untitled Open High Resolution Stereolithography, For Everyone by Justin Hawkins Stereolithography has been around for years. The art of taking uncured liquid resin and pulling out solid objects, while amazing, is not itself a new technology. In fact, its origin dates back to the seventies. Why then has such an amazing technology that has immense potential been so inaccessible to the general public? For the past year, the team of Pryntech has been working on an open hardware design for a high resolution stereolithographic printer. When the inventors were designing the printer, they put a lot of thought into where the hardware of this printer should come from. The printer runs off existing open source software used by existing FDM (Fused Deposition Modeling) printers. By keeping the design of the printer open, Pryntech is encouraging others to push the technology even further.
biologie amusante :La longue histoire de la glycémie 1 À la recherche du sucre sanguin 1. À la recherche du sucre sanguin Historiquement, le diabète sucré est l’une des pathologies les plus anciennement décrites. Pourtant, malgré des siècles d’études, il a fallu attendre les travaux de Claude Bernard au dix-neuvième siècle pour comprendre l’origine du sucre sanguin et le vingtième siècle pour décrypter la physiopathologie des diabètes et élaborer des traitements adaptés. Aujourd’hui, on compte en France environ 1,5 millions de personnes atteintes d’une forme ou d’une autre de diabète sucré et la prévalence des diabètes est en augmentation dans la plupart des pays, essentiellement en raison des mutations rapides dans les modes de vie. Cependant, contrairement au passé, les malades peuvent accéder aux connaissances les plus récentes sur leur mal, à des méthodes de prévention efficaces pour les cas les plus nombreux et à des traitements éprouvés. Le mot diabète vient du grec diabêtês qui signifie qui traverse, qui perfuse. Vers une meilleure connaissance des symptômes Matériel
Microsoft envisage une imprimante 3D d'objets électroniques ! Vidéo : Microsoft envisage une imprimante 3D d’objets électroniques ! Pourra-t-on un jour imprimer soit-même son smartphone ou sa montre connectée, sans rien comprendre à l'électronique ? C'est le rêve que fait Microsoft, qui a déposé un brevet sur une imprimante 3D capable d'assembler des composants électroniques et de programmer les micro-contrôleurs, pour faire exactement l'objet voulu par l'utilisateur. Science-fiction, ou bientôt réalité ? On savait Microsoft très intéressé par l'impression 3D, avec l'intégration de drivers d'imprimantes 3D dans Windows 8.1, et leur support en natif. La firme a en effet déposé un brevet (.pdf), qui vient d'être rendu public, dont le nom cache largement ses ambitions. Sur la base d'un "substrat" obtenu par différentes techniques, l'imprimante imaginée par Microsoft serait capable d'aller piocher les composants électroniques dont elle a besoin pour concevoir un objet de toutes pièces, de A à Z. Magique. Et pas totalement irréaliste. Lire
Capteur/Détection et mesure d'éléments ou de molécules — Wikiversité Une page de Wikiversité. Début de la boite de navigation du chapitre fin de la boite de navigation du chapitre En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Capteur : Détection et mesure d'éléments ou de moléculesCapteur/Détection et mesure d'éléments ou de molécules », n'a pu être restituée correctement ci-dessus. Sous ce titre énigmatique se cache une multitude d'applications allant du titrage d'une réaction chimique à la mesure de concentrations d'espèces ou molécules ou même d'organismes biologiques en solution aqueuse ou sous forme gazeuses. Ces capteurs se classent habituellement en 2 catégories arbitraires, les capteurs chimiques et les biocapteurs, la différence réside dans le fait que les biocapteurs intègrent des éléments biologique dans leur fonctionnement. §Capteurs chimiques[modifier | modifier le wikitexte] §En phase aqueuse[modifier | modifier le wikitexte] §La potentiométrie[modifier | modifier le wikitexte] Exemple H++ é ⟺1/2 H2 AgCl + é ⟺ Ag + Cl-
Australian police using 3D scanner to map crime scenes in minutes Feb.17, 2014 Police in the Australian state of Queensland has started using a handheld laser scanner to capture data and create a 3D map of a crime scene, including in areas where there is no GPS reception. The police use the Australian developed Zebedee laser scanner, a LiDAR scanner that has been in use across the world since 2010, primarily for environmental and architectural purposes, such as creating the first 3D map of the interior of the Leaning Tower of Pisa. Police will use the handheld Zebedee laser scanner to quickly generate 3D imagery of areas. Because the device doesn't rely on GPS, it can be used to map crime scenes in indoor locations and rough, natural terrain. In a paper published in 2012 Michael Bosse, Robert Zlot, and Paul Flick from the CSIRO outlines the design of the Zebedee: the Zebedee comprises "a 2D time-of-flight laser range scanner rigidly coupled to an inertial measurement unit and mounted on a spring."
Capteurs de glycémie On dispose actuellement de lecteurs de glycémie performants: ils ne nécessitent qu'une petite goutte de sang capillaire prélevée à l'extrémité d'un doigt et affichent un résultat fiable en quelques secondes. On peut ainsi multiplier les mesures et enregistrer les variations de la glycémie d'une personne tout au long de la journée. Les analyses dans les laboratoires sont cependants régulièrement obligatoires car le taux de sucre peut varier d'environ 10 % selon l'endroit où on prélève le sang. Dosage du glucose par la glucose oxydase? - Nécessitée d'une enzyme: glucose oxydase - Le glucose est oxydé par le dioxygène de l'air en gluconolactone avec production d'eau oxygénée (peroxyde d'hydrogène) Deux méthodes de mesure : - En présence d’un médiateur: modification de la couleur de l'indicateur : mesure colorimétrique - En présence d'une tension de polarisation : création d'un courant électrique : mesure ampérométrique
3D printing luxury watches: ALB & Sculpteo - Sculpteo Blog From the beginning, Vincent Candellé-Tuheille and Simon-Pierre Delord, founders of the brand, had the same approach: “ We wanted to create upmarket designs, using high quality components, such as Swiss movement, or great quality interlocking parts. It was essential to find a harmonization between art, craft and technology. The brand universe gradually found its way, but 3D printing quickly became an obvious choice”. Having both 3D modeling background, the designers knew it offers great liberty of creation. Which was essential for their watches. “ 3D printing allows us to model up, and work the matter without constraints. Now, they use 3D printed components to produce all of their watches. If you want to learn more about their adventure take a look at the watches available, or at their website. Vincent Candelle Thueille Simon Pierre Delord
OpenViBE : un logiciel pour les interfaces cerveau-ordinateur Traiter les signaux électriques liés à l'activité cérébrale et les traduire en commande pour des machines, c'est le rôle des interfaces cerveau-ordinateur. Le logiciel OpenViBE a été conçu pour faciliter l'utilisation de ces interfaces. Le logiciel OpenViBE permet aujourd’hui de concevoir, tester et utiliser facilement des interfaces cerveau-ordinateur. Qu'est-ce qu'une interface cerveau-ordinateur ? Une interface cerveau-ordinateur ou ICO (en anglais Brain-Computer Interface ou BCI) permet à son utilisateur d’envoyer des commandes à un ordinateur ou à une machine directement à partir de son activité cérébrale. On peut mesurer l’activité cérébrale à l’aide de systèmes électroencéphalographiques (ou EEG), qui utilisent des électrodes situées à la surface du crâne pour capter l’activité électrique du cerveau. Plus précisément, une interface cerveau-ordinateur peut être décrite comme un système en boucle fermée, composé de six étapes principales : Un domaine de recherche très actif
New photos of 10 'green' 3D-printed houses in Shanghai, built in 24 hours April 14, 2014 In a first, a Chinese company has advanced the science of 3D printing by printing 10 houses entirely out of recycled materials, in just under a day. Earlier this month after we posted "10 completely 3D printed houses appear in Shanghai, built under a day", some commentors are complaining that the 3D printed house looks strange and that isn't real 3D printing. We don't see what their problem is. The parts, such as frame, wall were printed separately. The parts dry quickly and can then be used to assemble to a complete house. This week the company behind the 3D-printed houses, Shanghai WinSun Decoration Design Engineering Co revealed more photos showing off the concept. 3D printed wall 3D printed frame An enormous 3D printer, measuring 32-meters long, 10-meters wide, and 6.6-meters high, was used to print each of the structural components of the houses. WinSun said the team finished the design of the special printer several years ago.
Quand le cerveau parle aux machines Une interface cerveau-machine (ICM) est un système permettant une communication à des patients souffrant de paralysie extrême. Pionniers pour imaginer des outils compensant leur handicap, ils se servent des sciences et technologies de l’information et de la communication dans leur intégration. L’électroencéphalographie (EEG) signifie littéralement « signature électrique de la tête ». Dans les années 1920, le neurologue allemand Hans Berger (1873-1941) a été le premier à enregistrer le signal électrique humain à partir de capteurs placés sur le scalp. Aujourd’hui, on sait que l’activité électrique du cerveau mesurée sur le scalp est due aux potentiels post-synaptiques des cellules pyramidales du néocortex. ICM : pour qui et pourquoi ? Le but d’une ICM est de permettre la commande d’une machine à partir de la « pensée », c’est-à-dire de signaux EEG. Comment marche une ICM ? Potentiel évoqué Imagerie motrice Un type d’ICM exploite l’imagination de mouvement. Quelques objectifs français
Impression 3D : 24 heures pour fabriquer 10 maisons à 4300 € pièce 24 heures. C'est le temps qu'il aura fallu à une immense imprimante 3D pour construire 10 maisons dans la ville de Shanghai. L'impression 3D est décidément sur tous les fronts. Après l'alimentaire, le vestimentaire, le médical, c'est un projet dans le bâtiment qui a vu le jour à l'initiative de la société Shanghai WinSun Decoration Engineering Co. En effet, la société chinoise a imprimé des pièces d'une dizaine de maisons de 200 m² chacune en seulement 24 heures. Pour réaliser ces pièces de maison à assembler, Shanghai WinSun Decoration Engineering Co a fait appel à une imprimante 3D de 32 m de long, 10 m de large et 6,6 m de haut. "Nous avons acheté les composants de l’imprimante à l’étranger, et l’avons assemblée dans une usine de Suzhou" explique Ma Yihe, CEO de Shanghai WinSun Decoration Engineering Co. Shanghai WinSun Decoration Engineering Co n'est pas la seule société à se positionner sur le terrain de la construction immobilière en impression 3D.