CYBEDROÏD – Aria à la BNF Du 20 Mai au 7 Juillet Aria était présente à l’espace « Labo » de la bibliothèque François Mitterrand (BNF / Paris) Cette animation était une expérimentation originale spécialement conçue pour la Bibliothèque nationale de France et imaginée, entre autre, pour interagir avec le public en utilisant des contenus sélectionnés dans Gallica (Base de données comprenant plus de deux millions d’ouvrages). Aujourd’hui, Aria est reparti au « Labo Cybedroid » pour un check up intégral après un mois et demi d’exhibition intensive. Il est temps pour nous de faire un bilan pointant les réussites, les problèmes et les pistes d’amélioration de cette expérience inédite. L’espace « Labo » de la BNF est un espace dédié aux nouvelles technologies numériques au service de l’apprentissage et la lecture. Ainsi aux côtés d’Aria, était présentés des liseuses électroniques, des interactions en réalité augmentée, Un écran tactile collaboratif de 2m de diamètre… Les réactions du public
Avatar, humanoïde... à quoi ressembleront les robots dédiés au tourisme ? Nous avions vu dans un article précédent les deux grandes tendances de l'interaction (lire article) : l'avatar, à travers lequel un humain interagit à distance avec vous, et un robot autonome qui se sert de l'intelligence artificielle et du cloud pour pouvoir vous répondre. Cette fois-ci intéressons nous à la forme que peuvent avoir ces robots d'accueil. Nous pouvons les classer en deux grandes familles, le robot humanoïde et le robot qui ne l'est pas. Est considéré comme humanoïde tout robot dont l'apparence générale rappelle celle d'un corps humain. Les humanoïdes Parmi les robots humanoïdes qui sont utilisés dans l'accueil des publics, il existe Pepper, une tête avec des yeux, deux bras, un tronc, des hanches, pas de jambes mais un socle avec des roues. Pepper accueille les clients dans les boutiques Nespresso au Japon - DR www.aldebaran.com REEM guide les visiteurs Reem vous accueille et porte vos bagages - DR pal-robotics.com Les robots-serveurs Les "actroïdes" Autres articles
Rencontrez Nao, le robot chroniqueur de Salut les Terriens, l'émission d'Ardisson Assis sur un tabouret face à une table en bois, Nao - c'est le nom que l'entreprise Aldebaran a donné à son robot -- a l'allure d'un élève de maternelle, en beaucoup plus petit tout de même (58 cm) et en plus léger (5 kg environ). L'automate orange et blanc cherche encore ses mots, apprivoise la lecture et l'écriture. Debout face à lui, Vincent Dubois, 9 ans. Cet amateur d'intelligence artificielle a les yeux grand ouverts: c'est son premier face-à-face avec un robot humanoïde. Pour engager la conversation, Vincent doit faire le premier pas. Comment peut-il comprendre l'enfant ? Malgré sa mémoire limitée, l'automate a réponse à tout. La machine assise devant le Vincent, elle, est paramétrée pour apprendre l'arithmétique aux enfants.
Intelligence artificielle : ce que voient les machines Si des programmes sont désormais capables d’identifier des objets et des visages dans des images, d’énormes progrès restent à accomplir avant les premiers robots autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Cet article fait partie d’une série consacrée à l’état des lieux de l’intelligence artificielle. Les robots humanoïdes de science-fiction ne pourront pas exister sans être dotés d’un système leur permettant de « voir » correctement leur environnement. Et pour y parvenir, caméras et capteurs sont loin d’être suffisants : ils ne font que transmettre des données brutes, comme des pixels, à la machine. Mais celle-ci doit ensuite être capable de les interpréter et de les comprendre : un défi complexe, sur lequel travaille tout un pan de la recherche en intelligence artificielle (IA). Apprendre à reconnaître les formes Pour y parvenir, les spécialistes de l’IA tentent d’apprendre aux machines à reconnaître ces formes grâce à l’apprentissage supervisé. En bref :
Le très bref retour de Tay, l’intelligence artificielle controversée de Microsoft Après ses propos racistes, ce programme avait été mis hors ligne par Microsoft. Il est réapparu mercredi quelques minutes, et a de nouveau publié des messages problématiques. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Yay, Tay est de retour ! Voyons si nous pouvons éviter de la transformer en Hitler cette fois. » Mercredi 30 mars, l’intelligence artificielle conçue par Microsoft pour échanger avec des adolescents sur Twitter a surpris et ravi les internautes en faisant son grand retour. Lancé mercredi 23 mars, ce programme baptisé Tay, se présentant comme une adolescente, avait été mis hors ligne à la hâte après quelques heures d’existence à la suite de multiples dérapages. Lire : Derrière les dérapages racistes de l’intelligence artificielle de Microsoft, une opération organisée « Je fume de la weed devant la police » Mais moins d’une semaine plus tard, à la surprise générale, Tay est réapparue sur Twitter… Et ce ne fut toujours pas une réussite.
Vers l’intelligence artificielle généraliste Développer un programme capable de jouer à n’importe quel jeu de stratégie et battre les joueurs humains constitue un des Graal de l'intelligence artificielle. Le chercheur Frédéric Koriche explique pourquoi et comment on s'en approche. Depuis les travaux fondateurs de von Neumann et Morgenstern, l’algorithmique des jeux a fait l’objet de recherches considérables en intelligence artificielle (IA). D’un point de vue conceptuel, les jeux sont décrits par des règles qui spécifient, à chaque tour, les informations accessibles aux joueurs, les actions légales que les joueurs peuvent accomplir et les effets (potentiellement incertains) de ces actions. Ainsi, les jeux offrent un cadre simple pour modéliser et étudier de nombreux problèmes de décision séquentielle et de stratégie d’action du monde réel. Des résultats spectaculaires pour les machines spécialistes Il y a une vingtaine d'année, Gary Kasparov était battu par Deep Blue, une machine entièrement dédiée aux jeux d'échecs.
Après le jeu de go, l'intelligence artificielle s'attaque au poker Après sa victoire au jeu de go face au meilleur joueur du monde, AlphaGo, le logiciel mis au point par la société américaine DeepMind, propriété de Google, va inspirer ses créateurs pour se focaliser désormais sur le poker. Le prochain défi pour DeepMind, qui appartient à Google, après avoir maîtrisé le meilleur joueur du monde du jeu de go avec son logiciel AlphaGo, une intelligence artificielle, sera de jouer au poker. Ce sont Johannes Heinrich et David Silver, programmeurs en chef d’AlphaGo et chercheurs au University College of London qui l’ont annoncé dans un rapport intitulé « L’apprentissage profond renforcé dans les jeux avec une information insuffisante » (Deep Reinforcement Learning from Self-Play in Imperfect-Information Games). Source : alphr, theguardian
Microsoft présente une intelligence artificielle pour les aveugles Dans le cadre du projet de recherche Seeing AI, Microsoft a développé une application qui permet aux personnes aveugles ou malvoyantes de mieux comprendre le monde qui les entoure. Celle-ci repose sur des algorithmes d'intelligence artificielle et a été présentée à l'occasion de la conférence Build, qui se tient actuellement à San Francisco. L’intelligence artificielle (AI) ne permet pas seulement à un ordinateur de battre un expert au jeu de Go. Ses applications et ses impacts sur notre quotidien sont extrêmement vastes. C’est dans ce contexte qu'il a présenté Seeing AI, une application d'intelligence artificielle destinée aux personnes aveugles ou malvoyantes. Après avoir pris une photo avec ses lunettes, une voix lui indique, par exemple, qu’un jeune homme fait du skateboard ou qu’une jeune fille lance un frisbee orange. Cette intention de mieux connecter le monde grâce aux avancées technologiques rappelle celle de Facebook.
Après la victoire de la machine au go, les joueurs de « StarCraft » se font peu d’illusions sur leurs chances Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par William Audureau La plus grande prudence règne dans les rangs des compétiteurs du jeu vidéo de stratégie StarCraft 2 rencontrés à la Gamers Assembly, le plus grand rassemblement annuel de passionnés de jeux vidéo compétitifs, qui se tient du 26 au 28 mars à Poitiers. Un peu moins de deux semaines après la victoire de l’intelligence artificielle AlphaGo face à l’ex-numéro 1 mondial du go, Lee Sedol, sur le score sans appel de 4 manches à 1, les joueurs français de StarCraft, le jeu vidéo de stratégie érigé en sport national en Corée du Sud, se font peu d’illusions sur leurs chances face à la machine. Durant la très médiatique partie de jeu de go qui a opposé l’intelligence artificielle de Deep Go à l’un des joueurs coréens jugés les plus créatifs, StarCraft, le jeu de Blizzard, a été cité comme étant possiblement la prochaine cible pour l’étude de l’apprentissage algorithmique. Un échiquier en partie masqué StarCraft 2 n’a rien d’un jeu ancestral.
Une intelligence artificielle gagne presque un concours littéraire L’intelligence artificielle vise à mimer le fonctionnement du cerveau humain, ou du moins sa logique lorsqu’il s’agit de prendre des décisions. Futura-Sciences est parti à la rencontre de Jean-Claude Heudin, directeur du laboratoire de recherche de l’IIM (institut de l’Internet et du multimédia) afin de mieux comprendre d’où vient ce concept. Après les exploits récents lors d’un tournoi de jeu de go, c’est cette fois dans le domaine de la littérature qu’un programme d’intelligence artificielle (IA) s’est illustré. Une nouvelle, coécrite par une IA développée par des chercheurs de la Future University de Hakodate (Japon), a été retenue dans le cadre du concours littéraire Nikkei Hoshi Shinichi. Le jour où un ordinateur écrira un roman a été sélectionné parmi 1.450 ouvrages lors du premier tour par des jurés qui ne savaient pas qu’une intelligence artificielle était impliquée dans sa création. Une intelligence artificielle gagne presque un concours littéraire - 2 Photos Sur le même sujet
A peine lancée, une intelligence artificielle de Microsoft dérape sur Twitter L’entreprise américaine a lancé Tay, un « chatbot » censé discuter avec des adolescents sur les réseaux sociaux. Mais des propos racistes se sont glissés dans ces échanges. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual 96 000 tweets envoyés en 8 heures : aucun utilisateur de Twitter n’est capable d’une telle prouesse… du moins chez les humains. Tay, elle, est une utilisatrice à part : il s’agit d’une intelligence artificielle développée par Microsoft, capable de participer à des conversations sur des réseaux sociaux et des applications de messagerie comme Twitter, Snapchat, Kik ou encore GroupMe. Ce « chatbot » (robot conversationnel), lancé mercredi 23 mars, « vise les Américains de 18 à 24 ans », explique Microsoft sur le site qui lui est consacré. @Garon_w This is making me LOL harrrddd today TayandYou (@TayTweets) Les internautes testent ses limites Mais Tay n’a pas seulement dérapé en répétant les paroles d’autres utilisateurs.
Robots, intelligence artificielle, algorithmes : aurons-nous le temps de préparer l’avenir que nous voulons ? (SXSW) Les choses sérieuses commencent. Finis les applis sympas, les sites cools et les chats grincheux : la high tech américaine est en train de passer à la prochaine étape de la révolution numérique qui arrive vite et s’annonce plus spectaculaire encore. Aucun doute désormais : le monde de demain sera rempli de robots, enrichi d’intelligence artificielle, de plus en plus piloté par des algorithmes qui vont orchestrer l'information et les services. La bonne nouvelle c’est que ces évolutions inévitables, qui transformeront davantage le monde qu’Internet ou les smartphones, devraient créer de nouveaux emplois passionnants en réservant le sale boulot aux machines. La mauvaise ? La vraie disruption est donc devant nous. Si l’édition de l’an dernier avait propulsé la réalité virtuelle comme média nouveau à part entière, celle de 2016 a été dominée par les spéculations autour de ce printemps de l’intelligence artificielle (AI), toute auréolée de sa victoire sur le champion du monde de Go. Quand ?