«La Flottille de la Liberté» : on se dirige vers Gaza Une équipe internationale de militants à bord de quatre bateaux navigue vers la bande de Gaza afin de briser le blocus maritime d’Israël. Une tentative similaire il y a cinq ans avait terminé en bain de sang. La soi-disant «Flottille de la Liberté III» est partie depuis différents ports de Grèce samedi. C’est la troisième tentative de rupture du blocus de la Palestine, qui dure déjà depuis plus de neuf ans, selon le communiqué de presse publié sur le site officiel de la mission. «Nous sommes tout à fait déterminés à atteindre notre point de destination malgré les menaces [de Netanyahou] de nous arrêter», a écrit un législateur israélien Basel Ghattas sur sa page Facebook vendredi. Ghattas est membre d’une équipe d’environ 70 personnes, dont l’ex-président tunisien Moncef Marzouki et la députée européenne espagnole Ana Maria Miranda Paza.
La Croix quotidien « La crise financière qui vient, ses hauts responsables et leurs complices dans l’État » Selon le commentateur financier Bruno Bertez, il y a certitude sur le fait qu’une crise de grande ampleur va éclater. Ce que les autorités ignorent, c’est quand elle se produira et quel sera son facteur déclenchant. Je le crois d’autant plus que, sans cette menace, l’Union Européenne n’aurait jamais forcé les États à adopter la directive relative au redressement des banques et à la résolution de leurs défaillances (BRRD) à la fin de l’année 2016 pour les plus grands retardataires. Pour ceux qui n’en auraient pas souvenir, cette directive institutionnalise une pratique initiée à Chypre en 2013 et qui avait permis au système bancaire de se maintenir à flot en ponctionnant sur les comptes dont le montant était supérieur à 100 000 euros. Quand on lit que les concepteurs de la BRRD ont pensé cette mesure pour éviter de faire financer la crise par les contribuables (bail out), on est pris d’un fou rire assez malsain puisque les contribuables ont, comme par hasard, un compte en banque.
Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Revues.org : portail de revues en sciences humaines et sociales Visualisation des $63 Trillions de dettes des gouvernements Si vous faites la somme des dettes des gouvernements vous arrivez à la somme fantastique de 63 trillions. Les montants sont tellement énormes et la propagande est tellement puissante que la plupart des gens ont perdu la capacité de s’étonner: ils n’imaginent pas que cela puisse s’arrêter. Ils n’imaginent pas non plus que cela puisse être remboursé. Einstein disait que plus grand miracle c’était celui de l’intérêt composé, Marx aussi pensait que c’était l’une des contradictions majeures du système capitaliste. Moi même qui suis pourtant capitaliste en diable car je ne veux pas que des idiots comme Sarkozy, Hollande ou Macron ou pire, Sapin, nomenklaturistes s’octroient le droit d’allouer l’épargne et de décider des investissements, moi même je soutiens que le système capitaliste ne peut être légitime que si il accepte la destruction continue, systématique, de ce qui est socialement inefficace, pourri, de poids mort et fictif. Marx et Einstein avaient raison. Courtesy of: Visual Capitalist
Magazine Sciences Humaines , revue Sciences humaines sociales, abonnement sciences humaines "La dette, la dette, la dette!", cet argument antisocial que l'on vous rabâche est bidon