mashable Eric Schmidt, Google's executive chairman and former CEO, has weighed in on a top European Union court's "right to be forgotten" ruling, which lets consumers ask Google to remove damaging links. And as you might expect, he's not a fan of it. “A simple way of understanding what happened here is that you have a collision between a right to be forgotten and a right to know. From Google’s perspective, that’s a balance,” Schmidt said during Google's annual shareholders meeting in Mountain View, California, on Wednesday. David Drummond, Google's chief legal officer, also told investors that he found the decision “disappointing” and that it “went too far." The European Court of Justice ruled on Tuesday that consumers have a "right to be forgotten" and can ask Google to remove links that are damaging to their reputation. In light of the ruling, The Telegraph reported that some European residents began asking Google to take down links within hours of the decision.
Le droit à l’oubli sur Internet : une idée dangereuse Dans son dernier rapport annuel, la défenseure des enfants aborde la question de donner aux adolescents la possibilité d’effacer d’Internet les données personnelles qu’ils peuvent regretter, en grandissant, d’y avoir mis un peu trop vite… Mais ce ne sont pas les seuls à avoir besoin d’être protégés dans ce domaine. Bien des adultes, notamment après une séparation ou un divorce, aimeraient pouvoir faire disparaître les images de leur vie privée passée qui peuvent s’avérer problématiques lors de la construction d’une nouvelle relation. On peut aussi évoquer les étudiants qui signent hâtivement des pétitions en ligne qui resteront plus tard accessibles à leurs éventuels futurs employeurs. Pourtant, la possibilité d’effacer est-elle bien la solution ? Si une technologie simple permettait à chacun de faire disparaître d’Internet ce qui lui déplaît, le risque ne serait-il pas que chacun fasse encore moins attention à ce qu’il y met ? A lire aussi :la tribune «Internet, oublie-moi !»
Google dévoile des outils de big data et de monitoring pour les entreprises La conférence annuelle des développeurs Google I / O s'est ouverte hier à San Francisco. Elle accueille plus de 6000 développeurs sur place. Google constate que cette année, 41% des participants représentent des entreprises qui développent des applications business-to-business. Le stockage illimité sur Google Drive Google se vante de compter 190 millions d'utilisateurs, particuliers et professionnels, sur son services Google Drive. La firme de Mountain View intègre en outre Quickoffice aux solutions Office afin de pouvoir ouvrir et éditer des documents Microsoft Office sur Android, Chrome et bientôt sur iOS. Des nouveautés pour Google Cloud Platform pour améliorer la productivité Google Cloud Platform a aussi son lot de nouveautés. Basé sur la technologie de Stackdriver (qui a récemment rejoint Google), Google Cloud Monitoring vise à améliorer la gestion des applications et des opérations de production. Dans le même temps, Google annonce plusieurs nouveautés dans le domaine du mobile.
Ados et Internet: le droit à l'oubli | Emily Turrettini Une nouvelle loi en Californie qui entrera en vigueur en Janvier 2015, donnera le droit au moins de 18 ans d'effacer - de manière permanente et par simple demande - leurs erreurs de jeunesse en ligne. Les commentaires embarrassants ou vulgaires, les vidéos ou photos compromettantes pourront donc disparaitre sans laisser de traces et les sites seront tenus d'offrir à leurs usagers le moyen de le faire. Ce droit à l'oubli, baptisé "eraser law" (loi-effaceur ou loi-gomme), a pour objectif de protéger les mineurs de leur propre comportement et éviter qu'ils traînent une mauvaise réputation sur Internet qui pourrait nuire plus tard à leur chance d'être accepté dans une bonne université ou d'être embauché, les conseillers en recrutement faisant systématiquement des recherches sur Google sur tout nouveau candidat. Facebook et Twitter permettent déjà à leurs abonnés d'effacer textes, photos et vidéos - mais ces données restent sur leur serveur.
Deepdream : Google et son intelligence artificielle ont créé un mouvement artistique, l'inceptionnisme CULTURE - Un nouveau mouvement artistique obsède les internautes et donne naissance à des milliers d'œuvres à l'esthétique très proche d'un trip sous acides. Son nom: l'inceptionnisme. Son créateur: Google, ou plutôt les ingénieurs du géant du Web qui travaillent sur une intelligence artificielle de reconnaissance d'images. Le mouvement a débuté avec un billet de blog, publié le 17 juin dernier par une équipe d'ingénieurs logiciel de Google. Leur but était, au départ, d'obtenir un système de reconnaissance d'images qui puisse, par exemple, identifier un chien comme tel. Ce qu'il se passe quand un ordinateur rêve Comme l'expliquait Rue89 au moment de la publication de ce billet de blog, les ingénieurs ont donné pour consigne à leur logiciel spécialisé dans la reconnaissance des animaux: "Qu’importe ce que tu y vois, je veux le voir encore plus." Voici le résultat obtenu à partir d'une photo de nuages: Ce qu'il se passe quand tout le monde peut rêver Un simple croissant: Un Dali: Une pizza:
Droit à l'oubli : les acteurs du web 2.0 dégomment la consultation de la CNIL La consultation de la CNIL sur le droit à l’oubli va marquer les mémoires. L’Association des services internet communautaires (ASIC), qui réunit dans ses rangs Google, Facebook, Microsoft, Deezer, eBay ou Wikipédia, vient de rendre publique sa réponse, tout en dévoilant ce document (PDF) que la gardienne des données personnelles souhaitait garder secret. Cet été, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a lancé une consultation auprès d’une série d’acteurs, dans laquelle elle proposait plusieurs pistes pour rendre effectif le droit à l’oubli. Ce futur droit est l’un de ceux qui devraient être reconnus par le projet de règlement européen sur les données personnelles. Ce texte en gestation à Bruxelles prévoit une législation unique à toute l’Union européenne. Autre chose : la gardienne des données personnelles compte bien coupler le droit au déréférencement et à l’effacement des caches des moteurs. Déficit de transparence Droit d’opposition Le spectre du filtrage
Droit à l’oubli : Google dépasse le million de liens à supprimer En mai 2014, la Cour de Justice de l’Union Européenne décidait de consacrer le droit à l’oubli numérique. Mis en cause, Google a rapidement installé une procédure en ligne pour que les citoyens européens puissent demander à la firme de Mountain View la suppression des références sur le moteur de recherche. Depuis un an, elle ne chôme pas comme l’indique le tableau de bord fournit par le géant du web. Depuis un peu plus d’un an, Google a reçu un peu plus de 282 500 requêtes pour la suppression de 1,02 million de liens (1 027 495 pour être exact). C’est la première fois que ce niveau dépasse le million de liens à supprimer. Dans le détail géographique, la France suit peu ou prou les statistiques européennes avec 52,3 % de liens non supprimés et 47,7% de liens effacés. Il est probable que ces requêtes ont vocation à se développer. A lire aussi : La CNIL presse Google à étendre le droit à l’oubliLe comité consultatif de Google cantonne le droit à l’oubli à l’UE
Internet : éternité virtuelle vs mort numérique La Cnil a publié coup sur coup, les 29 et 31 octobre, deux intéressants articles intitulés respectivement "Mort numérique : peut-on demander l’effacement des informations d’une personne décédée ?" et "Mort numérique ou éternité virtuelle : que deviennent vos données après la mort ?" et qui évoquent cette situation étrange de sites ou de blogs qui persistent en ligne après la mort de leurs auteurs, simplement par absence de notification du décès de ces personnes. C 'est un des aspects ultimes de l'e-réputation (cyber- ou web-réputation, ou encore réputation numérique) d'une personne. Le phénomène n’est pas forcément que sur Internet et chacun sait que longtemps après la mort d’une personne, les entreprises de démarchage par correspondance continuent d’envoyer des courriers postaux aux défunts, tant que quelqu’un ne leur a pas notifié le décès de la personne ou formulé une simple demande de radiation. Le concept de mort numérique et ses incidences juridiques Un mini-guide des démarches
Pourquoi BNP Paribas s'allie à Facebook, Twitter, Google et LinkedIn - Les Echos Conso - Distribution Eleveurs : l'Etat débloque 600 millions d'euros Le plan d'urgence aux éleveurs présenté par le gouvernement va permettre de restructurer leurs dettes à moyen et long terme, promet Stéphane Le Foll. Le... Sept questions clefs pour comprendre une tempête Les producteurs de viande bovine, de porc ou de lait, affrontent une crise profonde. Lavazza remporte les cafés Carte Noire EXCLUSIF Au terme de mois de volte-face, l’industriel italien a remporté la marque française pour un montant d’un peu moins de 800 millions d’euros, de...
La Californie reconnaît le droit à l'oubli sur Internet pour les mineurs A partir de 2015, les jeunes californiens pourront faire disparaitre des informations ou contenus postés sur le Web. La Californie se dote d'une législation sur le droit à l'oubli sur Internet. Cette loi, votée le 23 septembre, entrera en vigueur, le 1er janvier 2015 et permettra aux adolescents de supprimer leurs traces numériques : photos, commentaires, données personnelles... Tout pourra être supprimé des serveurs des sites Web si un mineur en fait la demande. Les jeunes de moins de 21 ans pourront ainsi, selon la loi, "retirer ou exiger le retrait d'un contenu ou information posté sur un site Internet, un service ou dans une application par le mineur, sauf si ce contenu a été posté par un tiers". Cette loi représente tout de même un premier pas vers la reconnaissance du droit à l'oubli sur Internet, bien qu'elle ne concerne pour l'instant que les personnes mineures.
Google: How Pay-per-Click Ads Are Taking Over Search If case you haven't noticed, pay-per-click ads are slowly taking over Google's search engine results. That should come as no surprise since approximately 97% of Google's revenues are generated by its core business, search engine advertising; Google is understandably protecting and extending its revenue turf. If you're a business that depends on search ads to drive traffic, you probably see that as a good thing. If you're a business that depends on organic, unpaid search results to drive traffic, you've undoubtedly seen a steady decline in visitors and sales. "The click-through rate of paid search advertisements on Google now outnumbers 'free' organic search result listings by nearly a 2:1 ratio for high commercial intent keyword searches conducted in the U.S.," says Larry Kim, the founder and Chief Technical Officer of WordStream, a PPC technology and search engine marketing software company that just published some research on the state of Google search. Why?
article très intéressant !! by mograbi_groupe1_droit Mar 5