Les répressions allemande et vichyste contre la Résistance - Le Mont-Valérien pendant la Seconde Guerre mondiale - Le Mont Valerien, haut lieu de la mémoire nationale Le 1er juin 1942 le général SS Karl Oberg est nommé « Chef suprême de la SS et de la police en France ». Il prend la relève de la politique de répression en France occupée et poursuit la stratégie du MBF jusqu'à l'automne 1942, date à laquelle la politique des otages est abandonnée. La SS développe ensuite ses propres mesures répressives, alors même que les tribunaux militaires continuent à sévir. Intensification de la répression Les SS héritent de l’application de la politique des otages. Le 10 juillet, les SS étendent la définition de l’otage aux membres des familles des résistants recherchés. Les SS assurent également la déportation de représailles, prévue par le MBF depuis décembre 1941, de près de 1 200 otages communistes vers Auschwitz le 6 juillet 1942. La fin de la politique des otages Néanmoins les attentats se poursuivent et les exécutions massives sont désapprouvées par l’opinion publique. Les déportations et les condamnations à mort La lutte contre les « bandes armées »
Quatre résistants français entrent au Panthéon Geneviève de Gaulle-Anthonioz, la nièce du Général de Gaulle, a 20 ans quand elle rejoint les réseaux, en 1940. En 1943, elle est déportée au camp de Ravensbrück. Au sortir de la guerre, qui a laissé une France exsangue, elle s'engage auprès des plus démunis, en fondant notamment l'association ATD Quart-Monde. Germaine Tillion, en 1940 également, a participé à la création du réseau "Musée de l'homme". Déportée elle aussi à Ravensbrück, à son retour cette grande ethnologue s'appliquera à étudier les systèmes concentrationnaires. L'intellectuel et journaliste Pierre Brossolette reste dans les mémoires comme l'un des chefs les plus illustres de la Résistance. Le JT
Bombarder l'Europe Nazie contenu Attention, votre navigateur ne supporte pas le javascript ou celui-ci a été désactivé. Certaines fonctionnalités de ce module sont restreintes. Bombarder l'Europe Nazie Contenu : Simone Veil, cinquième femme à entrer au Panthéon "Aux grandes femmes la patrie reconnaissante." En cinq jours, 350 000 personnes ont signé la pétition en faveur de Simone Veil. "Je l'ai signée parce que je trouve qu'il y a plein de grands hommes dedans et là c'est une grande femme qui est peut-être plus grande que les hommes à l'intérieur et elle le mérite", explique une femme à l'entrée du Panthéon. Il y a dix ans au Panthéon, Simone Veil rendait hommage aux Justes de France qui avaient sauvé des juifs pendant la guerre. Quelques années plus tôt, elle déplorait l'absence de femmes au Panthéon. Le JT
Nuit et Brouillard 2 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Les images sont accompagnées de la lecture d'un texte de l'écrivain français Jean Cayrol, résistant français déporté dans le KZ Mauthausen en 1943. Le 31 janvier 1956, le film remporte le Prix Jean-Vigo.
Nuit et Brouillard 1 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est dit par Michel Bouquet. Les images sont accompagnées de la lecture d'un texte de l'écrivain français Jean Cayrol, résistant français déporté dans le KZ Mauthausen en 1943.
Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. En savoir plus
L'attaque de Pearl Harbor (7 décembre 1941) L'attaque sur Pearl Harbor, base navale américaine située sur l’île d’Oahu, dans l’archipel d’Hawaï, au cœur de l'océan Pacifique, fut lancée par surprise le matin du dimanche 7 décembre 1941 par le Service aérien de la marine impériale japonaise contre la flotte américaine du Pacifique dans le port et d’autres forces qui stationnaient aux alentours. Cette attaque s’inscrit dans la politique d’expansion impériale. L’anéantissement de la principale flotte de l'United States Navy devait permettre à l’empire du Soleil levant d’établir sa Sphère de coprospérité de la grande Asie orientale. Pearl Harbor : un jour d'infamie La flotte japonaise quitte le Japon fin novembre. Le bilan de Pearl Harbor Les pertes s’élèvent à près de 3000 morts côté américain, dont la moitié dans l’explosion du cuirassé USS Arizona ; il y a aussi plus de 70 morts du côté des civils. Surtout, dans l’attaque, les Japonais n’ont pu toucher aucun porte-avions. Bibliographie - Jean-Jacques Antier, Pearl Harbor.
6 juin 1944 : Débarquement allié en Normandie Le débarquement Allié en Normandie le 6 juin 1944 fut la plus grande opération amphibie et aéroportée de toute l’Histoire. C’est le moyen qu’ont trouvés les occidentaux pour s’attaquer directement aux forces allemandes, et espérer ainsi vaincre définitivement l’ennemi… Comment a été préparé ce débarquement ? Autant de questions auxquelles ce dossier apporte des réponses… · Quelle est la situation militaire en Europe à la veille du débarquement ? La guerre à débutée en Europe le 1er septembre 1939. Situation militaire en Europe le 5 juin 1944 Légende de la carte : En blanc les pays neutres (Portugal, Espagne, Turquie, Suisse, Irlande, Suède) En noir : les possessions allemandes à la date du 5 juin 1944 En gris clair : le Royaume-Uni et les reconquêtes américano-britanniques En gris foncé : L’URSS et ses reconquêtes · Pourquoi les Alliés ont-ils débarqués en Normandie ? Alors où débarquer ? · Pourquoi le débarquement a-t-il eu lieu le 6 juin 1944 ? · Comment s’est déroulé le débarquement ?
Hiroshima et Nagasaki, 6 et 9 août 1945 : Qui sont les pères des bombes atomiques larguées sur ces deux villes ? Rappel des faits Hiroshima 6 août 1945 Durant les premiers mois de 1945 les américains lancent des bombardements stratégiques sur le Japon pour le forcer à capituler. Le 19 mars 1945, les Américains organisèrent un raid sur Tokyo. 234 B-29 larguent leurs bombes incendiaires rasant 26 kilomètres carrés de la ville et faisant près de 84 000 morts majoritairement des civils. Qui sont les pères des bombes nucléaires lancées sur Hiroshima et Nagasaki ? Nagasaki 9 août 1945 Responsables politiques - Qui a décidé la fabrication de la bombe atomique ? Seconde Guerre mondiale - Archives vidéo et radio Ina.fr