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B04 | Beaufort 04 Garbis Aprikian Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Garbis Aprikian, né à Alexandrie en 1926, est un musicien issu de la diaspora arménienne. Il a composé de nombreuses œuvres vocales et instrumentales où la technique musicale occidentale (contrepoint, fugue, .…) se marie aux mélodies arméniennes. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Alexandrie, Garbis Aprikian participa très jeune à la vie culturelle et artistique de cette ville cosmopolite. Il fait ses études primaires à l'école nationale arménienne « Boghossian », puis au Collège américain. En 1948, Garbis Aprikian fonde le chœur mixte Hamazkaine avec lequel il donne, à Alexandrie et au Caire, une série de concerts. Le chœur mixte arménien de Paris Sipan-Komitas, le sollicite alors pour remplacer Kourkène Alemshah, chef et compositeur de talent disparu à la fleur de l'âge. Œuvres[modifier | modifier le code] Créations[modifier | modifier le code] Harmonisation-orchestration[modifier | modifier le code] De source populaire : De Komitas :

H-MAN | La nouvelle série OVNI ! Kyoto Embroidery - Google Arts & Culture Embroidery, one of the world’s oldest decorative techniques, was introduced to Japan in the sixth century, about 1,500 years ago. It first arrived in Japan in the form of embroidered Buddha images when Buddhism was introduced to Japan. The oldest surviving embroidery work in Japan is the famous Tenjūkoku shūchō (Embroidery of Long Life in Heaven, owned by Chūgū-ji Temple) commissioned by Prince Shōtoku’s wife Tachibana no Ōiratsume in memory of the Prince after his passing. Embroidery techniques were brought to Kyoto when the capital was transferred there in 794, thereby establishing the foundation of Kyoto embroidery tradition, which continues to today. During the Heian period when native Japanese culture flourished, embroidery was widely used as to decorate clothing such as elements of the jūnihitoe (twelve-layered ceremonial robes worn by female aristocrats).

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