Lieux de beauté, lieux de mémoire
Nathalie Marthien, préfet de l’Ariège, a présenté, aux élus et à la presse, le bilan des sites de l’Ariège et la brochure de communication réalisée, lors d’une conférence de presse, ce mercredi 19 novembre 2014 à l’espace André Malraux à Mirepoix. Une richesse patrimoniale "Les paysages de l’Ariège sont connus pour leur beauté et leur authenticité" (N. Marthien, préfet de l’Ariège). Qu’ils soient prestigieux, insolites, majestueux ou intimistes, les sites inscrits et classés de l’Ariège constituent un patrimoine paysager remarquable. Qu’il s’agisse de paysages de montagnes, de sites historiques, de curiosités naturelles, de sites liés au patrimoine religieux, les sites de ce département, dont certains sont mondialement reconnus, participent à la notoriété de ce territoire et illustrent la richesse paysagère de la France. Une étude détaillée Une gestion et une valorisation durables du territoire Le mot d’accueil de Mme le maire de Mirepoix L’ouverture par Mme le préfet de l’Ariège
La moitié des terres en Europe est contrôlée par 3% de gros propriétaires
Les phénomènes de concentration et d’accaparement des terres ne concernent pas que l’Afrique ou l’Asie. Les gros propriétaires terriens sont aussi très actifs au sein de l’Union européenne. C’est ce que montre une infographie publiée le 14 avril par l’organisation Transnational Institute basée à Amsterdam. Les données sont effarantes : 3 % des plus grandes exploitations agricoles contrôlent 50 % des terres dans l’Union européenne ! Cette course aux hectares agricoles touche d’abord les pays d’Europe de l’Est. Des subventions qui creusent les inégalités Le Transnational Institute met aussi l’accent sur le rôle de la Politique agricole commune (PAC) qui incite à l’agrandissement des exploitations et à la concentration des terres. Qui sont les principaux bénéficiaires de ces aides ? Cette infographie s’appuie sur les données d’un rapport de ECVC (Coordination européenne de la Via Campesina) et de l’Alliance Hands-Off The Land [1].
L’accaparement de terres et la concentration foncière menacent-ils l’agriculture et les campagnes françaises
Des capitaux russes intéressés par des vignobles réputés, des fonds de pension belges attirés par les grandes cultures céréalières, des investisseurs chinois dans le lait... Une « course aux hectares agricoles » semble avoir démarré. Alors que les terres cultivables risquent de se faire rares, « il va y avoir une concurrence importante sur la production agricole », pronostique Robert Levesque de la Fédération nationale des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural, qui regroupe les 26 Safer qui couvrent le territoire, des structures d’intérêt général en charge de l’aménagement de l’espace rural [1]. « Ces fonds cherchent à maitriser les exploitations qui produisent les biens agricoles. » 50% des terres cultivées aux mains de 10% des exploitants Certaines acquisitions de vignobles ont été très médiatisées, comme le domaine de Gevrey-Chambertin en Bourgogne vendu 8 millions d’euros à un homme d’affaires chinois en août 2012. Du lait contre des emplois : le deal chinois Photo :
DÉFENDRE MONTSÉGUR
Venues de toute l’occitanie et de Catalogne, les personnes présentes à Montségur ont pu lier le souvenir des victimes de la conquête du roi de France aux victimes de l’impérialisme d’aujourd’hui. La lutte des Kurdes et des Palestiniens, mais aussi la reconnaissance des cultures et langues contre le centralisme uniformisateur ont été évoquées.Mais, à Montségur, il reste encore à s’opposer aux positions identitaires vantant les ethnies et les frontières... « Occitània e libertat » qui organisait le rassemblement, a aussi lancé la pétition pour que le site soit préservé et l’accès à la stèle du « Prat dels cremats » ouvert à toutes et tous. Pour signer : Crédit photos Miqueú ( Michel) Béchereau :
Comment marchés financiers et multinationales accaparent aussi les mers et les océans
Mais comment donc des intérêts privés peuvent-ils accaparer les océans ? Il ne s’agit pas – encore – de ses fonds marins, mais de ses ressources dont dépendent 800 millions de personnes, habitant les littoraux et vivant de la pêche. Rivages côtiers et eaux continentales, estuaires, lagunes, deltas, zones humides, mangroves, ou encore récifs coralliens, sont concernés. Comment se traduit cette appropriation d’un bien commun ? Un rapport, intitulé « l’accaparement global des océans », vient d’être publié par des organisations internationales, en collaboration avec le Forum mondial des peuples de pêcheurs. [1] Il pointe les nouveaux maux qui menacent la vie des communautés des bords de mer, du Chili à la Thaïlande en passant par l’Europe du Nord ou les côtes africaines. Ces maux ont pour nom quotas de pêche, conservation du littoral ou aquaculture. Des quotas de pêche aux mains des gros industriels Les autochtones exclus de la conservation du patrimoine marin La face cachée de la pêche
Bolloré, Crédit agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l'accaparement de terres
Au Brésil, le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le négoce des matières premières, a pris possession de près de 400 000 hectares de terres : l’équivalent de la moitié de l’Alsace, la région qui a vu naître l’empire Dreyfus, avec le commerce du blé au 19ème siècle. Ces terres sont destinées aux cultures de canne à sucre et de soja. Outre le Brésil, le discret empire commercial s’est accaparé, via ses filiales Calyx Agro ou LDC Bioenergia [1], des terres en Uruguay, en Argentine ou au Paraguay. Si Robert Louis Dreyfus, décédé en 2009, n’avait gagné quasiment aucun titre avec l’Olympique de Marseille, club dont il était propriétaire, il a fait de son groupe le champion français toute catégorie dans l’accaparement des terres. Course effrénée à l’accaparement de terres L’exemple de Louis Dreyfus n’est pas isolé. Trois fois la surface agricole de la France Le phénomène d’accaparement est difficile à quantifier. L’Afrique, cible d’un néocolonialisme agricole ? Qu’importe !
Do Animals Dream?
Written by Sy Montgomery, coauthor of Tamed and Untamed: Close Encounters of the Animal Kind The electric eel exhibit at the New England Aquarium has a feature that makes it a favorite. Whenever the eel is hunting or stunning prey, the charge powers a voltmeter above his tank. It lights up when the eel is using his electricity, and allows you to see the invisible—like magic. One day I saw another magical thing happen in the tank. It happened when I was standing in front of the exhibit with Scott Dowd, the lead aquarist for the freshwater gallery, watching the eel resting motionless at the bottom of the tank. “Yes, that eel is catching some serious z’s,” he agreed. Being hard-core fish enthusiasts, we continued to watch transfixed while the electric eel slept. Electric eels hunt while swimming forward, wagging their heads to and fro, sending out electric signals that bounce back to them, sort of like a dolphin’s echolocation. Love This? Thanks for subscribing! “He is asleep,” he replied.
L'impact de la viande sur les humains, les animaux et l'environnement