lsa-conso Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux. Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Il adhèrera ainsi à l’agriculture urbaine et locale (cueillette de fruits…) ou à une expérience détachée des intrusions publicitaires. Le social-shopper ou « influenceur » Le plus connecté ! Ses outils privilégiés ? L'emo-shopper ou « wahou addict » L'alter shopper ou « norm-core » Le successeur du hipster.
L’achat groupé, le mode d’achat en vogue L’achat groupé, existe depuis bien longtemps. Les musées, les visites guidées mais surtout les agences de voyages ont été à la tête de cette idée novatrice. Avec l’arrivée d’Internet et la situation économie du monde actuel, ce marché est en pleine expansion et ne se limite plus à des besoins de divertissement. En effet tous les bons plans sont bons pour faire des économies, tout en profitant au maximum de la vie. Les avantages de l’achat groupé Depuis les développements des réseaux sociaux, le marché de l’achat groupé a été grandement facilité. Les entrepreneurs et les commerçants ne sont pas en reste. Les inconvénients de l’achat groupé Et oui comme pour tout concept, il y a le revers de la médaille. En effet, il n’est pas rare que le commerçant et le site d’achat groupé gonflent le prix d’origine pour proposer ensuite une réduction importante.
Je Like - Comment les produits High-tech influencent l'acte d'achat Publié le 16 avril 2014 Peut-on encore se passer du digital dans un processus d'achat ? Franchement non. Et cette infographie réalisée par l'IFOP pour Bonial.fr, un site de recommandations, prouve que l'impact du numérique est omniprésent et dans tous les compartiments... Raphaël Legrand Rubrique réalisée en partenariat avec ETO Rejoignez-nous et recevez chaque semaine le meilleur d'INFLUENCIA. Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Voici des conseils à suivre pour attirer les clients. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine Les tendances du retail en 2014
Le besoin du client naît toujours d'une insatisfaction ! Il faut créer le besoin du client ! Combien de fois ai-je entendu cette phrase fourre-tout de la part de commerciaux ou de formateur en techniques de vente ? Qui peut se prévaloir d'avoir créé un besoin qui n'existait pas ? Personnellement je n'en connais pas. Il convient déjà de rassurer les commerciaux, un besoin ne se crée pas, il se révèle. Il est existant chez le client ou le prospect. En fait le besoin client nait toujours d'une insatisfaction ! L'insatisfaction croissante d'un client se nourrit d'éléments aussi subtils que la perte de temps, que la complexité d'un service ou d'une démarche, de l'exaspération liée, d'un niveau de qualité insuffisante, bref elle nait de situations jugées imparfaites par nos clients. Mettons-nous à l'épreuve de ce que les clients pensent de ce que nous vendons, des bonnes ou mauvaises surprises sont à venir ! Bio Christophe Praud est le gérant propriétaire de Maven, cabinet de conseil spécialisé dans la Performance Commerciale.
Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact Internet a bel et bien révolutionné les habitudes des internautes : ces derniers utilisent le Web pour se renseigner, comparer les prix, lire les avis sur les forums de consommateurs, et, passée l’euphorie, trouver le point de vente le plus proche.
L´e-commerce une opportunité à saisir ! Le commerce électronique, ou e-commerce, est une solution de vente à distance de services et/ou de produits, via des réseaux informatiques, notamment internet. Pour les PME qui veulent étendre leurs opérations en ligne, le commerce électronique présente plusieurs avantages. En effet, il permet d’accéder aux marchés mondiaux, géographiquement dispersés, avec des frais réduits. Quels types de e-commerce sont adaptés aux PME? Les stratégies de e-commerce trouvent un écho favorable auprès des PME, qui choisissent de s’orienter vers des solutions adaptées à leurs besoins et à leurs moyens. Ainsi, celles-ci n’ont pas à engager de frais pour l'installation de serveurs, l'hébergement de leur site, et la gestion de la bande passante. Les PME pourront ainsi bénéficier de plus de temps et de moyens pour la gestion de leur activité sur le terrain, notamment en ce qui concerne le stockage et le transport des produits, la relation avec les fournisseurs et la gestion des retours de stocks.
Jeremiah Owyang (Crowd Companies) : "L'économie collaborative finira par bouleverser tous les secteurs d'activité" Comment les entreprises traditionnelles doivent-elles s'adapter à cette nouvelle révolution ? Le JDN a interviewé le gourou du collaboratif, présent à Paris pour les Enjeux E-Commerce 2014. JDN. Quel est l'enjeu de l'essor de la consommation et de l'économie collaboratives ? Jeremiah Owyang. D'ailleurs Google ne s'y trompe pas, il est le plus important investisseur dans l'économie collaborative. Si les gens obtiennent ce dont ils ont besoin directement auprès d'autres personnes, quelle est la place des entreprises ? Je pense qu'elles ont leur place dans l'économie collaborative, qui repose sur un modèle où la création, la propriété et l'accès sont partagés entre les gens et les sociétés. Quelles sont les industries aujourd'hui "disruptées" par l'économie collaborative et quelles entreprises parviennent à s'y adapter ? J'en vois pour l'instant six. Prenons l'exemple des biens physiques. "Le crowdfunding est la forme la plus poussée de la loyauté" Et dans les autres industries ?