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Manticore, basilic... Le bestiaire fantastique du Moyen-Âge

Manticore, basilic... Le bestiaire fantastique du Moyen-Âge
Le département d'histoire de la British Library s'est amusé à compiler une série d'images tirées des manuscrits médiévaux de l'institution. Objet de la petite anthologie ? Les créatures fantastiques qui étaient alors légion dans l'imaginaire populaire... Une manticore, supposée plus cruelle des créatures sur terre... Le site est l'occasion de découvrir un large bestiaire original aujourd'hui méconnu. Ainsi, la manticore, représentée ci-dessus : décrite au XIIIème siècle par le franciscain Bartholomeus Angelicus comme « de tous les animaux du monde, le plus cruel », elle posséderait le corps d'un lion et… la tête d'un homme. Tout aussi dangereux que célèbre, on retrouve par ailleurs de nombreuses représentations du basilic. La belette, le basilic et sa victime Considéré comme « le roi des rampants », il est particulièrement dangereux : son odeur est si âpre qu'elle peut détruire qui la sent, et son regard si terrible qu'il cause la mort de celui qui le croise... Un leucrota Pour approfondir Related:  Illustration - Photo

Le plus vieux livre d'images pour enfants est disponible en ligne Il est considére par l'Encyclopaedia Britannica comme « le premier livre d'image pour enfant ». Orbis Sensualium Pictus, du pédagogue, philosophe et professeur tchèque Jan Amos Komenský est ce qu'on pourrait appeler un ancêtre des manuels scolaires. Intégralement mise en ligne sur le site archive.org, l'édition anglaise de 1705 rend compte au lecteur d'aujourd'hui de la diversité des activités de l'époque, tout autant que d'une pensée de la pédagogie avant-gardiste pour le siècle de son auteur. _ Viens apprendre la sagesse mon garçon. _ Qu'est ce donc que la sagesse ? _ Bien comprendre, bien agir, bien parler. Publié pour la première fois en 1658 en latin et en allemand, le livre contient quelques 150 illustrations numérotées. Traduit dans toute l'Europe et même dans certains pays d'Orient, le livre avait été un tournant dans la pédagogie éducative, étant un manuel d'instruction non pas consacré aux professeurs, mais directement aux enfants. représentées pour les enfants de l'époque

Le Moyen-Âge recyclait ses livres en vêtements Le Moyen-Age est toujours surprenant. Si l'on serait surpris d'apprendre que contrairement aux idées reçues les jeux floraux s'ouvraient également aux femmes, que l'hygiène occupait une grande part dans les canons de beauté de l'époque, on le serait encore plus de savoir que certains vêtements étaient à base… de manuscrits recyclés. La fameuse doublure d'une robe datée du XV ème siècle... The Conveyor rapporte que le 4 juin dernier, à l'occasion d'une conférence, la chercheuse allemande Henrike Lähnemann de la chaire d'étude germanique à l'Université de Newcastle, faisait examiner par son audience divers parchemins. C'est que son exposé présentait un sujet original, dont le titre suffira à donner une idée : « Texts and Textiles : Manuscript Fragments in Medieval Dresses ». La conférence expliquait ainsi « quand, où et comment » avaient été fabriqués les vêtements concernés - en l'occurrence, une robe confectionnée par des nonnes au XVe siècle. La galante reliure de mitre d'évêque

Carl Larsson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Larsson. Carl Larsson Autoportrait avec sa fille Brita (1895). Par ses œuvres pittoresques et variées, ce peintre d'extraction modeste, francophile, a pu faire vivre sa famille de son labeur, conserver une farouche indépendance de pensée et affirmer des valeurs anticonformistes parfois contre le dogmatisme académique de son époque tout en devenant paradoxalement le peintre idyllique de la bourgeoisie suédoise. Enfance et formation[modifier | modifier le code] Né dans une famille des plus modestes à Gamla Stan, la vieille ville de Stockholm, Carl Larsson a une enfance assez malheureuse. Devenu peintre d'histoire, il reçoit une médaille d'or pour ses contributions à l'histoire de la Suède. Tout en continuant à travailler comme illustrateur de livres ou des journaux ainsi qu'il l'a fait assidûment depuis de nombreuses années, il s'installe à Paris de 1880 à 1885. Matin d'été, aquarelle (1908). Autres lieux :

Hokusai Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Katsushika Hokusai (葛飾 北斎, Katsushika Hokusai?) (1760-1849), connu plus simplement sous le nom de Hokusai (北斎), ou de son surnom de « Vieux Fou de la peinture », est un peintre, dessinateur spécialiste de l’ukiyo-e, graveur et auteur d'écrits populaires japonais. Son œuvre influença de nombreux artistes européens, en particulier Gauguin, van Gogh et Claude Monet, voire le mouvement artistique appelé japonisme. Biographie[modifier | modifier le code] Hokusai naît dans le quartier de Warigesui, district de Honjō (zone rurale encore connue sous le nom de Katsushika) à Edo, ancien nom de la ville de Tokyo, le 9e mois de la 10e année de l'Ère Hōreki (octobre - novembre, 1760) de parents inconnus. En 1773-1774, il est en apprentissage dans un atelier de xylographie et en 1775 il grave lui-même les six dernières feuilles d'un roman humoristique de Sanchō. Vers 1794, il réintègre une école classique : le clan Tawaraya de l'école Rimpa.

Ivan Bilibine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Iakovlevitch Bilibine (Иван Яковлевич Билибин, 1876-1942) est un peintre russe, illustrateur de livres et décorateur de théâtre, membre de l’association Le Monde de l’Art (Mir iskousstva / Мир искусства). Biographie[modifier | modifier le code] De 1876 à la Révolution de 1917[modifier | modifier le code] Ivan Bilibine est né le 16 août 1876 (4 août suivant le calendrier orthodoxe) dans le village de Tarkhovo, près de Saint-Petersbourg ; il est le fils d’un médecin militaire et appartient à une vieille famille russe, déjà mentionnée à l'époque d'Ivan le Terrible[1]. Esquisse pour le costume du Commandeur dans Fuente ovejuna de Lope de Vega (1911) En 1899, Bilibine arrive par hasard dans le village d'Egna, dans le gouvernement de Tver[2]. De 1902 à 1904, Bilibine voyage dans les gouvernements de Vologda, Olonets et Arkhangelsk. [modifier | modifier le code] Tombe commune où est enterré Bilibine Œuvres choisies[modifier | modifier le code]

Heorhiy Narbut Heorhiy Narbut (Ukrainian: Георгій Іванович Нарбут, February 25 [O.S. March 3] 1886 in Narbutivka — May 23, 1920 in Kiev) was the most important Ukrainian graphic designer of the twentieth century.[1] He is known for designing the Coat of arms of Ukraine, banknotes, postage stamps, charters, and his many illustrations in books and magazines. Biography[edit] Heorhiy Narbut was born in the village Narbutivka, Ukraine not far off from Hlukhiv. Saint Petersburg[edit] At about age 20, Narbut settled in Saint Petersburg from 1906 to 1917. Kiev[edit] Works[edit] Armorial of Little Russia This 1918 issue of shahs was designed by graphic artists Anton Sereda and Heorhiy Narbut. First definitive stamps of Ukraine (1992), after the drawing of Narbut References[edit] External links[edit]

Mstislav Dobuzhinsky Mstislav Valerianovich Dobuzhinsky or Dobujinsky (Lithuanian: Mstislavas Dobužinskis, August 14, 1875, Novgorod – November 20, 1957, New York City) was a Russian-Lithuanian artist noted for his cityscapes conveying the explosive growth and decay of the early twentieth-century city. Of noble Lithuanian extraction, Dobuzhinsky was born on August 14, 1875 in Novgorod into the family of an army officer. From 1885 to 1887, he attended the Drawing School of the Society for the Promotion of the Artists. Between 1895 and 1899, he read Law at the University of St. Petersburg, simultaneously studying in private studios. Like other members of the Mir iskusstva, Dobuzhinsky also experimented with scenic design. Mstislav Dobuzhinsky, A man with eyeglasses, or The portrait of Konstantin Sunnerberg, 1901-1902, The Tretyakov Gallery, Moscow. During the First World War Dobuzhinsky went with Eugene Lanceray to the front lines to sketch. Collections[edit] References[edit] External links[edit]

Bronzino Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Angelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le Bronzino ou Agnolo Bronzino (17 novembre 1503, Florence – 23 novembre 1572, Florence), est un peintre maniériste italien. Il était le fils adoptif et apprenti de Pontormo, et aussi l'élève de Girolamo Genga. Il devrait son surnom à son teint sombre ou à la couleur de ses cheveux. Son disciple et fils adoptif, Alessandro Allori, était également surnommé « il Bronzino ». Biographie[modifier | modifier le code] Portrait d’Eléonore de Tolède et son fils Giovanni de Medicis Vers 1518 (probablement dès 1515), il est l'apprenti du Pontormo, qui l'aurait représenté (d'après Giorgio Vasari) dans son tableau Joseph en Égypte (assis sur une marche). Devenu peintre indépendant, les Della Rovere l'appellent à leur cour du Duché d'Urbino en 1530. Il exécutera ensuite de nombreux cartons de tapisseries. Il réalise le portrait de la poétesse Laura Battiferri en 1560 en suivant les canons imposés par la contre réforme.

The Illustrations of Mercer Mayer I have many fond memories of the books I read as a child and early teen. I’ve been trying to track some of them down to read them again and share them with my nephews. One of my favorite series was “The Great Brain” books by John D. Fitzgerald. I was especially fond of the illustrations in the book done by Mercer Mayer. Here are a few scans from “Sleeping Beauty”: This entry was posted on Monday, June 21st, 2010 at 12:08 pm and is filed under Art & Design.

L'art pompier, un art officiel Contexte historique Le système des beaux-arts Au XIXe siècle, le système académique en place depuis le règne de Louis XIV continue à régenter la vie artistique. Aucun artiste ne peut lui échapper, qu’il soit ou non passé par l’École des beaux-arts. Placée sous le contrôle des membres de l’Académie des beaux-arts, créée en 1816, l’École assure la prééminence des préceptes du classicisme : le dessin et la copie d’œuvres demeurent les deux moyens privilégiés d’accès aux arts, et l’Antiquité reste la référence absolue. Pour apprendre à rendre les formes, les élèves de l’École pratiquaient le dessin d’après nature ou d’après l’antique, formation pratique qu’ils complétaient au sein d’ateliers privés ou bien au Louvre. Analyse des images Un art officiel Napoléon III a commandé plusieurs toiles à Alexandre Cabanel, rapidement devenu un familier de la cour impériale. Interprétation L’art pompier : un art longtemps déprécié Auteur : Charlotte DENOËL

Gustave Doré Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gustave Doré Gustave Doré par Nadar en 1867. Paul Gustave Louis Christophe Doré dit Gustave Doré est un illustrateur, graveur, peintre et sculpteur français, né à Strasbourg le 6 janvier 1832, au 5 (aujourd'hui 16), rue de la Nuée-Bleue, et mort le 23 janvier 1883 à Paris dans son hôtel de la rue Saint-Dominique. Biographie[modifier | modifier le code] Portrait de Gustave Doré paru dans Le Trombinoscope de Touchatout en 1875. Dès son enfance, Gustave Doré, doté d'un sens pointu de l'observation, démontre un talent singulier pour le dessin. Ses premiers albums de dessins connus sont datés de 1842. A l'âge de 13 ans, en 1845, trois lithographies issues de ces tableaux bressans imprimées à Bourg, sont ses premières œuvres publiées. L'éditeur parisien Charles Philipon lui propose de s'installer à Paris où à partir de 1847 il suit les cours du lycée Charlemagne. Parcours artistique[modifier | modifier le code] Sa mère décède en 1879[9].

Art académique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'art académique, aussi nommé à l'origine par dérision « art pompier », est une caractéristique de l'art occidental du milieu du XIXe siècle. L'académisme est caractérisé par un goût très fort pour les thèmes historiques et pour l'orientalisme. En sculpture, il se caractérise par une tendance à la monumentalité, représentée entre autres par les sculpteurs Auguste Bartholdi et Emmanuel Fremiet. Parmi les artistes emblématiques de l'art académique, figurent les peintres français du Second Empire, Alexandre Cabanel, Ernest Meissonier, William Bouguereau et Jean-Léon Gérôme. Définition[modifier | modifier le code] L'application du mot « pompier » à l'art académique[1], apparue à la fin du XIXe siècle (1888 d'après le Robert) pour le tourner en dérision, est sans doute une allusion aux casques brillants de certains personnages des grandes compositions de l'époque, qui rappelaient ceux des pompiers[2]. Peintures[modifier | modifier le code]

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