La proxémie En fait, notre façon d’occuper l’espace en présence d’autrui est un des marqueurs de l’identité.Pour exemple, notre proximité spatiale est différente selon notre culture. Ce sont donc nos habitudes cultuelles qui nous font prendre différentes places spatiales. Hall a montré qu’il y avait autour de nous une surface, « une bulle », une zone émotionnellement forte ou encore un périmètre de sécurité individuel. Celui-ci est plus important en face de nous que sur les côtés ou par derrière. La dimension de cette bulle personnelle varie selon les cultures. La distance intime (entre 15 et 45 cm) : zone qui s’accompagne d’une grande implication physique et d’un échange sensoriel élevé. L’hypothèse qui sous-tend ce système de classification proxémique est la suivante : « La conduite que nous nommons territorialité appartient à la nature des animaux et en particulier à l’homme. La distance va être différente selon l’image que l’on se fait de l’autre.
La communication interpersonnelle Nous nous intéresserons ici à la Pragmatique (au Comment) de la communication interpersonnelle telle qu'elle a été étudiée et modélisée par l'école nord-américaine de Palo Alto sous l'impulsion du Professeur Paul Watzlawick. Nous montrerons en quoi cette façon de considérer le comportement de deux individus qui communiquent relève d'une approche complexe, où la circularité et la rétroactivité des échanges fait place à une causalité linéaire. Nous partirons du postulat que lorsqu'une communication entre deux personnes est établie, il n'y a plus ni commencement ni fin, mais un modèle circulaire d'échanges, dont ni l'un ni l'autre des interlocuteurs n'a la prééminence. Partant des modèles mathématiques de la théorie des groupes et des types logiques pour expliquer les différents types de changements et leurs implications dans le comportement humain, les auteurs en ont déduit cinq axiomes de base qui gouvernent toute communication. I - Les cinq axiomes de la communication "Euh.... Rejet Déni
En attendant la fin des vacances..... un petit snood sur mes aiguilles Avant la fin des vacances et en attendant les nouvelles collections de laine, on fait les fonds de tiroirs et on a trouvé cette belle laine! Une laine toute douce, facile à tricoter même par temps chaud.... Laine KATIA ARAN Ce modèle que je partage avec vous et que j'ai sur mes aiguilles : SNOOD et point irlandais (facile). Il vous faut trois pelotes de laine KATIA MERINO ARAN coloris 53 Echantillon : un carré de 10cm x 10 cm point de base 16 mailles et 20 rangs avec des aiguilles n°5 Une pelote de 100 gr qui fait environ 155 mètres. Le snood est composé de trois nattes et il vous faudra une paire d'aiguilles n°6 (pour plus de souplesse) une aiguille à double pointe pour laisser les mailles en attente pour votre torsade. Ce snood est une taille unique et mesure environ 33 cm sur 65 cm. Grille pour vous permettre de faire cette torsade. Ne soyez pas effrayée car cette natte est très facile à faire. Sur le rang n°3 vous ferez trois nattes de 18 mailles séparées par 4 rangs à l'envers. 1er rang :
Notions Attitude et comportement dans le rapport cause-effet : quand l’attitude détermine l’acte et quand l’acte détermine l’attitude 1Cet article propose de traiter de la relation cause-effet entre les attitudes et les comportements à travers deux champs théoriques classiques de la psychologie sociale expérimentale : la persuasion et la dissonance cognitive. La relation entre attitude et comportement occupe une place centrale dans la psychologie sociale. Cette discipline, majoritairement expérimentale aujourd’hui, étudie les comportements, les états mentaux et processus mentaux chez l’Homme en société. 1 Eagly et Chaiken (1993, p.1) dans leur ouvrage de référence sur les attitudes définissent l’attitu (...) 2Le concept d’attitude occupe une place centrale en psychologie sociale depuis les années trente et maintient encore aujourd’hui cette position. Figure 1 : Exemple d’une échelle de mesure d’attitude en psychologie sociale 2 Davidson et Jaccard (1979) ont pour exemple mesuré l’attitude de femmes à l’égard de la pilule con (...) Figure 2 : Changer l’attitude pour changer le comportement
Pourquoi est-il important de décoder le langage non verbal ? L’expression « non verbal » demande à être définie précisément.Dire qu’est non verbal ce que ne sont pas les mots revient à fabriquer une définition si floue qu’elle ne peut pas être opérationnelle. Le non verbal peut, sans difficultés, être regroupé en cinq grandes catégories de base : le périverbal,le para verbal,l’infraverbal,le supra verbal,le préverbal (1) L'identification de ces catégories permet de comprendre en outre, pourquoi plutôt que penser une science du non-verbal unique, il semble plus efficace scientifiquement de penser la réalité non verbale au croisement de disciplines diverses. Le périverbal peut être considéré comme la première dimension non verbale.C’est l'espace et le temps dans la communication. L'infraverbal comprend les codes non décodables consciemment, les odeurs, mais aussi les couleurs par exemple.Dès que nous parlons d'effet subliminal ou que nous évoquons les "effets d'exposition" "effets d'amorçage", nous évoquons en fait l'infraverbal. Éléments annexes :
Les 7 émotions universelles Ces derniers temps, je m’intéresse de près aux microexpressions. Largement médiatisées dans la série Lie To Me, série TV basée sur les travaux de Paul Ekman, il s’agit d’une expression faciale de très courte durée (moins d’une seconde) apparaissant généralement lorsque les enjeux d’une situation sont élevés. A la différence des expressions faciales, les micro-expressions sont totalement involontaires mais cependant, c’est là le hic, difficile à décrypter vu la brièveté du mouvement. En attendant un article plus fouillé sur les micro-expressions (et oui il y a pas mal de choses à raconter sur le sujet), je vous propose de découvrir un test sur le site de Paul Ekman visant à mesurer votre capacité à les décrypter. Si votre score est de moins de 40%, allez lire la suite de l’article où je vous donne les éléments clés des 7 émotions universelles du test (en anglais sad, happy, angry, contempt, surprise, fear, disgust) qui je l’espère vous permettront d’améliorer votre score. Loading ...
La culture d’entreprise : à quoi ça sert ? Si Carrefour peut être comparé à Auchan, H&M à Zara, ou encore la Macif à la Matmut, ces entreprises sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ? Eléments de réponse. Zoom sur les composantes de la culture d’entreprise La culture de l’entreprise, aussi appelée culture organisationnelle, se résume en un ensemble d’éléments qui définissent son fonctionnement, son identité, son esprit unique par rapport à ses concurrents. Intérêt de la culture d’entreprise La culture d’entreprise est primordiale pour permettre à l’organisation de se différencier. En termes d’image d’une part, elle présente des atouts que ce soit en interne ou à l’externe auprès des consommateurs. En termes de compétitivité d’autre part, en favorisant l’appartenance, la culture augmente les performances des salariés. À propos de l'auteur
L'engagement des salariés La société de conseil internationale Hay Group a réalisé une enquête, en partenariat avec le Centre for Economics and Business Research (CEBR) sur le turnover des salariés en France. Les principaux résultats sont les suivants : dans un premier temps, le turnover des salariés en France est en baisse depuis 2008 et restera faible jusqu’en 2015. Dans un second temps, ce taux de turnover repartira à la hausse. Rappelons ici la définition du turnover : il s’agit d’un indicateur qui traduit la rotation du personnel dans une organisation. L’étude de la société Hay Group indique qu’en 2013, le taux de turnover des salariés était de 13,7 % et que 30 % des salariés interrogés déclaraient vouloir rester entre 3 et 5 ans dans leur entreprise actuelle. Du point de vue des entreprises, le turnover des collaborateurs représente un coût qu’il est bien difficile de calculer. « Le bien-être » des salariés, leur engagement, sont à la fois un objectif personnel et un objectif stratégique managérial. M.
Les indicateurs de performance de l´entreprise Tous les entrepreneurs, dirigeants de TPE ou créateurs d’entreprise, gardent en tête de suivre, de maintenir ou d’améliorer les performances de leur entreprise : chiffre d’affaires, état des stocks, carnet de commandes, panier moyen, nouveaux marchés, nouveaux produits, … Pour mesurer efficacement la performance de son entreprise, l’entrepreneur doit mettre en place des indicateurs. Mesurer pour décider Les indicateurs de performance d’une entreprise sont à la fois un outil de mesure de la santé de l’entreprise et un outil d’aide à la décision. Ils touchent tous les domaines d’activité de l’entreprise : Ils permettent de connaître l’efficacité de la productionIls éclairent sur la qualité de la relation commerciale, du service clientIls mesurent l’image de marque et la perception de l’entrepriseIls fournissent des informations sur la qualité de servicesIls permettent de mettre en lumière le temps passé à corriger les erreurs, les mauvaises anticipations 1. 2. 3. 4.
ENTREPRISE : le profit, finalité essentielle mais pas exclusive « iprofield ENTREPRISE : le profit, finalité essentielle mais pas exclusive Publié le 19 mars 2014Mis à jour le 17 mars 2014 A la différence des autres organisations, les entreprises ont pour objectif principal de se faire du profit. Bien que cet objectif ne soit pas le seul pour celles-ci, il demeure néanmoins prioritaire à leur essor Pour une entreprise, la maximisation du profit ne peut pas en être le seul but. RSE, intérêt et contraintes Selon la Commission Européenne, la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) est l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales en plus de leurs relations avec leurs parties prenantes. L’intégration de la RSE aux finalités des entreprises Avoir une politique d’entreprise qui intègre le développement durable consiste donc à avoir une approche durable dans les trois domaines : économique, social et environnemental. Cédric KOIVOGUI WordPress: J'aime chargement…