Médiation scientifique et culturelle Quel que soit son établissement de rattachement et le domaine dans lequel s'exerce sa mission, le médiateur vise à établir la relation entre l'individu, l'institution et l'objet. La médiation jouit d'une énorme popularité. Tous les établissements patrimoniaux recevant du public disposent désormais de leurs médiateurs ou animateurs. Les établissements scientifiques se lancent dans de vastes entreprises de ce que l'on appelait autrefois "vulgarisation". A côté des établissements spécialisés dans le domaine (centres culturels, centres d'interprétation) les écoles, les médias, les bibliothèques... sont également investis d'une mission de médiation. Les outils de médiation se sont largement diversifiés au fil du temps. On notera pourtant que la médiation s'exerce toujours dans le même sens : des tenants de la culture savante vers les représentants de la culture populaire. Comment imaginer une véritable culture commune sans cette pollinisation croisée ? photo : the_exploratorium via photopin cc
Parcours Avenir Le parcours Avenir permet aux élèves de la sixième à la terminale de construire progressivement, tout au long de leurs études secondaires, une véritable compétence à s'orienter. Pour ce faire, les élèves sont amenés à comprendre le monde économique et professionnel et connaître la diversité des métiers et des formations, à développer leur sens de l'engagement et de l'initiative et à élaborer leur projet d'orientation scolaire et professionnel. Chaque élève, quelle que soit sa formation en voie générale, technologique ou professionnelle peut en bénéficier. Parcours Avenir : le parcours individuel d'orientation et de découverte du monde économique et professionnel Améliorer l’insertion des jeunes et mieux les préparer au monde professionnel suppose que chaque élève puisse connaître les métiers dans leur environnement. 330 pôles de stages sont créés dans les territoires pour répondre aux difficultés des élèves qui ne trouvent pas de stages en entreprise. Ses objectifs Ses spécificités Au lycée
Devenir animateur scientifique jeudi 27 juin 2013 / libellé : Engagements "Avec Les Petits Débrouillards, vous aidez les enfants à s’approprier un peu de la science et de la technique. C’est pour eux une démarche capitale pour participer à la construction du monde dans lequel ils vivront". Albert JACQUART Chaque année, en Bretagne, ce sont près de 100 animateurs qui vont dans les écoles, interviennent dans la rue, dans les fêtes de quartier, dans les musées, dans les festivals,... pour permettre à un maximum d’enfants d’avoir accès à la culture scientifique et technique. Pourquoi pas vous ?! ? Parce que les sciences et les technologiques sont omniprésentes dans notre société. Parce qu’elles sont une source d’étonnement, de découverte et de plaisir ! Participez au projet des Petits Débrouillards Bretagne ! Adhérez ! Une formation personnalisée : le tutorat Déroulement du tutorat 1. 2. 3. Pour m’inscrire à la formation collective. à noter que cette formation collective est payante : 60€ par personne pour les 5 jours.
L'enseignement des sciences Les sciences dans les enseignements obligatoires À l'école élémentaire Les mathématiques à l'école À l'école élémentaire, les élèves suivent 5 heures de mathématiques par semaine, soit 180 heures par an. Ils apprennent les nombres, le calcul et la résolution de problèmes. La pratique des mathématiques développe le goût de la recherche et du raisonnement, l'imagination et les capacités d'abstraction, la rigueur et la précision. Les sciences expérimentales et les technologies à l'école Dès l'école maternelle, les enfants sont initiés à la démarche d'investigation qui développe la curiosité, la créativité, l'esprit critique et l'intérêt pour le progrès scientifique et technique. Les objectifs sont la compréhension et la description de la nature et du monde créé par l'Homme et la maîtrise des changements induits par l'activité humaine. Du CE2 au CM2, les élèves suivent 78 heures de sciences expérimentales et technologies par an. Au collège Les mathématiques au collège La physique-chimie au collège
Vulgarisation - Cours Introduction , "Aspects communicationnels de la transmission des connaissances: lecas de la vulgarisation scientifique"L , "Pragmatique du savoir narratif" et "Pragmatique du savoir scientifique"M , "La connaissance de la connaissance scientifique et l'image de la science dans lasociété" 1. Vulgarisation = transmission à des non expert (quidam) d’un savoir d’un expert (dans undomaine précis). ert) vers un niveau d’expertise bas (plus un système de vase communicant). entre ceux qui savent et ceux qui ne savent pas. Ex : sur une chaise Nous avons déjà au préalable des connaissances pratiques (= compétences acquises) mais c’est décalé d’un point de vue scientifique car on ne connait pas bien les détails. C’e st ca le problème : il faut une communication médiatrice entre ces 2 pôles, entre le savoir d’expert et de non expert. certaine matière. La vulgarisation scientifique relève d’un savoir non formel (c'est-à- dire appris hors d’un lieu formel comme l’école). Le savoir formel e savoir informel il n’y a se 2.
Repenser les espaces documentaires Les 10 documentalistes du Consortium Cdi's ont constaté une diminution des pratiques de lecture, un manque flagrant d'ouverture culturelle et de curiosité chez leur public d'ados ou de jeunes adultes. Ce constat les a conduit à se questionner sur leurs pratiques professionnelles afin de Changer, Découvrir, Innover pour Stimuler (CDI'S) dans les Centres de Documentation et d'Information (C.D.I.) spécifiques aux établissements scolaires du secondaire français. Dans la mesure où les pays d'Europe du Nord sont réputés pour être particulièrement innovants dans leur approche culturelle et pédagogique (makerspace, FabLab, bibliothèques ouvertes...), ils ont choisi de rencontrer des enseignants et des professionnels des bibliothèques, de visiter de véritables tiers lieux, d'échanger sur les stratégies d’attractivité et d’accueil spécialement dirigées vers les adolescents et de découvrir différents systèmes éducatifs (Danemark, Norvège, Islande et Suède les accueilleront en 2020 et 2021).
L'enseignement des sciences Les sciences dans les enseignements obligatoires À l'école élémentaire Les mathématiques à l'école À l'école élémentaire, les élèves suivent 5 heures de mathématiques par semaine, soit 180 heures par an. Ils apprennent les nombres, le calcul et la résolution de problèmes. Ils acquièrent des automatismes. La pratique des mathématiques développe le goût de la recherche et du raisonnement, l'imagination et les capacités d'abstraction, la rigueur et la précision. Les sciences expérimentales et les technologies à l'école Dès l'école maternelle, les enfants sont initiés à la démarche d'investigation qui développe la curiosité, la créativité, l'esprit critique et l'intérêt pour le progrès scientifique et technique. Les objectifs sont la compréhension et la description de la nature et du monde créé par l'Homme et la maîtrise des changements induits par l'activité humaine. Du CE2 au CM2, les élèves suivent 78 heures de sciences expérimentales et technologies par an. Au collège Les mathématiques au collège
L'éducation au développement durable L'École s'engage dans la dynamique des Objectifs de développement durable - Agenda 2030 Depuis la publication des 17 objectifs de développement durable (ODD), dont "Une éducation de qualité pour tous », par les Nations Unies en 2015, ces derniers font l'objet d'appropriations nationales sous la forme des "Agendas 2030". Les ODD font l'objet d'une dynamique d'appropriation forte et rapide par les collectivités territoriales, le monde de l'entreprise et les associations. Les ODD confèrent une nouvelle dimension à l'éducation au développement durable, et un sens planétaire à la mission propre à l'Éducation nationale. Découvrir les 17 objectifs de développement durable Le développement durable est adopté par le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans son acception classique comme étant une démarche de rétablissement d'équilibres dynamiques entre l'environnement, le monde social, l'économie et la culture. Une mise en œuvre progressive
Krishnamurti : médiation en éducation Krishnamurti : de la médiation et du défi en éducation René Barbier Parler de Krishnamurti implique que l'on a pu entrer dans son univers de méditation et son sacré radical. C'est dire qu'il ne s'agit pas de faire une conférence habituelle à son propos mais toujours de partir de soi pour faire comprendre à quel point sa vision concerne le sujet parlant. Ma rencontre avec Krishnamurti Je ne l'ai jamais rencontré physiquement, mais j'ai le sentiment que je l'ai compris spirituellement dès que j'ai lu un premier livre de lui. Vers 25 ans, j'étais en attente d'un mentor, sans doute, dans l'ordre spirituel. 1. Krishnamurti est un penseur qui ne produit pas de concept. Il n'est pas non plus un simple « psychologue », même clinicien. Son propos se résume à vous faire comprendre, à partir de vous-même, ce qu'est un être humain. Comment l'est-il devenu lui-même ? Sa vie Né le 12 mai 1895 (calendrier occidental), Krishnamurti appartient à une famille brahmine modeste de dix enfants. Sa mort en 1986 2.
L'éducation à l'image, au cinéma et à l'audiovisuel À l'école, au collège, au lycée Tout au long du parcours des élèves, l'éducation à l'image, au cinéma et à l'audiovisuel est présente sous différentes formes. Elle contribue à l'acquisition du socle commun de connaissances et de compétences et de culture que chaque élève doit maîtriser à l'issue de la scolarité obligatoire. Le parcours d'éducation artistique et culturelle (PEAC) Le PEAC met en cohérence la formation des élèves du primaire au secondaire, et sur l'ensemble des temps éducatifs : scolaire, périscolaire et extra-scolaire. À l'école : l'initiation La maternelle propose une première sensibilisation artistique. Au CP et au CE1, l’enseignement des arts visuels s’appuie sur une pratique artistique régulière et diversifiée. Du CE2 au CM2, l’enseignement artistique amène les élèves à cerner la notion d’œuvre, avec la fréquentation d’œuvres de plus en plus complexes. Au collège : l'approfondissement Au lycée : la diversification des parcours La place du cinéma au lycée professionnel
René Barbier : l'éducateur comme passeur de sens A la fin de son roman intitulé "Siddharta", l'écrivain Herman Hesse représente l'aboutissement de l'aventure ontologique de son héros en la personne d'un vieux passeur sur le fleuve. Son ami de jeunesse, Govinda, toujours en quête spirituelle, ne le reconnaît pas et continue à suivre son Maître. Il méconnaît ainsi tout ce qu'un "passeur" vers l' "autre rive" comme disent les sages orientaux, pouvait lui apporter. Nous aussi, dans notre monde tourmenté, nous avons besoin de passeurs entre des univers de significations de plus en plus plurielles et paradoxales. Il y a nécessité, en quelque sorte aujourd'hui, de découvrir des "passeurs de sens" entre les spécialités disciplinaires dans l'ordre des sciences de la matière, des sciences de la vie et des sciences humaines. Nous sentons tous la nécessité d'une vulgarisation et de vulgarisateurs des données scientifiques, philosophiques et artistiques qui n'écrase pas leur originalité propre. La question du sens en éducation
Environnement capacitant Pierre Falzon est à l'origine de ce concept d'environnement capacitant qui consiste à considérer toutes les ressources positives d'un milieu qui peuvent favoriser la prévention et la réadaptation durables. Un environnement capacitant rend possible le développement du « pouvoir d’agir », de la « capabilité ». Pouvoir agir et pouvoir d’agir se distinguent par le fait que le pouvoir agir renvoie aux dimensions environnementales de la compétence (je peux le faire, j’en ai les moyens) alors que le pouvoir d’agir renvoie aux dimensions croisées et indissociables du « vouloir, pouvoir, savoir agir » (je peux le faire, je veux le faire, je sais le faire, et j’en prends les moyens). Peter Falzon[1], définit un environnement capacitant (EC) comme un environnement qui permet aux personnes de développer de nouvelles compétences et connaissances, d’élargir leurs possibilités d’action, leur degré de contrôle sur leur tâche et sur la manière dont ils la réalisent, c’est-à-dire leur autonomie.