About Team TiSA The TiSA Business Coalition, or “Team TiSA”, is dedicated to promoting and advocating for an ambitious Trade in Services Agreement which eliminates barriers to global services trade, to the benefit of services providers, manufacturers and farmers, and consumers globally. Team TiSA will advocate for an agreement that builds on the most robust and ambitious aspects of current agreements with respect to rules and market access commitments. Further, Team TiSA will promote an agreement which promotes transparency, predictability, and a level-playing field for services providers. A full description of Team TiSA's mission and the benefits of TiSA is available in PDF form Structure A successfully completed agreement would reap benefits to firms across a wide variety of economic sectors. CitigroupIBMLiberty MutualMetLifeUPSWalmart The co-chairs will assist in engaging with businesses, U.S. and foreign governments, and the public to support the TiSA negotiations. Activities
Stop TTIP CETA TISA TiSA : un accord géant de libre-échange en discrètes négociations Réunis à Paris mardi 8 juillet pour préparer le prochain volet de la régulation financière européenne, les représentants du monde financier ne semblent pas être particulièrement au fait des négociations secrètes qui pourraient demain bloquer toute volonté régulatoire de 50 des plus grandes économies mondiales. Une perspective nommée TiSA, pour Trade in Services Agreement, ou Accord sur le commerce des services en français. WikiLeaks a fait fuiter le mois dernier un document de travail datant d'avril 2014, portant sur le chapitre des services financiers. S'il ne s'agit pas du texte définitif, puisque les négociations sont encore en cours, il permet de se faire une idée de ce à quoi pourrait ressembler cet accord de libéralisation déjà tant décrié. C'est quoi l'idée ? TiSA est une négociation commerciale lancée début 2013 entre 23 Etats, qui se baptisent eux-même les « très bons amis des services », à l'initiative des Américains et des Australiens. Pourquoi un tel accord ? Pas totalement.
Des négociations internationales secrètes sur les services, dévoilées par Wikileaks Un traité international négocié discrètement entre 50 pays, qui vise à libéraliser le marché des services et empêcher toute régulation du secteur financier ? Après TAFTA, les Etats-Unis et l'Union Européenne vous présentent TiSA. Vous n'en avez jamais entendu parler ? Pas étonnant : les débats sont confidentiels et aucun grand média ne s'était encore penché sur la question, à laquelle L'Humanité consacre sa Une d'aujourd'hui. L'opacité des débats sur le traité transatlantique (TAFTA ou TTIP, @si en parlait ici et là) vous a choqué ? Attendez un peu de voir son petit frère : TiSA, que présente Bastamag. > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Les 50 pays qui négocient TiSA représentent 70% des échanges mondiaux de service (Source : Département du commerce australien) Des privatisations irréversibles Plusieurs ONG dénoncent ainsi les effets pervers qu'un tel accord pourrait avoir sur les services... publics. Un accord secret (jusqu'à Wikileaks)
Le Grand Marché Transatlantique contre les peuples. Les bonnes raisons de stopper TAFTA! Non au Traité Transatlantique | Non au Grand Marché Transatlantique – StopTAFTA – Non au TTIP – Non au PTCI Le Grand Traité Transatlantique (#TAFTA) expliqué aux nuls Europe Bien caché derrière cette campagne européenne calamiteuse, on commence à entendre en sourdine une inquiétante mélodie… des acronymes obscures : TAFTA. GMT. Le TAFTA, kézako ? Derrière le TAFTA, on retrouve l’idée tenace de mettre en place une zone de libre échange transatlantique. Cela nous concerne-t-il tous ? Ce Traité ne concerne pas uniquement les politiciens et les chefs d’entreprise. Faut-il dire NON au TAFTA ? TAFTA veut harmoniser les normes existant aux États-Unis et en Europe. On le saurait si les accords commerciaux se préoccupaient de notre santé. Accepter ce Traité, c’est ouvrir les portes à un cheval de Troie dépossédant les « élus » de leurs capacités à poser des garde-fous aux désirs cupides des multinationales. Les « élus » pourront-ils freiner le TAFTA ? Cet accord garantit des conditions de commerce optimales dans toute la zone du monde dit « occidental ». Le TAFTA retirerait le peu de souveraineté politique qui restait au peuple. Pourquoi vouloir du TAFTA ?
Accord économique et commercial global Accord économique et commercial global L'accord économique et commercial global (AECG)[1],[2] (en anglais : Comprehensive Economic and Trade Agreement, CETA ; en allemand : Umfassendes Wirtschafts- und Handelsabkommen) est le traité établi entre le Canada d'une part, et l'Union européenne — et ses vingt-sept États membres dont le Royaume-Uni — d'autre part[3], dont les négociations sont conclues le 18 octobre 2013[4] et qui est signé le 30 octobre 2016 par le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, et le président du Conseil européen Donald Tusk[5]. Avant sa mise en œuvre intégrale, « le texte de l'entente doit être ratifié par les parlements canadiens et ceux des vingt-huit États de l'Union européenne[4] ». Pour son initiateur Jean Charest, cet accord est la « grande porte d'entrée pour les Amériques », ainsi qu'une « voie de passage pour les entreprises qui veulent investir au Canada tout en ayant un accès à l'Europe »[11]. Histoire[modifier | modifier le code]
UE et USA concluent le deuxième cycle de négociations transatlantiques Du 11 au 15 novembre dernier s’est tenu à Bruxelles le deuxième cycle de négociations transatlantiques visant à créer une vaste zone de libre échange entre les États-Unis et l’Union européenne (dit « TTIP »). La Commission européenne a publié un communiqué de presse présentant les différents secteurs évoqués lors de ces négociations. Comme tous les documents publiés au sujet du TTIP sont en anglais, je vous en propose ci-dessous une traduction. Les personnes en recherche d’informations précises sur le contenu et l’aboutissement des discussions seront cependant déçues. Pour information, le blog ContreLaCour tient une revue de presse quotidienne regroupant, autant que faire se peut, sur le TTIP. Vous pouvez consulter le journal ici, ou encore vous abonner à la lettre d’information pour recevoir les articles par email. L’Union européenne et États-Unis concluent le deuxième cycle de négociations du TTIP à Bruxelles Merci d’avance à tous ceux qui publient/relaient mes articles.
Le projet de Traité transatlantique traduit en français Jeudi 27 février, le journal en ligne allemand ZEIT ONLINE a publié une version fuitée du projet de traité transatlantique. Celle-ci, traduite ci-dessous en français, date du 2 juillet 2013, soit quelques jours avant le lancement des négociations. Pour rappel, le mandat de négociation octroyée à la Commission européenne par les ministres du commerce a été validé lors du Conseil du 14 juin 2013. Ce projet d’accord constitue donc la base de discussion établie par la Commission européenne en lien avec les partenaires américains et les entreprises privées. Il a donc vraisemblablement évolué au cours des trois cycles de négociations qui se sont tenus depuis juillet 2013. Ce n’est qu’une petite partie du projet d’accord, celle relative aux services, au e-commerce et aux investissements. Le chapitre 1 pose les grands principes et les définitions des termes clés de l’accord. Le chapite 2 traite de la libéralisation des investissements. Le chapitre 6 concerne le domaine du commerce électronique.
Accord de libre échange UE-Canada : "le chômage pourrait baisser..." À quoi sert l’accord de libre échange avec le Canada ? Un accord de libre échange fait baisser les barrières douanières, les taxes, harmonise des normes, relève certains quotas. Il doit permettre en théorie de faciliter l’échange de bien entre deux États où zones économiques. Il élargit le marché. Sur le papier donc, une entreprise française aura plus de chance de vendre ses produits au Canada et inversement, une entreprise canadienne en Europe. Sur place en France, les entreprises françaises auront, dans les secteurs concernés, plus de concurrents canadiens ; au Canada, les entreprises canadiennes, plus de concurrents européens. C’est d’ailleurs toute la question posée par cet accord aux producteurs de viande français et européens, ainsi qu’aux producteurs de fromage canadiens, peu enclins à se mesurer à la féroce concurrence industrielle qui existe de l’autre côté de l’océan Atlantique.
Entre le TTIP et l’Europe, il faut choisir Opinions Une opinion de Pierre Defraigne, directeur exécutif de la Fondation Madariaga-Collège d’Europe Les révélations Snowden auraient pu éviter à l’Europe un faux pas majeur et démentir la chronique d’un fiasco diplomatique annoncé, en l’occurrence la négociation d’un accord bilatéral de libre-échange avec les Etats-Unis, le TTIP. Car du moment qu’ils découvrent que la lutte contre le terrorisme sur la Toile par la NSA servait aussi bien à espionner madame Merkel qu’à capter les secrets industriels et commerciaux de ses alliés et concurrents, les Européens réalisent aussi toute l’ampleur des différences qui nous séparent des Etats-Unis. Pour les Américains la sécurité prime sur la liberté davantage que pour les Européens; ensuite la NSA échappe au contrôle du Président et du Congrès; et enfin les USA, comme protecteurs bienveillants, imposent leurs propres normes éthiques à leurs alliés pour en retirer des profits économiques et des informations politiques stratégiques à leurs dépens.
Le traité transatlantique expliqué par les lobbyistes, c'est lol ! Les négociations portant sur le traité de libre-échange transatlantique se déroulent dans le plus grand secret. Aussi est-il toujours intéressant de jeter un œil aux quelques éléments et arguments diffusés au grand public. Et notamment par les lobbyistes. Comme le Transatlantic Buisness Dialogue (Dialogue économique transatlantique) qui est une belle organisation fondée en 1995 réunissant des dirigeants américains et européens, essentiellement de multinationales. Ces « obstacles » ne sont pas clairement nommés, mais comme nous sommes un tantinet pointilleux, nous nous permettrons d'en citer quelques-uns : normes salariales, sociales, sanitaires, phytosanitaires, alimentaires, environnementales... Car il nous faut bien comprendre que « nous vivons aujourd'hui dans un monde où il n'y a plus de frontières ». D'un côté, on nous explique qu'il n'y a plus de frontières, de l'autre on nous assène qu'il y a encore trop de barrières. Prenons l'exemple de la régulation du marché.