Hydroréel : Informations relatives aux relevés pluviométriques & limnimétriques Cette carte fournit une indication sur la sévérité de l'étiage. Elle repose sur la comparaison des débits à un moment donné par rapport au débit de référence d'étiage (aussi appelé QMNA5). Le débit du moment est la valeur moyenne du débit calculée sur la période de trois jours qui figure dans l'onglet. Les pastilles sont colorées en fonction du rapport du débit du moment au débit de référence d'étiage comme précisé dans la légende. Dans l'hypothèse où le débit du moment ne peut être calculé (données incomplètes), ou lorsque le débit de référence d'étiage n'est pas connu à ce point de mesures, la pastille est grisée. Cette carte situe le débit à un moment donné par rapport au débit moyen de la rivière appelé module. Le débit du moment est la valeur moyenne du débit calculée sur la période de trois jours qui figure dans l'onglet. Les pastilles sont colorées en fonction du rapport du débit du moment au module exprimé en %, comme précisé dans la légende.
Inondations majeures : un indice pour mieux mesurer la vulnérabilité des villes côtières La Nouvelle-Orléans, Shanghai et encore récemment Bangkok submergée sous des pluies torrentielles, les inondations majeures semblent se multiplier dans les grandes villes côtières. La vulnérabilité de ces grandes métropoles face à des événements climatiques extrêmes est tous les jours plus importante et va en s'aggravant. Mais c'est pourtant loin d'être une fatalité. C'est le gouvernement des Pays Bas qui est à l'origine de cette étude intitulé "Indice de vulnérabilité aux inondations des villes côtières et son utilisation dans l'évaluation des impacts du changement climatique" menée par des chercheurs de l’université britannique de Leeds, aidés par des chercheurs néerlandais. Shanghai, la ville côtière le plus vulnérable aux inondations Selon ce rapport qui passe au cible 19 critères essentiels pour établir l’indice final, c’est Shanghai qui serait la ville du monde la plus vulnérable aux inondations.
Indice poisson rivière Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L' indice poisson rivière (IPR) est un des indices utilisés en France pour utiliser l'ichtyofaune (peuplements de poissons) des rivières en tant qu'indicateur de la qualité de la rivière qui les abrite. Il présuppose que la qualité de la faune piscicole donne une image de l'état écologique général du milieu. distance du point d'échantillonnage à la source ;superficie du bassin-versant ;largeur et profondeur moyenne (tirant d'eau) de la station ;température moyenne de l’air (de janvier à juillet) ;relation au bassin hydrographique. l'IPR été normalisé sous l'égide de l'AFNOR qui l'a validé en mai 2004, de manière qu'il puisse être utilisé dans différents environnements, en France métropolitaine. Histoire[modifier | modifier le code] Il repose sur deux hypothèses. Éléments méthodologiques[modifier | modifier le code] La version normalisée de l’IPR donne une valeur, qui est la somme des valeurs des 7 métriques suivantes : Descamps (H.), Naiman (R.
Risque inondation : publication d'un référentiel national pour l'adaptation des logements en zone inondable Entre 2001 et 2010, 15% des évènements dommageables d’origine naturelle sur le territoire national français étaient liés à des inondations. C'est pourquoi en France où 17 millions de personnes habitent en zones inondables, les inondations sont classées en risque majeur. Mais notre pays manquait d'un document de référence en matière d'adaptation des logements à ce risque d'inondation. C'est désormais chose faite avec la diffusion le 13 juillet 2012 par le ministère de l'Écologie du "Référentiel de travaux de prévention du risque dans l'habitat existant". Outil de la prévention du risque inondation Pour le Centre Européen de Prévention du Risque d'Inondation (CEPRI) "il ne fait nul doute que ce référentiel contribuera à homogénéiser la connaissance de cette problématique sur le territoire français et à faire progresser les pratiques de réduction de la vulnérabilité de l'habitat là où elles s'avèrent les plus pertinentes."
Indice poissons rivière (IPR) - Labocéa L’IPR se base sur l’étude de l’ichtyofaune (peuplement de poissons) pour évaluer la qualité physico-chimique, l’habitat et l’hydro-morphologie d’un cours d’eau. Cet indice permet de mesurer l’écart entre le peuplement observé à partir d’un échantillonnage par pêche électrique et le peuplement de référence, c’est-à-dire dans un milieu peu impacté par les humains. Il permet ainsi d’évaluer le niveau d’altération des peuplements piscicoles à partir de différentes caractéristiques (métriques) sensibles à l’intensité des perturbations anthropiques. Application pour évaluer la morphologie globale d’un cours d’eau, notamment la continuité écologique, ainsi que l’hydrologie et la qualité de l’eau. La méthode peut s’appliquer à l’ensemble des cours d’eau peu profonds dont on peut prospecter la totalité du lit mouillé, à pied ou au moyen d’une embarcation légère. Les prélèvements des poissons s’effectuent lors de la période d’étiage. Exemple de la réalisation d’une « pêche complète »
Les repères de crues Qu'est-ce qu'un repère de crues ? Témoins historiques de grandes crues passées, les repères de crues sont des marques destinées à faire vivre la mémoire des inondations. Ils matérialisent le souvenir de ces évènements importants que le temps peut parfois effacer. Les repères de crues se présentent sous différentes formes : trait ou inscription gravée dans la pierreplaque métallique ou macaron scellétrait de peinturecarreaux en émail et bien d'autres encore... Ces repères peuvent se trouver sur différents types de bâtiments : Bâtiments publics ou privéesQuaisPontsmonuments historiques A quoi servent les repères de crues ? Les repères de crues font partie du patrimoine des connaissances sur les crues. © www.nimes.fr © Le SMMAR L'obligation légale d'informer sur le risque d'inondation : inventaire et pose de repères de crue Les communes ont pour obligation légale d'informer les citoyens sur les risques majeurs qu'ils encourent, auxquels appartient le risque d'inondation. Parmi eux :
Réserve de pêche | Outils juridiques pour la protection des espaces naturels mise à jour: 16/10/2011 Espaces d'applicationObjectifsProcéduresActualisation / EvaluationEffets juridiquesExemplesLes différents acteurs et leur implicationPour aller plus loin Espaces d'application Certaines sections de canaux, cours d'eau ou plans d'eau entrant dans le champ d'application des articles L. 431-3 (eaux libres) et L. 431-5 (eaux closes pour lesquelles le propriétaire a demandé l'application de la police de la pêche) du code de l'environnement. Objectifs Favoriser la protection ou la reproduction du poisson. Procédures Arrêté préfectoral. Actualisation / Evaluation La législation ne prévoit aucun mode d'actualisation ou d'évaluation de ce type de protection. Effets juridiques En outre, la pêche aux engins et aux filets est interdite sur une distance de 200 mètres en aval de l'extrémité de tout barrage et de toute écluse. Exemples Les préfets du Calvados, de Loire-Atlantique, de Haute-Garonne et de l'Hérault ont institué de telles réserves temporaires. Pour aller plus loin
Le risque inondation lié à la fonte des neiges en plaine Un brusque redoux après un important épisode neigeux peut provoquer de inondations majeures, aussi subites que brutales, surtout lorsqu'il se combine avec de fortes pluies. Les dégâts occasionnés pourront être particulièrement élevés dans des régions où ce risque est mal connu et rarement pris en compte. C'est notamment le cas des zones littorales peu habituées aux fortes chutes de neige. Un risque mal anticipé en plaine C'est bien à la suite de ce phénomène de fonte de neige que la ville de Cherbourg a connu une crue historique le 5 décembre dernier. La ville de Cherbourg sous les eaux Après la neige, les crues Des agglomérations, situées en plaine, et a fortiori en bord de mer comme Cherbourg, ne sont en général pas du tout conçues pour vivre avec de la neige et n'intègrent pas ce risque climatique dans leur politique d'urbanisation. L'Ile-de France a connu un épisode neigeux exceptionnel en cette fin d'année 2010© hcfdc Une neige particulièrement liquide en plaine
GEMAPI et Grand Cycle de l'Eau - Parc naturel régional du Haut Jura En 2014, la loi MAPTAM instaure une nouvelle compétence obligatoire aux Etablissement Public de Coopération Intercommunale : la Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI), tout en les incitant à mutualiser cette compétence à l’échelle des bassins-versants. Le Parc exerce cette compétence dans le cadre de ces missions Grand Cycle de l’Eau Sur le territoire, les collectivités ont décidé de confier la compétence GEMAPI au Parc. Ce choix a été motivé d’une part, par son expérience de longue date dans la préservation des cours d’eau et des milieux humides et, d’autre part, par la nécessité d’une action cohérente à l’échelle des bassins-versants. En effet, les cours d’eau ne connaissent pas les limites administratives. Une action de l’Homme à l’amont d’un cours d’eau peut avoir une répercussion à l’aval (et inversement). Voir en plein écran Concrètement qu’est ce que la GEMAPI ?