Ecrire son anxiété pour réduire l’effet du stress aux examens Les recherches en sciences sociales publiées dans la revue Science ne sont pas légion, alors elles méritent bien qu’on s’y intéresse un peu ! Un article [1] paru récemment a montré par des expériences contrôlées que le fait d’écrire son anxiété juste avant un examen peut permettre aux élèves d’améliorer leurs résultats scolaires. Cette étude menée par G. Ramirez et S. Beilock de l’Université de Chicago a consisté en deux séries d’expériences : l’une en laboratoire, et l’autre en conditions réelles. Le stress en laboratoire Pour l’expérience en laboratoire, les étudiants ont été invités à faire deux tests de mathématiques. L’objectif du second test était d’évaluer la performance en situation de stress. Tout d’abord ils ont dit aux étudiants qu’ils recevraient une récompense monétaire s’ils réussissaient bien. Et pour couronner le tout, les auteurs ont également ajouté un élément de pression sociale façon « serez-vous le maillon faible ?» Ecrire son anxiété Le test grandeur nature [1] G.
Les meilleurs profs sont-ils ceux que l’on aime ? Pour le psychiatre Boris Cyrulnik, les enseignants ont un fort "impact affectif" sur leurs élèves. Il est vrai que les cours de nos profs préférés nous semblent souvent plus intéressants ! Beaucoup de gens ont croisé, durant leur scolarité, un enseignant marquant, dont ils se souviennent encore aujourd’hui. Pour le psychiatre Boris Cyrulnik, il est certain que les professeurs ont un « impact affectif » très fort sur leurs élèves. Une influence dont ils n’ont souvent pas conscience. « Certains instituteurs, professeurs de collège et de lycées, vont rassurer et réconforter les enfants par leur façon d’être, leur manière de parler, leur attention à reprendre autrement une explication mal comprise… Généralement, ils ne s’en rendent pas compte, explique-t-il. Et en croire les témoignages d’hommage postés sur la page « Mon prof, ce héros » du blog éducation du Monde, la rencontre avec un enseignant peut effectivement être décisive. « Heureux sont ceux qui ont croisé la route de M.
Combattre les démons du non - Improse 5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 13:48 La technique d'acceptation en impro est sans doute à l'origine de la sensation d'écriture préalable qui traverse le public alors que la scène se réalise dans l'instant. Cette juste technique permet une progression plus fluide de la scène. Elle prend à revers une première réaction de déni peu constructive ou une tendance à la négociation ralentissant le jeu. Néanmoins, cette technique est parfois difficile à appliquer, car elle va à l'encontre des mécanismes habituels. Pour pouvoir vaincre une tendance naturelle à s'aggriper à sa zone de confort ou à réagir avec une impulsion primaire (les démons du non), l'improvisateur peut travailler à une réponse plus élaborée. Ainsi l'improvisateur se place en situation d'observateur de ses propres réactions avant d'en prendre conscience et de répondre à toute sollicitation. observerprendre consciencerépondre Quelques exercices d'application Méditation sauvage "Linge sale"
"Les paroles humiliantes peuvent détruire des neurones chez les enfants" - L'Express Styles Pourquoi les nouvelles connaissances sur le cerveau devraient-elles changer la manière d'éduquer notre progéniture? Les chercheurs du XXIe siècle nous disent ce qui favorise le bon développement de l'enfant: une relation bienveillante, empathique, soutenante. Car cette attitude permet à son cerveau, très fragile, d'évoluer de façon optimale. Les liens affectifs influencent à la fois les capacités de mémoire, d'apprentissage, de réflexion, mais aussi les capacités relationnelles, les émotions, les sentiments. Ils modifient la sécrétion de molécules cérébrales, le développement des neurones. En quoi est-ce une révolution? La grande majorité des parents ont été élevés avec des menaces, sommés d'obéir sous la pression du fameux "Je compte jusqu'à trois: un, deux..." Pourtant, ces parents ont grandi à l'époque Dolto... Françoise Dolto a eu le mérite de demander aux adultes de considérer les enfants comme des personnes.
Entrevue avec Frédéric Falisse, inventeur de la questiologie Je suis ravie de vous présenter une entrevue, que j’ai réalisée avec Frédéric Falisse, chercheur, coach-formateur belge, concepteur développeur de la questiologie. Vous allez découvrir un professionnel, un homme passionné et passionnant, talentueux et animé d’une énergie créative débordante. Si vous souhaitez améliorer votre capacité à poser des questions puissantes, ce qui suit va sûrement vous captiver… Bonjour Frédéric, alors dis-nous : qu’est ce qui t’a poussé à inventer la Questiologie©? Au cours de mon parcours professionnel très atypique, j’ai eu la chance de rencontrer des univers différents (éducation, RH, développement personnel, business, politique, …) où j’ai découvert que les top-managers, les coachs, les journalistes, les politiques, les éducateurs, … qui ont une réelle influence sur leurs proches ou sur leur organisation partagent tous la compétence de poser la bonne question au bon moment. Or, j’ai la conviction que Picasso était Picasso par son talent et sa technique.
Dix conseils pour…Développer une bienveillance scolaire globale Par Gilbert Longhi Le déficit de considération au détriment des élèves résulte souvent d’une kyrielle d’usages ne paraissant pas prêter à conséquence. Voici des exemples extraits des travaux de l’Observatoire déontologique de l’enseignement (1). Lycée Emile Flamand …Les demi-pensionnaires patientent pour entrer au réfectoire tandis que les profs empruntent un raccourci qui les dispense de la longue file d’attente dans le froid, le vent et la pluie. Parfois lorsqu’un des enseignants passe devant tous les élèves quelques uns goguenards manifestent leur désapprobation. À la queue, à la queue ! Les jeunes français sont les champions du désamour de l’école. L'école, un univers pédophobe À quelques exceptions près (4) l’établissement scolaire est un univers pédophobe (5) . Premier conseil : Instituer un moratoire Le dossier scolaire sert souvent à transformer passé scolaire d’un élève en passif. Deuxième conseil : Neutraliser les archaïsmes de la notation (évaluation) Gilbert Longhi Notes :
Storytelling, la machine à formater les esprits (C. Salmon) Détails Catégorie parente: Notes sur oeuvres Catégorie : Sociologie Écrit par Michel Drac Christian Salmon est écrivain. Bref, Christian Salmon est écrivain. Ça s’appelle « Storytelling », ça parle de la destruction programmée du récit par quelque chose qui n’est pas le récit, mais qui y ressemble bigrement, et c’est très, très intéressant. Par exemple… Saviez-vous que l’armée américaine entraîne maintenant ses soldats sur des jeux vidéo ? Saviez-vous qu’au début des séminaires d’entreprise des plus grands groupes mondialisés, c’est la mode de raconter des contes enfantins ? Saviez-vous que depuis le début des années 90, aux USA, le « storytelling », l’art de raconter des histoires, est devenu une technique d’ingénierie sociale très répandue, et de l’avis unanime très efficace ? L’Amérique est un récit. Le storytelling est partout en Amérique. Qu’est-ce que le 11 septembre 2001, au fond ? Cela pourrait commencer par : Le comportement des consommateurs est devenu erratique. Voilà le concept.
La compassion sur les bancs de l’école « Il ne faut pas se demander seulement quelle planète nous laisserons à nos enfants, mais quels enfants on laissera à la planète ! » plaide le philosophe Edgar Morin. Dans un monde qui fait de moins en moins sens, par trop de divisions, de repli et d’indifférence, remettre la compassion au cœur de l’éducation devient fondamental. Comment procéder ? Focus sur quelques initiatives clés. © Mission Rosalie Cadron Sur le terrain, les actions d’ouverture à la citoyenneté se multiplient : par ici, des jeux coopératifs destinés à favoriser l’écoute et le respect ; par là, des projets d’éducation à la philanthropie, afin d’éveiller les plus jeunes aux défis sociaux et au bien commun... Suffisant pour ancrer une culture de la compassion ? Enraciner le questionnement Pendant des années, l’école primaire de Tursac, en Dordogne, a proposé à ses élèves des ateliers d’apprentissage des valeurs humaines. Repenser la relation Tirer le fil D'autres ont aimé... Sur le même thème...
La première carte corporelle des émotions Des chercheurs finlandais ont détaillé les effets physiques du bonheur, de la peur, de la tristesse et d'autres sentiments. «La peur au ventre», «sentir monter la colère», «la tristesse me serre le cœur». La langue française attribue depuis des siècles une manifestation physique à chacune de nos émotions, et les recherches scientifiques menées ces vingt dernières années ont montré que cela n'avait rien d'une croyance populaire. Dernière preuve en date: la «carte corporelle des émotions » établie par des chercheurs finlandais. Leurs travaux, publiés fin décembre dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences américaine (PNAS), confirment notamment que les principales émotions humaines que sont la peur, la tristesse ou le bonheur sont ressenties physiquement de la même façon pour tous, quelle que soit la culture d'origine de l'individu. Pour le spécialiste, cette topographie inédite pourrait faire avancer la recherche dans la compréhension des mécanismes émotionnels encore mal connus.
Range ta chambre ! Pourquoi ça ne marche pas ? | Bénédicte Régimont Le Huffpost et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité.