Jeux d'argent : les Français perdent en moyenne 400 euros par an Le Parisien | 02 Avril 2014, 09h00 Au tirage, au grattage, sur les champs de course, dans les casinos ou encore sur internet... Au total, les Français ont dépensé près de 46 milliards d'euros pour les jeux d'argent en 2012. Mais tout le monde ne gagne pas le jackpot avec la perspective de pouvoir aller vivre au soleil ! L'attrait des jeux d'argent reste néanmoins très fort, même s'il a semblé s'éroder en 2013 avec, selon l'Insee, une baisse de 0,8% (en valeur) de la consommation en jeux pour les ménages. A partir de 2010, l'arrivée des jeux en ligne n'a pas fondamentalement changé la donne, malgré l'engouement de départ. « Les jeux en ligne ne représentent que 7 % du marché en 2012», explique l'Insee. L'Insee dresse aussi le portrait du consommateur de jeux : «Un joueur sur quatre est un joueur actif, c'est à dire qu'il joue plus de 52 fois par an ou mise plus de 500 euros dans l'année», ajoute l'Insee. > Résultats des élections régionales 2015
Jeu d'argent Le jeu d'argent est la pratique d'un jeu associée à un intéressement financier à l'issue de la partie. Chaque joueur engage un certain montant financier dans le jeu, qui sera tout ou partie perdu, ou qui sera augmenté en cas de gain. Ces jeux sont pour la plupart des jeux de hasard pur, ou de hasard raisonné. La prudence est de mise pour éviter la ruine du joueur. Les probabilités de gains des différents types de jeu sont variables et une bonne gestion des mises et de ses cartes peuvent permettre de réaliser quelques gains. Types de jeux d'argent[modifier | modifier le code] On trouve différents types de jeux dans cette catégorie : Il est à noter que ces types de jeux disposent en général d'un mécanisme (taxe ou probabilités calculées) pour qu'une partie des montants financiers misés reviennent à l'organisateur. Pour établir une bonne stratégie ou bien gérer ses mises, il est important de connaître ou calculer ses probabilités de gain, et les pourcentages des gains redistribués.
La dépendance au jeu | Information jeux d'argent De manière quasi invariable, on estime que cette pathologie concerne un peu plus de 2 % de la population adulte ; le consensus est admis sur ce chiffre par l’ensemble des études internationales. L’étude référence date de 1996 (Ladouceur, Jacques, Ferland et Giroux) et situe le taux de prévalence à 2.1 %. On remarque que les taux ont tendance à augmenter dans le temps signifiant aussi que plus il y a accès aux jeux de hasard, plus l’incidence augmente, comme tend à le démontrer l’expérience australienne, un pays qui détient un record en terme de nombre de loteries-vidéos et de joueurs pathologiques, estimés à 7 % de la population. A Las Vegas, capitale mondiale du jeu, on dénombre aussi plus de joueurs accros que dans la moyenne nationale… Seule certitude, on peut admettre que les joueurs en difficultés se recrutent majoritairement au sein des joueurs réguliers, dont les études de clientèles montrent clairement l’importance : Synthèse ► Parler de dépendance, ce n'est pas parler d'excès ! 1.
Michael Corleone Bien qu'il ait toujours voulu se tenir éloigné des activités illégales de sa famille, il devient, à la suite de la mort de son père et de son frère aîné, le nouveau parrain de la famille Corleone. Le règne de Michael marque une grande expansion de l'empire Corleone dans le monde des affaires. Le nouveau Don fait de sa famille la plus puissante mafia de la nation et l'enrichit considérablement, plus qu'elle ne l'a jamais été auparavant. Le deuxième volet du Parrain montre comment cet immense pouvoir va corrompre le jeune Don qui, après avoir mené sa famille à son apogée, va commencer à entreprendre une lente descente aux enfers. En effet, contrairement à son père qui a toujours œuvré pour préserver l'unité de la famille, Michael s'enferme progressivement dans la solitude : il met ses proches à l'écart, sa mère décède, sa femme le quitte, et il fait assassiner Fredo, son dernier frère encore en vie. Biographie fictive[modifier | modifier le code]
Jeux de hasard et d'argent - Synthèse des connaissances Accès rapides : - Présentation- Production / offre- Consommation- Conséquences- Cadre légal et orientations publiques récentes- Sélection de documents- Repères législatifs et réglementaires haut du document Les jeux de hasard et d’argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s’est étoffée, s’étendant même depuis la loi du 12 mai 2010 à certains jeux sur Internet (paris hippiques, paris sportifs et poker). Si la société a longtemps porté sur cette activité des jugements moraux, l’approche actuelle tend à distinguer une pratique récréative – la plus fréquente – du jeu pathologique, considéré comme un trouble. L'industrie du jeu constitue aujourd'hui un secteur économique et financier important qui draine de l'emploi (direct et indirect) et de la fiscalité. Un secteur économique ancien et important Le PMU gère les paris d'argent sur les courses de chevaux en dehors des hippodromes. Les jeux d'argent sur Internet Une pratique courante...
Jeux de hasard et d'argent. Contexte et addictions Avant-propos L'industrie du jeu de hasard et d'argent constitue un secteur économique et financier important qui draine de l'emploi (direct et indirect), de la fiscalité et concerne une population de joueurs qui se chiffre en millions de personnes. D'après l'Insee, en 2006, près de 30 millions de personnes en France, soit trois sur cinq en âge de jouer, ont tenté leur chance au moins une fois par an à un jeu d'argent. Depuis 1975, le montant global des enjeux a doublé. D'après le rapport Trucy, le chiffre d'affaires de l'industrie des jeux autorisés est passé de l'équivalent de 98 millions d'euros en 1960 à 37 milliards en 2006. Les jeux de hasard et d'argent sont des pratiques sociales et culturelles inscrites dans une histoire très ancienne des loisirs. Les méfaits possibles du jeu attirent de plus en plus l'attention des pouvoirs publics et des opérateurs de jeu eux-mêmes. Le groupe d'experts a consulté plusieurs rapports et auditionné 8 personnalités engagées sur ces problématiques.
L’addiction aux jeux de hasard et d’argent Le jeu est une activité humaine essentielle. Le jeu est universel, il apporte plaisir et récompense. La grande majorité des joueurs a une pratique « sociale » ou « récréative ». Pour quelques personnes, le jeu sera excessif ou pathologique. Quand peut-on dire d’un joueur qu’il est un joueur à risque, excessif ou pathologique ? Quelles sont les conséquences du jeu pathologique ? Que classe-t-on dans les jeux de hasard et d’argent ? Se classe dans la catégorie « Jeux de hasard et d’argent » : les jeux de loterie (loto, jeux de grattage, Rapido, Keno, etc.)les jeux de casinos (machines à sous, roulette…)les paris hippiques ou sportifs le poker. Est-ce que je suis un joueur excessif ? Je peux jouer sans me rendre compte des heures que j’y passe.J’accorde la priorité au jeu au détriment d’autres occupations. A quel moment je peux devenir un joueur pathologique Le parcours du joueur pathologique Combien de joueurs à risque ou excessifs en France ? ... Pourquoi chercher de l’aide ? » En savoir plus
Le sport n'est pas un jeu neutre et innocent Le sport n'est pas un jeu neutre et innocent Michel Caillat Ignoré ou méprisé par la majorité des militants, le sport, "fait social total", joue pourtant des fonctions politiques, idéologiques et économiques très importantes. Le sport est le seul domaine du social qui fait totalement consensus. Alors qu'il mobilise des millions de personnes, les militants ne l'analysent pas et glissent sur cette institution de façon invraisemblable. Le premier problème est celui de la définition du sport. Le second problème est de réduire l'analyse du sport aux résultats sans dévoiler ses fonctions. Ensuite, ses implications sont idéologiques. Le sport reflète le fondement des rapports de production capitalistes ainsi que leurs principes structurels de fonctionnement. Enfin, le sport est un empire économique : aujourd'hui comme hier, il est à l'épreuve du marché. On accepte ainsi dans le sport ce qu'on met en question partout ailleurs. Propos recueillis et mis en forme par Sophie Chapelle
Jeu pathologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Sur le plan de la politique de la santé, le débat s'articule autour de deux conceptions opposées. D'un côté, une position défendue par l'industrie américaine et européenne des jeux d'argent, pour qui le taux de prévalence du jeu pathologique n'est pas corrélé à l'accessibilité aux activités de « jeu », et selon eux il n'y aurait pas lieu de les réglementer. Approche de plusieurs pays[modifier | modifier le code] Divers pays prennent en compte le problème du jeu pathologique. On ne mesure pas la pathologie d'un joueur simplement par le montant d'argent qu'il dépense au « jeu ». Facteurs[modifier | modifier le code] Il n'existe pas une cause en particulier. Certaines personnes jouent parce qu'elles ressentent la nécessité de succès spectaculaire. D'autres expriment, par le comportement de jeu compulsif, de la colère ou de la rébellion. Dépendance physiologique au jeu[modifier | modifier le code]