Twittérateurs [*twittérateurs au fil « pur », sans RT, @, #] chaque gazouillis raconte une histoire complète (« twisters ») en 140 caractères (ou non!) dont les gazouillis constituent le fil continu d'une œuvre à caractère romanesque : 140 CARACTÈRES (chacun des gazouillis compte exactement 140 caractères)+/-140 CARACTÈRES Poésie Les extrémistes dont tous les gazouillis (à caractère poétique) suivent une forme fixe prédéterminée : haïku, quatrains, même amorce, nombre de mots ou de syllabes, etc. Les hybrides Twittérateurs de tous autres genres ou dont le fil littéraire est enchevêtré de RT, @, #... mais qu'on aime bien quand même! Twittérateurs dont le fil mélange perles de twittérature, poésie... et RT, @, #... (avec une prédominance de gazouillis littéraires) Twittérateurs faisant autre chose que du récit ou de la poésie, et dont les clins d'oeils et coups d'éclat suivent une forme fixe » RETWEETEURS et autres Les « retweeteurs » et autres passionnés passeurs de twittérature » POÉSIE, TWAÏKUS, etc.
Poésie maintenant TWITTONOUVELLES Sous le feu – Spasmes - Lettre à ma fille Jeudi, 12 Mai 2011 00:00 Agrippine de la Mancha T u t'appelles Ana. Ana Angèle Raymonde. Dans certains contes, des fées se posent sur les berceaux pour offrir aux nouveaux nés des dons, des qualités. Tu es et tu seras ma chérie, regardée comme étant la petite fille aux deux mamans. Mais, au moins, tu auras cet avantage sur les autres, ma petite Ana, les « Affreux » s'élimineront d'eux-mêmes. Sur tes mamans, tu entendras peut-être des vertes et sûrement des pas mûres, comme l'idée qu'il vaut mieux que tu aies deux mamans que des parents alcooliques, violents, drogués et j'en passe. Nous sommes, au contraire, des mamans toutes entières qui ont réfléchi durant six longues années avant de nous lancer dans cette aventure, ton aventure, notre aventure. Aujourd'hui, je refuse pour toi, ma petite Ana, ce mot d'homoparentalité comme j'ai refusé autrefois en rencontrant ta maman Maou, le mot d'homosexualité. Chaque jour, ma chérie, je m'étonne avec bonheur de te voir avec nous. Ta maman.
W.Blake, un peintre-poète visionnaire... "En 1757, Emmanuel de Swedenborg eut sa vision du Jugement dernier, qui lui annonçait l'avènement d'une ère nouvelle : les vieilles religions avaient fait leur temps; l'esprit allait l'emporter sur la lettre, et la vraie lumière éclairer l'humanité. William Blake naquit la même année. Imbu dès sa jeunesse des doctrines swedenborgiennes, il vit dans cette coincidence un signe divin, qui le marquait pour être un des prophètes des temps nouveaux. Little Lamb, who made thee? Little Lamb, I'll tell thee, Little Lamb, I'll tell thee. William Blake by: William Blake (1757-1827) A little black thing in the snow, Crying "weep! "Because I was happy upon the heath, And smiled among the winter's snow, They clothed me in the clothes of death, And taught me to sing the notes of woe. "And because I am happy and dance and sing, They think they have done me no injury, And are gone to praise God and his priest and king, Who make up a heaven of our misery." La place me manque pour insister.
LE DIFFUSEUR POETIQUE Three Women Poets Bare Their Souls - Cultural Weekly For Valentine’s Day, Cultural Weekly has chosen three women poets in different stages of their lives to write about love: Mary Fae Smith, Alicia Young, and Loretta Oleck. Mary Fae Smith “I like him because he’s witty and knows just how to treat me like trash the way I want. I like him in that you-treat-me-like-shit-and-I-want-more-sorta-way. I like him for the slaps he sends up and down my face, my back, my body, my soul. I learn to unlearn to love him. For you, my love, I will do nothing. But I’d sure love someone to hold me right now. Mary Fae Smith Once, a long time ago, a friend called Mary Fae Smith a writer. Mary Fae is writing her autobiography in real-time via her Facebook status updates. Alicia Young the problem with dick i am of no real use to him or anyone else for that matter as this poetry had taken hold in my 30′s now i’m a traveling saleswoman save my sons but they came before motherhood is my pre-existing condition no i won’t wear white didn’t care for it the first two times
Notre son de ce jour, mes sons d'ici, d'ailleurs, de partout... ou presque | Mes sons d'ici, d'ailleurs, de partout… ou presque LES PAS PERDUS | art & chasse Il faut considérer la chasse avant le tragique de la mise à mort qui en est le terme et avec laquelle tout un chapitre s’effondre. Car chasser n’est pas abattre. Quiconque a vu le fameux documentaire de Jean Rouch sur la chasse aux lions à l’arc tourné en 67 à la frontière du Mali et du Niger mesure ce qui est engagé par cette extrémité. Ce que cela nécessite de détours, de considérations, de gestes et de rituels magiques pour qu’enfin une poignée d’hommes triés s’engage dans la traque de l’animal grandi par son aura, presque mythifié dont on ne sait plus déjà s’il n’est pas au fond un principe, un Dieu dont le sentiment plane partout sans jamais vraiment se manifester. Lion dont on attrape et perd la piste et qui tourne en soi comme une folie dans la terre sèche, les buissons, le soleil ; dans son absence même. Répondre