George Sand Signature À l'image de son arrière-grand-mère, Louise Dupin, qu'elle admire[2], George Sand prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice. George Sand a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine, dont elle a lancé la mode[note 1], par son pseudonyme masculin, qu'elle adopte dès 1829[note 2], et dont elle lance aussi la mode : après elle, Marie d'Agoult signe ses écrits « Daniel Stern »[5], Delphine de Girardin prend, en 1843, le nom de plume de « vicomte Charles de Launay »[6]. Elle se tourne ensuite vers le milieu paysan et écrit des romans champêtres idéalisés comme La Mare au diable (1846), François le Champi (1848), La Petite Fadette (1849), Les Maîtres sonneurs (1853). Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] « On n'est pas seulement l'enfant de son père, on est aussi un peu, je crois, celui de sa mère. « Oui, je l'aime lui ! Sources :
Littér@tice | Littérature au lycée Histoire graphique du livre Louisa May Alcott Portrait de Louisa May Alcott en 1870. Signature Louisa May Alcott est connue internationalement pour son roman Little Women traduit en français sous le titre de Les Quatre Filles du docteur March. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Louisa May Alcott est la seconde des quatre filles d'Amos Bronson Alcott et d'Abby May Alcott. Un père non conventionnel[modifier | modifier le code] Une vieille famille anglaise[modifier | modifier le code] Éducation[modifier | modifier le code] Lyman Beecher[modifier | modifier le code] Le colporteur[modifier | modifier le code] En mai 1819, ayant mis de côté la somme de 80 $[note 2], il retourne au Connecticut et donne ses économies à son père. Changement de nom[modifier | modifier le code] Faillite personnelle[modifier | modifier le code] En octobre 1821, Amos Bronson Alcott se relance dans le colportage, il contracte un emprunt pour acheter un cheval et un chariot et de l'argent prêté par son père.
Repères chronologiques pour la poésie Influence de la linguistique, de la psychanalyse, puis de l’informatique, abolition des frontières entre les arts sont les principaux facteurs de mutation de la poésie du 20e siècle. Après un début de siècle hétéroclite, dominé en France par les « poètes de Dieu » Charles Péguy et Paul Claudel, un art nouveau se développe. Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars (Grande Guerre) inventent une poésie nouvelle : rapprochement de la littérature et des arts plastiques, thèmes neufs puisés dans la civilisation moderne, exploration de formes nouvelles d’écriture (calligrammes) et de cultures (exotisme, art nègre), recherche constante de l’effet de surprise jettent les prémices de l’art surréaliste. La guerre et l’échec des valeurs de l’ancien monde, les crises politiques raniment le lien entre poésie et action. Dans toute l’Europe, des avant-gardes entreprennent d’exprimer par l’art la recherche d’un nouveau rapport au monde. Le paysage poétique est morcelé. La poésie marque le pas.
SACD : La bibliothèque Consultez le catalogue en ligne Véritable centre de ressources, la bibliothèque est le lieu de conservation et de diffusion d’œuvres déclarées à la SACD. Elle collecte et diffuse les textes joués (édités ou non), donne des informations sur leurs exploitations. Ses collections rassemblent 200 000 documents, du 17ème siècle à nos jours, sur le spectacle (théâtre, musique, danse, radio, cinéma, télévision) La bibliothèque est aussi une bibliothèque patrimoniale. Les outils de recherches Le catalogue informatisé,l’état des fonds patrimoniaux (archives de la SACD et fonds d’auteurs),de multiples bases de données,des ouvrages de documentations et de références, Le public La bibliothèque accueille tous les acteurs du spectacle, amateurs ou professionnels : Auteurs, comédiens, metteurs en scène, producteurs, diffuseurs, journalistes …,ainsi que les chercheurs, les éditeurs, les documentalistes, les universitaires … L’accès à la bibliothèque est gratuit. Actualités 2014 Les rencontres en 2013
Lydie Salvayre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Lydie Salvayre, née Lydie Arjona le 5 septembre 1948 à Autainville (Loir-et-Cher), est une écrivaine de langue française. Elle est lauréate du prix Goncourt 2014[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Après son bac, elle suit des études de Lettres à l'Université de Toulouse, où elle obtient une licence de Lettres modernes, avant de s'inscrire en 1969 à la Faculté de Médecine. Lydie Salvayre commence à écrire à la fin des années 1970 et commence à publier dans des revues littéraires d'Aix-en-Provence et de Marseille au début des années 1980. En 2014, elle reçoit le prix Goncourt pour son roman Pas pleurer où apparaît la figure de Georges Bernanos et la voix de sa propre mère qui lui raconte au soir de sa vie la Révolution libertaire de 1936 en Espagne. Son œuvre est traduite dans une vingtaine de langues. Publications[modifier | modifier le code] Préfaces Théâtre et radio[modifier | modifier le code]
Édition des manuscrits de Madame Bovary de Flaubert | Transcriptions | Classement génétique Ingeborg Bachmann Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale d'Ingeborg Bachmann à Klagenfurt. Ingeborg Bachmann est la fille d'un directeur d'école protestant, Mathias Bachmann, qui adhère au NSDAP en 1932, alors encore interdit en Autriche, et qui s'engage comme volontaire dès la déclaration de guerre à la Pologne en 1939[1]. Après avoir commencé des études de droit, elle se consacre aux lettres et à la philosophie et obtient son doctorat de philosophie en 1950 avec une thèse intitulée : La Réception critique de la philosophie existentielle de Martin Heidegger. Comme beaucoup d'écrivains germanophones de l'immédiat après-guerre, elle commence sa carrière de poétesse à l'intérieur du Groupe 47. Elle reçoit du reste le prix du Groupe 47 pour son premier recueil de poèmes, Le Temps en sursis (Die Gestundete Zeit), en 1953. Ses poèmes et pièces radiophoniques reçoivent à la fois un succès critique et un engouement du public, et lui assurent une grande renommée dans le monde germanophone.
Les Belles Étrangères - Colombie - du 8 au 20 novembre 2010 Djuna Barnes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] En 1915 paraît son Book of Repulsive Women, qu'elle illustre elle-même. Après cette date Djuna Barnes, qui souffre de dépression chronique, publie peu. Ce n'est qu'en 1958 que paraît sa longue pièce en vers The Antiphon. Œuvres[modifier | modifier le code] Parutions originales The Book of Repulsive Women : 8 Rhythms and 5 Drawings, New York, Bruno Chap Books, 1915 ; Washington (D. Traductions en français L'Arbre de la nuit, préface de T. Adaptations[modifier | modifier le code] Au cinéma[modifier | modifier le code] The Ladies Almanack, film américain réalisé par Daviel Shy, sorti en 2017. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Littérature lesbienne Autres projets[modifier | modifier le code]
Plus beaux livres français Nancy Huston Nancy Huston en 2008. Œuvres principales Nancy Huston (prononcé en anglais : /ˈnænsi ˈhjustɨn/[1]), née le 16 septembre 1953 à Calgary en Alberta au Canada, est une femme de lettres franco[2]-canadienne[3], d'expression anglaise et française. Elle vit à Paris en France, depuis les années 1970. « J’ai vécu une adolescence assez sombre, et mes débuts dans l’âge adulte ont été compliqués. J’étais anorexique, suicidaire. Sa carrière de romancière débute en 1981 avec Les Variations Goldberg. En 2023, elle publie en France aux éditions L'Iconoclaste, dans la collection Iconopop son premier recueil de poèmes " Choses dites "[8]. Nancy Huston est également musicienne, jouant du piano, de la flûte et du clavecin. En 1979, elle se marie[5] avec le sémiologue français d'origine bulgare Tzvetan Todorov, père de ses deux enfants, Léa et Sacha. De l'anglais au français Autre Participation à des recueils collectifs : Officier de l'ordre du Canada (2005) Sur les autres projets Wikimedia :
Adélaïde de Clermont-Tonnerre sacrée par l'Académie française L'institution lui a décerné le grand prix du roman pour son livre Le Dernier des nôtres . Le grand prix du roman de l'Académie française a été décerné à la romancière Adélaïde de Clermont-Tonnerre pour son second roman, Le Dernier des nôtres (Grasset). À 40 ans, elle succède au palmarès à Boualem Sansal (2084. La fin du monde) et Hédi Kaddour Les Prépondérants), tous les deux récompensés en 2015. Les autres finalistes étaient Benoît Duteurtre (Livre pour adultes) et Sylvain Prudhome (Légende). Dans Le Dernier des nôtres, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, directrice de la rédaction de Point de vue, nous balade entre l'Allemagne en ruines de 1945 et le Manhattan de la fin des années 1960 et du début des années 1970, à travers l'étrange personnage de Werner Zilch, orphelin de naissance, et entrepreneur en bâtiment. Déjà remarqué, le premier roman d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre,Fourrure, publié en 2010, avait été récompensé par le prix Françoise-Sagan.