SETO - Syndicat des Entreprises du Tour Operating ► IFTM Top Resa Xchange, les rencontres professionnelles du SETO Le SETO a inauguré à l’occasion d’IFTM Top Résa 2014 « Xchange, les rencontres professionnelles du SETO » en programmant 3 conférences sur des sujets clés pour la profession : Technologie, Sécurité et Tourisme ResponsablePour ces rendez-vous professionnels et conviviaux, les intervenants étaient de tous horizons : entreprises touristiques & prestataires, associations/syndicats et instances gouvernementales. Pour enrichir les échanges, les rencontres s'étaient ouvertes à l’international avec pour cette première édition quatre intervenants européens : Allemagne, Angleterre et Italie. Des interventions courtes et en français ont favorisé l’interactivité et l’échange avec les participants. Toutes les présentations et les photos ici ► Le SETO soutient les campagnes d'ECPAT France Lancement d’une plateforme de signalement de cas d’abus sexuels d'exploitation sexuelle des enfants dans le voyage et le tourisme. www.mtv.travel
Domaine skiable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un domaine skiable est un espace montagnard géré où il est possible de s'adonner à la pratique du ski au cours de la saison hivernale. Il comprend au minimum un ensemble de pistes de ski[1] lié au pôle d'hébergement d'une station de sports d'hiver[2]. Un domaine skiable concerne le ski alpin et / ou le ski nordique[4],[1](ex : Villard-de-Lans en France, Sälen en Suède). Un domaine skiable se quantifie par ses pistes qui en font partie : superficie (en hectares), linéaire cumulé (en kilomètres), type (difficultés), dénivelé cumulé (en mètres)), par ses altitudes maximales et minimales, et, pour le ski alpin, par ses remontées mécaniques (nombre, type, débit cumulé (en millier de personnes/heure)). En France, la notion de domaine skiable de station de ski alpin englobe toutes les zones accessibles à ski gravitairement depuis des remontées mécaniques[5],[6], en comprenant ainsi de nombreux secteurs dits hors-pistes. ↑ a et b Mario F.
etourisme : les agences en ligne sous pression et sur le fil du rasoir Aujourd’hui, ce sont les agences en ligne, les « pure players » ou les OTA, comme disent les Américains, qui sont sous la pression des prestataires (suppliers) et de leurs ventes directes. - Photo Fotolia Dans le monde fascinant du tourisme en ligne, le temps passe vite, et peut-être encore plus vite qu’ailleurs. Il y a 15 ans, les agences traditionnelles étaient sous pression. Internet les contraignait à s’adapter, à se renouveler radicalement, et les experts ne leur donnaient guère de chances de survie à court terme. Aujourd’hui, ce sont les agences en ligne, les « pure players » ou les OTA, comme disent les Américains, qui sont sous la pression des prestataires (suppliers) et de leurs ventes directes. C’est à leur tour, semble-t-il, de s’adapter au marché que les nouvelles technologies ne cessent de faire évoluer Aux USA, 60 % des ventes en ligne sont des ventes directes Éviter Google… Tout dépend de la concentration du marché Accor et les TO européens rattrapent vite leur retard
Etude internationale : les habitudes des internautes suivant les pays | MiratechMiratech Miratech a participé à la plus grande étude internationale pour analyser les différences de comportement des utilisateurs selon les pays. Conclusion : les comportements et les opinions varient beaucoup suivant les pays Miratech a participé à une étude internationale menée sur 510 utilisateurs répartis dans 17 pays : France, Australie, Belgique, Brésil, Chili, Danemark, Allemagne, Mexique, Pays-Bas, Pologne, Russie, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Turquie et USA. L’étude était menée par l’Institut Informatique de Zurich – Institut für Software – avec l’aide du réseau IUTP – International Usability Testing Partnership – dédié aux tests utilisateurs. L’objet de l’étude était de mesurer, à l’aide de l’eye tracking et de questionnaires, les différences de comportements et d’opinion entre les utilisateurs des différents pays. Le rapport complet de l’étude est disponible au téléchargement :IUTP_Marriott_Study_Report.pdf (PDF 5,6 Mo) Méthodologie Page testée Conclusion
Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça Alors que Google vient d’annoncer le lancement de son bouton de partage +1, à l’image du fameux like de Facebook, la juriste Murielle Cahen publie sur le site Avocat Online une intéressante analyse, qui confronte ce type de fonctionnalités avec les principes du droit d’auteur à la française. Son raisonnement, finement nuancé, tend à prouver que plusieurs principes du droit d’auteur, et notamment le droit moral, fragilisent ces pratiques de propulsion des contenus en direction des réseaux sociaux. Cela dit, il me semble que son analyse gagnerait à être complétée par la prise en compte du droit de courte citation, ainsi que d’une jurisprudence récente rendue à propos de l’exception de revue de presse. J’aimerais aussi, au delà de la question des boutons de partage et de la propulsion élargir la réflexion au domaine des nouveaux outils de curation des contenus, qui soulèvent à mon avis des questions encore plus épineuses de respect du droit d’auteur. Sur le même thème
Quand les marques du tourisme invitent des instagramers juin32013 Racheté l’an dernier par Facebook, Instagram et ses 100 millions d’utilisateurs mensuels actifs ne laisse décidément pas les marques indifférentes. Au départ, une application mobile pour prendre et éditer des photos en y ajoutant des filtres vintage, le réseau social s’est depuis muni d'un site web sur lequel les utilisateurs disposent d’un profil permettant d’y présenter leurs clichés. Vecteur d’image et donc de séduction par excellence, Instagram permet de développer une communication de proximité, jouer sur l’interaction avec sa communauté et faire grandir sa visibilité. De réelles opportunités existent pour les marques qui y développent une présence active et accueillent des instagramers renommés pour accroitre leur notoriété. Beachcomber, pionnier de l’hôtellerie mauricienne, expérimente également des opérations similaires. il est intéressant de voir également les dispositifs connectés à la vie réelle. Cet article vous a plu? A propos de l'auteur : Stéphanie Giraud
Comment les touristes espagnols sadaptent à la crise Les touristes espagnols ont effectué 160,5 millions de séjours touristiques en 2011, ce qui représente une augmentation de +1,7% par rapport à l’année précédente. (Source : IET/ Familitur)93% de ces séjours ont été effectués en Espagne, qui demeure de loin la première destination de cette clientèle. Toutefois, malgré un contexte économique peu favorable, les voyages des Espagnols à l’étranger ont augmenté de +6,1%. De janvier à novembre 2011 les dépenses des touristes espagnols à l’étranger - 11 443 millions €- ont baissé de 2,12% par rapport à celles de l’année précédente. (Source : Banco de España) Comme le montrent diverses études, le comportement d’achat des touristes espagnols a évolué avec le développement de la crise.Une enquête menée conjointement par Deloitte et Hosteltur auprès d’un échantillon d’agences de voyages représentatif montre en effet que le premier critère de choix pour les touristes espagnols est désormais le critère prix, loin devant la destination.
Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique Le billet que j’ai publié la semaine dernière : « Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça ? » a suscité un certain nombre de réactions, commentaires, échanges, qui me donnent envie de prolonger la réflexion, en creusant plusieurs points sur lesquels on a attiré mon attention. Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également… Pour assaisonner un peu vos pratiques de curation, je vous recommande la sauce juridique ! (Hot Sauce Bar. L’épineuse question du droit applicable Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. Or dans un commentaire sur Twitter, Clarinette02 soulève de manière fort pertinente la question de la loi applicable, attendu que ces pratiques se déroulent en ligne et impliquent par définition la circulation des contenus, d’une manière parfois difficilement rattachable à un pays donné :
Pinterest se pique aux règles du droit d’auteur Élu meilleure startup par TechCrunch en 2011, le réseau social Pinterest a le vent en poupe aux Etats-Unis et commence à faire parler de lui en France. Déjà considéré comme « le nouveau Facebook » par certains, le site est le premier début 2012 à avoir atteint aussi rapidement une audience de 10 millions de visiteurs par mois. Ce succès fulgurant cache néanmoins une polémique grandissante à propos du respect par le site des règles du droit d’auteur, car la contrefaçon semble inscrite dans ses principes même de fonctionnement. Reprenant le principe des visuals bookmarks, Pinterest permet en effet à ses utilisateurs de constituer un tableau en « épinglant » (to pin en anglais) leurs découvertes faites sur le web, à la manière d’un mur Facebook et de les partager avec les autres membres du réseau. Pinterest, sage comme une image ? Once installed in your browser, the “Pin It” button lets you grab an image from any website and add it to one of your pinboards. Fair use or not ? WordPress:
Dévaler les montagnes 1Comme dans beaucoup de disciplines, la période de l’entre-deux-guerres se caractérise dans l’histoire du ski par une conversion sportive. Avec l’organisation des premiers Jeux olympiques d’hiver de Chamonix et la création en 1924 de la Fédération Française de Ski (FFS), le modèle compétitif complète puis supplante les considérations utilitaires, touristiques ou hygiénistes initialement attachées à cette pratique. Sous l’impulsion de l’École autrichienne de l’Arlberg et de l’activité menée par A. Lunn (1930), inventeur du slalom et du combiné descente-slalom, le ski alpin est reconnu en 1928 par la Fédération Internationale de Ski (FIS). Encore tolérées avant la Grande Guerre (Moralès, 2005), les femmes font face à de nombreuses résistances, après 1918, pour accéder au ski alpin et à la compétition (Terret, 2005). 3 Le Petit Dauphinois, La République de l’Isère et du Sud-Est et La Dépêche Dauphinoise ont été syst (...) D’un exercice mondain… 8 Anonyme, « Le bel hiver !