Dans ma cuisine de végé | Tout sur mes basiques Depuis plus de deux ans, le contenu de ma cuisine a quelque peu changé. Considérablement même. Avant, mes placards étaient plus ou moins remplis de produits industriels et raffinés. Aujourd’hui ils contiennent des choses beaucoup plus saines, en accord avec mon choix pour une alimentation quasi végétalienne. Je reviens aujourd’hui pour vous en présenter les basiques, ces aliments dont je ne saurais me passer et qui auront probablement toujours leur place dans mes placards. Je ne suis pas quelqu’un qui fait particulièrement attention au gluten dans son alimentation, du moins pas de manière systématique. Le gluten est présent dans plusieurs céréales. Personnellement, j’aime beaucoup la farine de pois chiche, cette légumineuse riche en fibres, protéines, vitamines et minéraux (mais pauvre en matières grasses!) Ah les huiles végétales… N’y a t-il que moi à trouver ce sujet passionnant? Je n’ai jamais aimé le lait, et je ne l’aime toujours pas d’ailleurs, qu’il soit de vache ou d’amande.
Vers une alimentation saine (healthy) et vegan : Par quoi je remplace ... Je vous propose de nouveau une petite mise en pratique, un peu comme dans mon précédent article ! Je me suis dit que cela pourrait être une bonne idée de répertorier les principaux aliments non vegan puis les préparations du commerce qui ne sont pas healthy et de vous montrer à quel point il est facile de les remplacer ! Cet article s’adresse à tous les débutants, ceux qui souhaitent opter pour un régime plus sain, vegan … Et pour les plus avisés, qui sait, je pourrai peut-être vous apprendre quelque chose (ou vous pouvez nous faire part de vos découvertes culinaires en commentaires) ? Par quoi remplacer les oeufs Les oeufs ont bien souvent un rôle de liant et de texturant dans les préparations sucrées ou salées. En pratique : Pour remplacer 1 oeuf dans toutes sortes de préparations sucrées ou salées : Par quoi remplacer le beurre Huile végétale Le beurre se remplace aisément dans les préparations sucrées ou salées par n’importe quelle huile végétale. Purées d’oléagineux Les beurres A bientôt,
Les essentiels de ma cuisine végétalienne Contrairement à ce que certain-e-s peuvent penser, la cuisine végétalienne ne se résume pas à manger des légumes crus, rôtis ou cuits à la vapeur ! Il suffit de regarder un peu plus loin que le rayon boucherie, poissonnerie et produits laitiers pour réaliser que la majorité des aliments bruts dont nous pouvons nous nourrir sont d’origine végétale… Néanmoins, quand on est habitué à composer ses repas à base de viande et de produits d’animaux, il n’est pas évident de savoir comment réaliser des plats ou des encas sains, variés et gourmands qui n’en contiennent pas. Pour ma part, la découverte du végétalisme est d’abord passée par la découverte d’une pléthore d’ingrédients dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Pourtant, la grande majorité d’entre eux étaient vendus là où j’avais l’habitude de faire mes courses ! Dans le souci de ne pas encombrer les placards de ma cuisine, j’ai décidé de ne pas stocker plus de 4 ou 5 variétés à la fois de chaque catégorie d’aliments. J'aime :
Vegan de Marie Laforêt Comme beaucoup l’ont déjà dit, Vegan c’est un peu la bible de la cuisine végétalienne ! Avec plus de 500 recettes, Marie Laforêt, qui est aussi l’auteure du blog 100% végétal, nous offre suffisamment d’idées pour cuisiner pendant des mois et pour toutes les occasions : petits déjeuner, encas et repas de tous les jours, piques-niques, soirées entre amis et grands évènements ! Outre les recettes, c’est un livre riche en informations non seulement sur les bases de la cuisine végétalienne mais aussi sur le plan nutritionnel. Ce livre se divise en 7 parties : Introduction : pour commencer Marie explique les intérêts du végétalisme et elle fait ensuite le point sur les aliments de base, ceux à éviter, ainsi que le matériel de cuisine de base. Découvrir les protéines végétales : grâce à ses recettes des plus simples aux plus élaborées à base de céréales, légumineuses, seitan ou soja, Marie nous fait découvrir la diversité et la polyvalence des protéines végétales. Parsemez le monde d'échos verts!
Les 10 ingrédients indispensables à ma cuisine végétarienne | De petits maux en petits mots Lorsque l’on cuisine, on prend des habitudes, on a des ingrédients favoris, que l’on aime utiliser et que l’on met un peu partout. Aujourd’hui, pour le rendez-vous des Mercredis Gourmands, nous devons lister ces 10 ingrédients que l’on trouve dans notre cuisine. Comme la mienne est végétarienne, je vous propose mes 10 ingrédients indispensables pour une cuisine variée et savoureuse (en dehors des fruits et légumes). 1. La farine (ou plutôt LES farines) Dans mon placard, de nombreuses farines dans des bocaux. On trouve aussi de la farine de riz, de quinoa, d’épeautre, de pois chiches et de sarrasin bien sûr! Mon conseil : toujours noter la date d’achat (ou d’ouverture) du produit! 2. L’huile d’olive est ma préférée pour la cuisson. 3. Ma préférée est la crème d’avoine car elle a un goût neutre. La crème de coco est aussi parfaite pour des petits plats salés ou sucrés, je la choisis justement pour son goût. 4. Mon préféré est le lait d’avoine. 5. 6. 7. 8. 9. Pas de sucre blanc. 10. J'aime :
Végétalisme et santé : l’avis de Pauline, future médecin végé J’ai découvert Pauline grâce au superbe témoignage publié chez Antigone XXI : Future médecin, pourquoi je suis devenue végétalienne. Cette jeune étudiante en 6ème année de médecine y partage son cheminement vers le végétalisme, ses remises en questions, ses frustrations et ses aspirations- un parcours très inspirant… Depuis peu, Pauline tient également un joli blog, Ambre et Noésis, où elle parle de ses expériences, de ses réflexions et livre ses conseils à « tous ceux qui rêvent de liberté ». Sa manière de voir le monde et surtout de concevoir la santé me parlent beaucoup. Qu ’est-ce que l’alimentation végétale t’a apporté ? L’alimentation végétale m’a permis de m’intéresser à la cuisine. Et puis elle m’a permis de me sentir en grande cohérence avec moi même. Tu as dit, très justement à mon sens : “Je fais mienne la devise d’Hippocrate : « Que la nourriture soit ton médicament »”. De plus, les végétaliens sont généralement calés en nutrition. C’est une croyance totalement injustifiée.
Les animaux-emballages Un grief fréquent contre les alimentations végétariennes est la nécessité qu'elles impliquent de prendre un complément de vitamine B12. Ce nutriment, abondant dans la viande, est en effet pratiquement absent des plantes, et une personne végétalienne doit s'assurer un apport régulier par la prise de suppléments ou d'aliments supplémentés (certains jus de fruits, corn flakes...). Cela concerne même les végétariens qui consomment des laitages et des œufs, car la B12 n'est présente dans ces produits qu'en quantité limitée. Ces faits gênent les végétariens eux-mêmes, qui souvent n'aiment pas l'idée des suppléments. Telle est la situation : les végétariens doivent prendre un supplément en B12, directement ou indirectement ; les mangeurs de viande, eux, ont une « alimentation qui se suffit », la B12 étant naturellement présente dans la chair des animaux. Telle est la situation ? Eh bien non. En effet, la vitamine B12 n'est pas plus produite par les animaux qu'elle ne l'est par les plantes. 1.
Calcium Chacun connaît l’importance du calcium pour la formation et le maintien du tissu osseux. Toutefois, il apparaît bien inutile de se gaver de produits laitiers pour satisfaire ses besoins calciques. Un organisme humain adulte contient plus de 1 kg de Ca (1 000-1 200 g), essentiellement – à 99 % environ – localisé dans les os, sous forme de phosphate de calcium, qui, ainsi que son nom l’indique, contient également du phosphore (dans un rapport calcium/phosphore très légèrement supérieur à 2). La calcémie (taux de Ca dans le sang) est étroitement régulée, et maintenue aux dépens du Ca osseux, d’où la mise en place d’une ostéoporose en cas de carence calcique. En effet, du Ca est perdu chaque jour, de façon physiologique et naturelle, par l’urine, les selles et la sueur, la perte urinaire (ou calciurie) étant le facteur le plus important. * Méthionine, cystéine. Un changement de point de vue Principal responsable des problèmes osseux : la forte consommation de protéines d’origine animale.
F12-Les-prot%C3%A9ines-v%C3%A9g%C3%A9tales.pdf Les protéines | Société végane française Le choix d’une alimentation végétale est souvent l’objet de commentaires sur les insuffisances supposées en protéines, en fer et en zinc. L’alimentation conventionnelle des pays développés est à l’origine de ces craintes, parce que la viande et le poisson sont des sources importantes de protéines, de fer et de zinc, tandis que les œufs et les produits laitiers contribuent fréquemment aux apports protéiques. Les carences en fer et en zinc sont effectivement des problèmes majeurs dans certains pays, où les alimentations sont restreintes par des coutumes locales ou par la pauvreté. Chaque point mérite cependant d’être traité en détail, afin de dissiper les éventuelles craintes et d’assurer des apports en protéines, en fer et en zinc propres à maintenir une santé optimale. Il est fréquent qu’une inquiétude infondée soit exprimée vis-à-vis des alimentations végétales, notamment en ce qui concerne les apports en protéines. Selon l’âge, les besoins sont très différents. Stephen Walsh
L'histoire du végétarisme, en BD D'abord quelques définitions: Végétarien: Pas de chair animale. Mais il y a des nuances: Le lacto-ovo-végétarisme: le fait de consommer des produits issus d’animaux comme le lait, ou les œufsLe lacto-végétarisme: le fait de consommer des produits laitiers mais pas d’œufsLe semi-végétarisme: le fait d’exclure la viande mais de consommer du poisson, des fruits de mer voire de la volaille.Végétalien: pas de chair animale ni de produit issu de l'animal (lait/oeuf/miel...).Végan: pas de chair animale, ni de produit issu de l'animal, ni de laine/cuir, pas de test sur les animaux... C'est toujours un peu compliqué l'histoire du végétarisme, ce n'est pas quelque chose de linéaire. Concrètement, le végétarisme a toujours existé, qu'il soit éthique ou pratique. En revanche, en occident, le végétarisme a mis longtemps à se faire admettre. Avant notre ère: les philosophes grecs Aussi, pour Pythagore, abattre des animaux est un crime. Époque romaine: les gladiateurs Moyen-âge: les cathares
Végétarisme, poissons et crustacés Ça me chiffonne depuis longtemps. Il fallait que je vous en parle. Quand je suis devenue végétarienne, ça me semblait absolument évident que mon régime alimentaire exclurait désormais le poisson et les fruits de mer. Je ne comprenais pas que l’on me demande dès lors : » Et tu manges du poisson ? ». Et puis, cet été je suis allée à un mariage. Si l’on décide de ne pas manger de viande par goût ou par habitude, ça peut se comprendre. Le vocable « viande », pour la plupart d’entre nous, renvoie uniquement aux animaux terrestres : porcs, poulets, boeufs, etc. Pourquoi ce spécisme ? Le problème avec ces petits êtres c’est que leur monde est très différent du nôtre. Pourtant, les végétariens – qui le sont devenus pour des raisons éthiques – devraient avoir autant de considération pour un saumon que pour un poulet. On s’imagine que la pêche est moins traumatisante que l’élevage de porcs. La souffrance des poissons est indéniable.
NOUVEAU VÉGÉTARIEN : POURQUOI J’AI TOUT LE TEMPS FAIM ? Depuis que je suis devenue végétalienne, il m’est arrivé d’entendre plusieurs types de remarques de la part de personnes omnivores, végétariennes en transition ou ayant fraîchement arrêté la viande et/ou les produits animaux : Mais je vais mourir de faim sans viande !Ah moi, je me dépense beaucoup : manger végétarien, ça ne me suffit pas !J’ai peur d’avoir faim si j’arrête la viande : par quoi la remplacer ? * Si vous faites partie des gens qui ont déjà prononcé ce genre de phrase, je vous arrête tout de suite : ce n’est pas normal. Si vous avez constamment faim depuis que vous êtes devenu végétarien ou végétalien, c’est que quelque chose ne tourne pas rond et qu’il faut y remédier. C’est pourquoi, aujourd’hui, j’aimerais revenir sur ces erreurs et expliquer comment, en quelques gestes et habitudes simples à mettre en place, on peut les corriger pour bénéficier d’une alimentation végétale saine, complète et équilibrée. En pratique, manger suffisamment gras, c’est manger chaque jour :