Wikipedia → Portal:Transgender From Wikipedia, the free encyclopedia is an umbrella term applied to people and behaviors which diverge from those of normative two-gender roles ( male and female ), usually assigned at birth. refers to the state of one's (male, female, or various other identities) and not to sexual identities ; a common, sometimes offensive, misunderstanding. Transgender identities and expression have been a fixture of culture since antiquity. One example is South Asian, where Hijras (pictured at right) are considered members of a third gender . and are catchall terms for gender identities other than man and woman. Some genderqueer people see their identity as one of many possible genders other than male or female, while others see "genderqueer" as an umbrella term that encompasses all of those possible genders. (b 1957) was the world's first openly transsexual Member of Parliament , and from 27 November 1999 until 14 February 2007 was an MP for the Labour Party in New Zealand .
Le cerveau a-t-il un sexe ? – Catherine Vidal Souleymane Coulibaly, alias Soro Solo, est un journaliste culturel originaire de Côte-d’Ivoire. Découvreur de talents, il a accompagné l’ouverture de l’Europe aux musiques africaines. Il a collaboré aux magazines de RFI pour lesquels il fait des reportages, ainsi qu’à plusieurs émissions sur France Inter, dont L’Afrique Enchantée qui, après trois saisons estivales, est désormais programmée à l’année. Soro Solo était, jusqu’aux événements tragiques de 2002, le plus fameux des journalistes culturels de Côte-d’Ivoire. Avec plus de 20 heures d’antenne hebdomadaire et une voix reconnaissable entre mille, il reçoit deux fois le prix du meilleur journaliste du pays (Prix Ebony – 1993, 1994). Son émission Le Grognon, lancée en 1989, lui vaut une grande popularité car il y évoque les dérapages des services publics ivoiriens à partir de témoignages sur les petits arrangements avec l’administration. Des membres de sa famille sont assassinés. Depuis, Soro Solo a collaboré à de nombreux magazines sur RFI.
Wikipédia → Identité de genre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'identité de genre est distincte de l'orientation sexuelle (hétérosexualité, bisexualité, homosexualité)[1]. Identité de genre - sous la surface[modifier | modifier le code] Pour bien comprendre la différence entre le sexe biologique et l'identité de genre, les cas le plus simples à prendre sont ceux où l'appareil reproductif extérieur (pénis, clitoris…) a été enlevé. La libido et la capacité d'exprimer son désir sexuel sont changés, mais l'identité de genre peut rester la même. Un contre-exemple très connu est celui de David Reimer[3], dont le pénis fut détruit lors d'une circoncision mal faite peu après sa naissance. Le terme d'identité de genre va donc au-delà du seul sexe biologique déterminé par les organes sexuels extérieurs. Création de l'identité de genre[modifier | modifier le code] Identité de genre et sexe[modifier | modifier le code] La chirurgie de réassignation sexuelle existe depuis quelques décennies.
Des féministes transphobes Il y aurait beaucoup à dire sur la place des trans dans le féminisme. C'est un vaste sujet, comme la place d'autres populations dominées dans le féminisme (par exemple la place des non-blanc-he-s ou la place des prolos) et je ne suis pas sûre qu'un seul article suffise. Dans ce texte je vais m'intéresser à la transphobie de certain-e-s féministes. En effet comment les trans peuvent trouver une place dans le féminisme si certain-e-s féministes les rejettent en refusant de reconnaître l'identité de ces trans. Il y a peu Prose a eu un tweet attirant mon attention. Mais ça concernait aussi ce texte dans lequel la transidentité de Brandon Teena passe à la trappe. Les féministes radicales des féministes transphobes ? Alors autant le dire c'est des choses avec lesquelles j'ai un peu de mal. Du coup comment parler de choses que je connais peu? Cathy Brennan "Mon féminisme qui dit que pénis = mâle" : Je suis sûre que "mon féminisme" du "pénis = mâle" a du sens pour 99% de la planète. Koala
Et si les rôles des hommes et des femmes étaient inversés dans la pub ? La réclame tombe parfois, trop souvent, dans des travers sexistes. Les femmes sont soumises et un peu bêtes, les hommes virils et dominateurs. Trois étudiants de l'université canadienne de Saskatchewan, Sarah Zelinski, Kayla Hatzel et Dylan Lambi-Raine, se sont mis en tête pour un cours sur le genre d'inverser les stéréotypes des publicités dans une vidéo mise en ligne sur YouTube (et déjà vue plus de 800 000 fois depuis début avril). En introduction, ils compilent une sélection de campagnes anciennes et récentes où les femmes ne sont que des objets dédiés au plaisir des hommes. «Ces standards de beauté mis en avant affectent la manière dont les hommes et les femmes perçoivent le corps féminin, écrivent-ils, entre 2000 et 2009, il y a eu une augmentation de 36% des opérations d'augmentation mammaire.» (Parodie d’une pub Burberry, extraite de la vidéo. Ils jugent également que les «hommes sont aussi victimes des clichés». (Parodie d’une pub Calvin Klein, extraite de la vidéo.
"Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcal" drôle d'article !! Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcalmardi 16 août 2011par Dre Michèle Dayras, présidente de SOS-SEXISME La théorie du ‘gender’ est prônée, en France, par les homos, les bi et surtout par les transsexuels, mais aussi par de jeunes féministes qui militent dans des groupes mixtes, (notre pays est le seul où des femmes luttent contre l’oppression masculine, avec les oppresseurs), et par des universitaires qui se veulent ‘branchées’. La Commission de Terminologie et de Néologie écrivait en 2005 : « (…) La substitution de “genre” à sexe ne répond donc pas à un besoin linguistique et l’extension de sens du mot “genre” ne se justifie pas en français. Dans cette acception particulière, des expressions utilisant les mots “genre” et a fortiori l’adjectif “genré”, ou encore le terme “sexospécificité”, sont à déconseiller. » Mais les choses ont bien changé depuis. La théorie du ‘genre’ (et des ‘genres pluriels’ !) Notes 1.
Le désir féminin existe-t-il ? - Les 400 culs Bien décidé à savoir s’il existe une différence entre le désir masculin et le désir féminin, Serge Moati enquête. Dans un documentaire réjouissant, le voilà qui part à l’assaut des poncifs… au fil de séquences qui le font passer d’un appartement rempli de phallus multicolores à un atelier «sexe et maternité» réservé aux femmes. Monté comme un polar, le documentaire ménage son suspens jusqu’au bout et finit en happy end. «Mon désir masculin, que je ressens comme plutôt mystérieux, ressemble-t-il à celui des femmes ? Tu es une femme, tu ne peux pas «baiser»Dès la première rencontre, Serge Moati attaque : «Qu’est-ce qui fait que pour toi un garçon est désirable ?». Tu es une femme, tu n’apprends pas à désirer Deuxième rencontre : avec Belinda Cannone, auteur d’un Petit éloge du désir, Serge Moati obtient confirmation : «L’éducation des femmes c’est qu’elles deviennent les objets du désir masculin, on ne leur apprend jamais à désirer le corps des hommes ?» Femmes : Serge nous t’attendions !
Les baisers entre personnes du même genre ne sont pas des blagues (n'en déplaise au PAF) En ce moment j’ai souvent la télé allumée. L’écran (et le son) m’accompagne pendant de longues journées en solitaire à travailler sur des projets secrets pour sauver le monde. Je vois défiler toutes les émissions les unes après l’autres, du JT de 13h aux films mal doublés de l’après-midi, en passant par les plus célèbres talk-shows du PAF — je suis sûr que vous voyez très bien de quoi je parle, ça commence parfois par « touche pas » et finit par « à mon poste »… À lire aussi : Cyril Hanouna, Enora Malagré et les filles faciles C’est mon petit plaisir pas si coupable pendant lequel je relève souvent la tête pour me délecter des coups de gueules surjoués des chroniqueurs ayant apparemment « mal à leur France ». Un « gag » récurrent Je l’admets, dans ce genre de talk-show/divertissement, ça s’amuse, ça fait des boutades pas très recherchées souvent en dessous de la ceinture. Le public scande alors le fameux « Un bisou ! Ce genre de séquence revient souvent. Pourquoi ça fait tellement rire ?
Quelle alternative au patriarcat ? - Polyamour.be Nombre de réflexions relatives à maints problèmes contemporains évoquent, parmi les causes du mal qu’elles analysent, l’organisation patriarcale de notre société. Qu’il s’agisse de l’aliénation, du harcèlement moral ou sexuel, de la discrimination sexiste au travail ou en politique, de la violence conjugale masculine, du sexisme, de la prostitution, de l’homophobie, de la pornographie, de la pédophilie, etc., le patriarcat est fréquemment dénoncé comme responsable. Des actions "anti-patriarcat" sont repérables dans la presse, le monde associatif, le féminisme, les mouvances libertaires, les luttes sociales. Mais, au-delà de la lutte, que propose-t-on ? que fera-t-on après la victoire ? On est en effet pris de perplexité lorsqu’on s’interroge sur une éventuelle diversité de choix culturels qui ferait apparaître, à côté du patriarcat, une ou d’autres formes d’organisation familiale et sociale. Du côté de la postérité Du côté de la solidarité Il semble que cela soit plus simple.
Non, le porno n'est certainement pas la seule source d'injonctions | Le ticket de Metro d'Ovidie La diffusion de mon film À quoi rêvent les jeunes filles ? sur France 2 le 23 juin dernier dans la case Infrarouge a ouvert bien des débats, et j’en suis vraiment ravie. Il n’y a qu’à travers les débats et discussions que les choses avancent, pour ma part la mission a donc été accomplie. « Le porno comme nouvelle source d’injonction« , combien de fois ai-je lu cette formule ces derniers jours. embedded by Embedded VideoYouTube Direkt L’effet de ce déplacement de la norme, j’ai pu le constater durant toute la phase d’enquête de ce film, qui ne s’est évidemment pas limitée aux interviews de six personnes. « Sexualité ambitieuse », « libido au top », ou comment devenir performante Mais prétendre que le porno serait seul prescripteur de normes serait totalement erroné. Pour revenir au film, il dénonce ce que l’on pourrait appeler un déplacement des normes en matière de sexualité et analyse leurs provenances.
Fleur intime | Gynécologie Obstétrique Pratique - Mensuel francophone de gynécologie obstétrique Sexologie Publié le 17 Avr 2014 P. BRENOT, Psychiatre, Directeur des enseignements de Sexologie et Sexualité Humaine à l’université Paris Descartes www.sexologie.blog.lemonde.fr Cette « fleur intime » a fait couler tant d’encre, de larmes et de sang dans les siècles passés que l’on peut s’étonner, en quelques décennies, qu’elle ait quasiment disparu, au point que personne aujourd’hui n’en prononce plus le nom en Occident ! Connectez-vous ci-dessous pour pouvoir lire cet article. Attention, pour des raisons réglementaires, ce site est réservé aux professionnels de santé. Merci de vous identifier avant d'accéder aux rubriques de votre choix. Pour tout renseignement relatif à votre inscription, contactez-nous par mail (info@len-medical.fr) ou par téléphone : 01 47 55 31 72 Une fois votre identification effectuée, vous disposerez d'un "identifiant" personnel et d'un mot de passe qui vous permettront d'accéder définitivement aux rubriques du site.
Transphobie dans un entretien avec Christine Delphy : ma réponse Je décide de mettre sous la forme d’un texte, un commentaire que j’ai écrit suite à un entretien réalisé par Ingrid Merckx avec Christine Delphy disponible ici, car il n’a pas été validé sur son blog. [Ajout 27 novembre : le commentaire initial est désormais validé sur blog de C. Delphy :) ]. Votre position sur la transsexualité déclenche des réactions vives. Chère Christine Delphy, En premier lieu, je suis sidéré qu’Ingrid Merckx vous parle de « votre position sur la transexualité ». Je suis encore plus sidéré que vous ayez consenti à répondre à une telle question, sans questionner la légitimité qu’il y aurait ou pas à la poser. Arrêtons-nous pour l’instant sur le terme « transexualité ». Nous trans, sommes beaucoup à ne pas aimer le terme « transexualité » car il entretient une confusion entre sexe (ce qu’on « est ») et sexualité (ce par quoi on « est » attiré-e). Pensez-vous que ce soit un hasard si la prévalence du VIH est aussi forte chez les trans ? Premier point : Encore une fois ?
L’homme a-t-il vraiment peur d’aimer ? | Psychiatrie - Il semblerait qu’au-delà de la peur de s’engager, c’est bien la peur d’aimer qui domine. Souvent ces hommes sont même inconscients de leur peur et de leur incapacité à aimer. Or, comme nous l’avons cité plus haut, pour aimer il faut donner : de son temps, de son énergie, de soi . Malheureusement, aujourd’hui nous sommes tous des preneurs et nous plaignons en permanence de ne pas recevoir assez. En sont pour preuve les manifestations de séduction à outrance de beaucoup d’hommes alors qu’ils savent parfaitement dès le départ qu’ils ne cherchent qu’une rencontre brève et purement sexuelle. - Mon propos s’illustre par le cas de Martial, bel homme de 48 ans très indépendant qui ne cesse de multiplier les rencontres avec des femmes toujours plus jeunes et très séduisantes qu’il attire grâce ses charmes et à son goût de la vie. Tel est le cas de Martin, solide campagnard de 36 ans, marié à Jeanne depuis 8 ans, et qui me consulte pour une dysfonction érectile d’apparition brutale.
La Marche des fiertés 2015 se veut revendicative mais certains militants en demandent plus LGBT - Depuis le vote de la loi sur le mariage pour tous, deux ans se sont écoulés. Après la joie, l'amertume: l'an dernier, la traditionnelle Marche des fiertés organisée par l'Inter-LGBT à Paris s'était déroulée sous le signe de la colère. Les associations demandaient plus de droits: la PMA, des avancées significatives pour les personnes trans, autant d'engagements qu'elles reprochaient au gouvernement de ne pas avoir tenus. Ce samedi 27 juin, le mot d'ordre de la marche est "Multiples et indivisibles", un "slogan qui tranche un peu avec ceux que nous avons l'habitude de proposer", explique au HuffPost Nicolas Rividi, co-Porte-parole de l’Inter-LGBT en charge de la lutte contre les discriminations. Une pride militante qui se veut militante donc, plus que celle de l'an dernier, qui dénonçait pourtant déjà les multiples reculs du gouvernement à propos de l'ouverture de la procréation médicale assistée (PMA) à tous les couples de femmes. Danser ne suffit pas