Historienvirtuel - Reportage choc : les conditions de vie des Juifs d'Europe au temps d'Hitler* | The Virtual Historian Imaginez-vous en janvier 1933. Adolf Hitler vient d'être nommé Chancelier de l'Allemagne. Quelques mois plus tard, à Dachau, Hitler ouvre le premier camp de concentration pour prisonniers perçus comme "ennemis du peuple". Puis ce sera le boycott des commerces juifs, l'interdiction d'enseigner dans les universités ou de travailler dans la fonction publique. L'Allemagne nazie tira parti de l'instabilité politique en Europe pour étendre ses ambitions territoriales. C'est à grand renfort de propagande et d'idéologie raciste et antisémite que l'Allemagne et ses pays voisins seront alors le théâtre d'une des plus sombres pages de l'Histoire du XXe siècle: la ségrégation et l'assassination systématique des Juifs d'Europe (plus tard connue sous le nom d'Holocauste ou de Shoah). Cette activité en est une d'apprentissage et de mise en perspective des réalités entourant les conditions de vie des Juifs de l'époque de l’Allemagne nazie.
Nuit et Brouillard 1 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est dit par Michel Bouquet. Le film tire son titre du nom donné aux déportés aux camps de concentration par les nazis, les NN (Nacht und Nebel), qui semblaient ainsi vouloir jeter l'oubli sur leur sort.
Fiches Thématiques L’invasion de la Pologne par l’Allemagne en septembre 1939 déclenche la Seconde Guerre mondiale. Soutenant son allié, la France s’engage dans le conflit et en sort vaincue : l’offensive des troupes du IIIe Reich, en mai 1940, sur le front occidental défait les armées françaises. Le 22 juin 1940, la France vaincue signe une convention d’armistice avec le régime nazi. Ses conditions sont sévères. Accéder à la thématique The Shoah Memorial Voyages en résistances Cours Histoire 1ère : Les combats de la Résistance (contre l’occupant nazi et le régime de Vichy) et la refondation républicaine. (1) Les combats de la Résistance (contre l’occupant nazi et le régime de Vichy) et la refondation républicaine. Introduction : La deuxième étude s’intéresse au moment qui va de la défaite de 1940 à l’instauration de la IVe République en 1946. Le choc de la débâcle de 1940 amène à une remise en cause radicale d’une république apparemment consolidée par la victoire en 1918, mais que les crises des années 1930 ont fragilisée. (Les valeurs de la République n’occupent cependant qu’une place modeste dans les motivations des premiers résistants à côté du refus de la présence de l’occupant et de la lutte contre le fascisme. L’idée républicaine sort donc relégitimée par quatre années d’occupation mais elle a subi une évolution. Problématique : En quoi la résistance est-elle à l’origine de la refondation de la République ? Frise chronologique page 313 I. A. 1. Lien vidéo débâcle française (3 min 40) : 2. B.
Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. Internés à Drancy, le père, la mère et les quatre enfants ont été déportés à Auschwitz. Informée de cette découverte, Stéphanie Trouillard, journaliste de France 24, a prêté main forte à Khalida Hatchy, une professeure de l’établissement qui souhaitait reconstituer le parcours de cette jeune fille.
La Shoah Mais la ruine de l'Europe, causée par la Première Guerre mondiale et renforcée par la crise économique mondiale de 1929, plongea dans la pauvreté un grand nombre de personnes. En 1933, l'Allemagne, comme l'Italie en 1925, porta au pouvoir des dirigeants fascistes qui proposaient des solutions radicales. Le parti nazi, abréviation de Parti national-socialiste, arriva au pouvoir. Les nazis gouvernèrent en prônant la haine et la xénophobie, et en favorisant un climat de peur. Leur postulat était que tous les individus n'étaient pas égaux, qu'il existait des groupes "supérieurs" et "inférieurs". Ils estimaient que certains individus, particulièrement les juifs, se situaient au bas de l'échelle humaine et étaient des êtres dangereux qu'il fallait éliminer physiquement : c'est la "solution finale", mise en place en 1942. Ces idées ont conduit au plus grand massacre systématique qu'ait connu l'humanité.
« Solution finale ». Expression et projet Cet article a été publié avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. L’expression « solution finale de la question juive » (Endlösung der Judenfrage) désigne, dans la langue nazie, le traitement des populations juives européennes, promises à la disparition. Cette disparition a revêtu, selon une chronologie fine, plusieurs modalités : l’émigration, l’expulsion-déportation, puis l’assassinat. Avant d’entrer dans la chronologie des politiques nazies, enjeu central de l’historiographie en ce qu’elle engage une interprétation globale du nazisme et du IIIème Reich, il est indispensable de revenir sur l’histoire de cette expression, née en Europe au XIXème siècle. Qu’est-ce que la « question juive » ? Qui dit « solution » dit « problème » ou « question ». Avec les progrès de l’émancipation, la « question juive » (comment faire des Juifs pleinement des citoyens ?) Quelle « solution » à la « question juive » ? L’antisémitisme nazi La politique nazie Le durcissement de 1938
Mémoires des déportations 1939 - 1945 KL-Natzweiler : le Struthof - Archives départementales du Bas-Rhin Année de réalisation : 2015 Niveau : 3e, 1ère et Terminale Matières : histoire, EMC Programme en vigueur : 2016 Le 1er mai 1941, au lieu-dit « le Struthof », les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL-Natzweiler. La décision d’implanter un camp à proximité d’une carrière de pierres, repérée par l’ingénieur Blumberg, date en fait de septembre 1940. Seul camp de concentration sur le territoire de la France actuelle, le camp du Struthof est implanté dans une Alsace annexée de fait par l’Allemagne hitlérienne, à la suite de la défaite de la France en mai-juin 1940. Le taux de mortalité qui y est atteint, supérieur à 40 % (75 % pour le camp de Mauthausen, en Autriche), en fait un camp de concentration particulièrement meurtrier dans le système concentrationnaire nazi. Mettre en relation cette source primaire avec des témoignages permet d’insérer les hommes dans les lieux et de mieux comprendre le système concentrationnaire. Objectifs pédagogiques du dossier Sommaire du dossier 1. 2.
Histoire de l'Holocauste | Éducation | Musée de l'Holocauste Montréal Ceci est un résumé du guide de référence Brève histoire de l’Holocauste. Les mots suivis d’une astérisque renvoient au glossaire du guide. Qu’est-ce que l’Holocauste? L’Holocauste (aussi appelé Shoah) est la persécution et l’assassinat systématique de 6 millions de Juifs, organisé par l’État nazi et ses collaborateurs de 1933 à 1945. En plus de commettre le génocide des Juifs, les nazis ont commis le génocide des Roms et des Sinti. Les communautés juives avant l’Holocauste* En 1939, les Juifs sont présents en Europe depuis plus de 2 000 ans et en Allemagne, ils représentent moins de 1% de la population totale du pays. La vie juive avant l'Holocauste (photos de l'activité Enquête dans les archives) Enfants juifs à la garderie, Paris, 1934. Élie Dawang et ses parents à Paris, 1938. Juif d’Europe de l’Est avant l'Holocauste Appel du shofar pendant les jours les plus saints du calendrier juif. Juifs de Pologne avant l'Holocauste Mariage de Stephan Molnar et Edith Gero, Budapest, Hongrie, 1932.
Auschwitz-Birkenau Virtual Tour - Auschwitz-Birkenau - Wirtualne zwiedzanie