1).

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