1914-1918, pour mémoire... 1914-1918, pour mémoire… Le Gers dans la Grande Guerre Accueil Intro Place dans les programmes Chronologie Ressources Activités pour l'élève Mentions légales Crédits Contacter le webmaster Madeleine Pelletier Madeleine Pelletier (18 May 1874 – 29 December 1939) was a French physician, psychiatrist, first-wave feminist, and socialist activist. Biography[edit] Outside her professional life, Pelletier was a committed activist. She was also notable as a female Freemason. Pelletier wrote extensively on the subject of women's rights, some publications include: La femme en lutte pour ses droits ("Woman Struggling for Her Rights") (1908), Idéologie d'hier: Dieu, la morale, la patrie ("Yesterday's Ideology: God, Morals, the Fatherland") (1910), L'émancipation sexuelle de la femme ("Sexual Emancipation of Women") (1911), Le Droit à l'avortement ("The Right to Abortion") (1913), and L'éducation féministe des filles ("The Feminist Education of Girls") (1914). Pelletier displayed her beliefs in her dress and social behavior. Pelletier was partially paralyzed by a stroke in 1937. See also[edit] Notes[edit] References[edit] Allen, C. External links[edit] Some of her texts available online (in French)
La Première Guerre mondiale janvier juin juillet août septembre octobre novembre décembre février mars avril mai Attentat de Sarajevo L'Europe se précipitedans la guerre La bataille des frontières Bataille du Tannenberg 1ère bataillede la Marne Course à la mer « Union sacrée »en France Entrée en guerrede l’Empire ottoman La guerre de mouvementlaisse place à la guerre de tranchées Offensive ottomanevers le canal de Suez 1ère utilisation de gazpar les Allemands à Ypres Génocide des Arméniens Le Lusitania coulépar un sous-marin allemand Entrée en guerre de l’Italie Débarquement de troupes alliées dans les Dardanelles Conférence de Zimmerwald Entrée en guerre de la Bulgarie Défaite et repli de l’armée serbe Service militaire obligatoireau Royaume-Uni Désastre britannique de Kut-al-Amara Conférence de Kienthal Bataille de Verdun Bataille navaledu Jutland Début du soulèvement arabecontre l’empire ottoman Bataille de la Somme Début de la publicationdu Feu d’Henri Barbusse Entrée en guerrede la Roumanie Lloyd Georgespremier ministre à Londres Prise de Bucarest
Les révoltes du papier timbré, 1675 – Essai d’histoire événementielle Présentation de l’éditeur : En 1675, en pleine guerre de Hollande, la France de Louis XIV est frappée par une des principales secousses rebellionnaire de l’Ancien Régime, restée célèbre sous le nom de « révolte du Papier timbré ». De Bordeaux à Quimper, un front intérieur surgit, mais c’est en fait toute une partie de la France qui bruit et conteste, de Toulouse à Besançon et de Grenoble à Paris. A la cour, l’inquiétude est réelle car, dans le même temps, l’éclat de la récente conquête de la Franche-Comté ne peut masquer les difficultés militaires que la mort de Turenne vient symboliser au cœur de l’été. Dans le même temps, la crainte d’un débarquement hollandais sur la côte Atlantique, susceptible de menacer Rochefort et Brest, oblige les autorités à agir avec fermeté et souplesse, particulièrement en Basse-Bretagne où émerge une nouvelle « guerre paysanne » restée célèbre sous le nom de « révolte des Bonnets rouges ».
L'armée française en 1914 " Quand on s'intéresse aux fortifications, on y voit ce qu'il en reste aujourd'hui : le bâtiment. C'est souvent l'architecture et le mystère de ces constructions qui suscitent l'intérêt. Peu de personnes imaginent d'emblée que la fortification, particulièrement Séré de Rivières, n'est en fait que le support de l'artillerie. Elle justifie la construction du fort, elle en détermine son importance et en délimite les contours par les objectifs à battre. Très tôt, on s'intéresse à l'artillerie ... L'artillerie est protégée d'une façon passive par les infrastructures construite par le génie : les abris de rempart, les massifs de terre, parados et autres, mais également les fossés défendus par les caponnières. Enfin, c'est l'infanterie qui va être le lien de l'ensemble et qui va non seulement assurer la défense rapprochée des pièces d'artillerie, mais surtout toute la logistique de soutien indispensable au bon fonctionnement de l'ensemble. BERGER Régis
Normannia - Photos 1836 photographies de la Grande GuerrePrésentation et numérisation issues d'un partenariat entre le Service Commun de la Documentation de l'université de Caen et du Centre régional des Lettres de Basse-Normandie. Issu d'une famille de patrons de presse rouennais, Pierre Lafond fut directeur administratif du Journal de Rouen jusqu'en 1944 et fondateur de l'Imprimerie Lafond à Caen. Son nom apparaît dans la liste des "Principaux donateurs particuliers" de la bibliothèque universitaire droit/lettres de Caen qui, après la Seconde Guerre mondiale, ont contribué à la reconstitution des collections détruites suite aux bombardements de la ville. Collectionneur de documents iconographiques se rapportant à la Grande Guerre, il a également donné une partie de ses documents aux Archives Départementales de Seine-Maritime. Adresse du catalogue :
1914-1918 - Nicole Girard-Mangin, première femme médecin sur le front Féministe et d'un courage indomptable, Nicole Girard-Mangin a exercé son métier dans les pires conditions, affrontant l'horreur de Verdun et le scepticisme de la hiérarchie militaire. Le médecin-capitaine en tombe à la renverse. L’élégante blonde qui se tient devant son bureau, en chapeau et tailleur civil, lui tend une feuille de convocation. La France mobilise. Le toubib doit transformer le centre de cure de Bourbonne-les-Bains (Haute-Marne) en hôpital militaire ! « Un fonctionnaire débordé a sans doute confondu le nom de son ex-mari, Girard, avec un prénom, Gérard, et a cru convoquer le Dr Gérard Mangin », raconte aujourd’hui son petit-neveu, Philippe Wachet. "C’était une petite femme à faire marcher un régiment" L’épreuve du feu commence le 21 février 1916, au son du canon allemand. « Partout, j’étais accueillie comme vous savez. Au matin du 6 juin 1919, son corps sans vie est découvert à son domicile, à Paris. « Nicole Mangin.
Le kilogramme étalon vit ses dernières années Les scientifiques spécialisés en métrologie, actuellement réunis à Versailles, doivent décider comment remplacer le kilogramme étalon, objet matériel, par une constante universelle de la physique qui, elle, est immatérielle. ► Qu’est-ce que le kilogramme étalon ? Le kilogramme étalon est un cylindre en alliage (90 % de platine, 10 % d’iridium) conservé en atmosphère contrôlée sous trois cloches et précieusement rangé dans un coffre-fort au Bureau international des poids et mesures situé à Sèvres (Hauts-de-Seine), près de Paris. Il a été fabriqué en platine et iridium plutôt qu’en fer, bronze ou plomb car les propriétés de ces matériaux « modernes » – haute densité, conduction électrique, basse susceptibilité magnétique, stabilité thermique, solidité – garantissent, théoriquement, une constance dans le temps. Depuis 1889, il constitue la référence mondiale de masse. ► Pourquoi le kilogramme étalon ne pèse-t-il pas vraiment un kilo ? ► Quelles sont les conséquences de ces variations ?
A l’heure bretonne ! A l’heure bretonne ! Quiconque est habitué des Etats-Unis n’est pas étonné de voir coexister plusieurs heures différentes. A la télévision par exemple, les programmes sont annoncés à l’heure de New-York ou à celle du Pacifique. Immense, le pays sait jongler avec ses kilomètres et ses fuseaux horaires. Aussi est-ce la surprise qui prédomine lorsqu’on découvre dans L’Avenir de la Bretagne du 17 mars 1891 un article annonçant que « la loi adoptant l’heure de Paris comme heure légale pour la France et l’Algérie est promulguée au Journal officiel à la date du 14 mars ». Le lecteur du XXIe siècle est d’ailleurs encore plus incrédule lorsqu’il lit la suite de cet article : « Nous allons donc voir disparaître enfin et pour toujours cette fameuse troisième aiguille de nos cadrans. Pourtant, la réalité est que, comme aux Etats-Unis de nos jours, la France a longtemps été traversée par de multiples horaires sans qu’il soit réellement possible de parler ici de fuseaux. Erwan LE GALL