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Eusocialité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'eusocialité est un mode d'organisation sociale chez certains animaux suivant lequel un même groupe d'individus vivant ensemble est divisé en castes d'individus fertiles et non fertiles. On définit l'eusocialité par : une division et spécialisation des rôles entre les membres, dont une caste reproductrice ;la cohabitation de différentes générations ;une forte cohésion des membres (échange d'information et de matière entre les individus) ;un soin collectif aux jeunes. Ainsi, les blattes ou les locustes, bien que grégaires, ne sont pas eusociaux. La notion d’intelligence en essaim met en œuvre des agents très petits, disposant à l’échelle unitaire de ressources très limitées (intelligence, puissance mécanique…). Ce principe de plusieurs entités simples en interaction desquelles émerge à un niveau collectif une structure complexe (qualifiée d'intelligente) est présent dans différentes disciplines : biologie, physique, informatique, etc.
Quand l’homme sert de machine à la machine Par Rémi Sussan le 17/11/10 | 4 commentaires | 2,798 lectures | Impression Tout le monde est d’accord pour dire que “l’infobésité” sera probablement l’un des gros problèmes du siècle qui commence. Et ce qui est déjà difficile pour tout un chacun devient une question vitale pour certaines catégories professionnelles, comme les militaires, les agents de renseignements et autres pratiquants d’activités à risque. On sait que l’intelligence artificielle est pour l’instant bien loin de pouvoir les aider. En revanche, on peut espérer compter sur des techniques d’hybridation homme-machine. C’est en partant de ce postulat que Paul Sajda, directeur du Laboratoire d’imagerie intelligente et de neuroinformatique de l’université de Columbia, a développé un système permettant de repérer rapidement dans une masse de photographies celles qui correspondent à certains critères prédéfinis. La technique est assez simple. Image : photogramme du film disponible sur IEEE.tv. Via Next Big Future.
Ubik En 1992, l'humanité a colonisé la Lune et les pouvoirs psychiques sont courants. Le protagoniste, Joe Chip, est un technicien endetté travaillant pour Runciter Associates, une « organisation de prudence » employant des « inertiels » (inertials) — des personnes capables de contrecarrer les pouvoirs des télépathes et « précogs » — pour faire respecter la confidentialité des clients. La société est dirigée par Glen Runciter, assisté de son épouse décédée Ella qui est maintenue dans un état de « demi-vie », une forme de suspension cryonique qui permet à une personne décédée une conscience et une capacité limitée de communiquer. En la consultant, Runciter découvre que la conscience d'Ella est envahie par une autre demi-vie dénommée Jory Miller. Dès le moment de l'explosion, le groupe commence à vivre des changements dans la réalité. Au fur et à mesure que le roman avance, les membres du groupe commencent à se sentir un à un fatigués et ont froid, puis soudain ils se ratatinent et meurent.
Big Data : est-ce que le déluge de données va rendre la méthode scientifique obsolète Nous voici entré dans l’ère des Big Data des ensembles de données tellement gigantesques qu’ils nécessitent de nouveaux outils techniques et scientifiques pour les comprendre et en tirer du sens. Un déluge de données qui pose des questions profondes sur leur collecte, leur interprétation, leur analyse… Dans ce siècle des réseaux, la science des algorithmes, censée extraire le sens de ces amas d’information doit apprendre à comprendre ce qu’elle analyse. L’enjeu des Big Data nous adresse des questions scientifiques, mais aussi politiques et éthiques. Les Big Data, c’est le dossier de la semaine d’InternetActu qui commence par un retour sur un article fondateur de 2008 qui posait les bases de la révolution à venir. « Il y a soixante ans, les ordinateurs ont rendu l’information lisible. Image : La fin de la théorie scientifique ? Les réactions compilées par les contributeurs experts de la cyberculture de The Edge sont également intéressantes. Hubert Guillaud
NFPA 704 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le NFPA 704 est un standard créé par l'organisation américaine National Fire Protection Association. Plus familièrement connu sous le nom de « diamant du feu », cet étiquetage définit les principaux risques liés à chaque produit. Cette norme est surtout utilisée dans le monde anglo-saxon, mais il n'est pas rare de le retrouver dans d'autres pays que les États-Unis. Cet étiquetage permet à la personne qui manipule un produit d'en connaître rapidement le niveau de danger grâce à un code couleur et une évaluation du risque en cinq échelons. Les quatre losanges ont un code couleur : le bleu correspond au risque pour la santé, le rouge à l'inflammabilité du produit, le jaune à la réactivité chimique et le blanc est une case spéciale qui contient les codes pour les risques particuliers. La case blanche peut contenir plusieurs symboles : Remarque : seuls les symboles W, SA et OX/OXY sont officiellement reconnus par le standard NFPA 704.
Amphétamine L’amphétamine (DCI) est une substance sympathicomimétique aux effets anorexigènes et psychoanaleptiques. L'amphétamine est utilisée chez les enfants et adultes dans le traitement du TDAH, de la narcolepsie, de l'obésité, et des troubles de l'hyperphagie boulimique. L'amphetamine a plusieurs usages dans le traitement de la schizophrénie, mais des doses élevées répétées peuvent provoquer des psychoses[6],[7],[8],[9]. Ses usages non médicaux incluent l'amélioration de la performance sportive, et l'usage récréatif comme euphorisant, stimulant, et aphrodisiaque. L'amphétamine est utilisée lors de guerres et de conflits armés pour améliorer la performance, principalement dans le cadre de privation de sommeil et d'amélioration de la vigilance. Elle fut largement utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale pour améliorer les performances et surtout l'endurance des soldats (par l'ensemble des belligérants) et c'est alors que les premiers excès seront constatés, avec des effets d'accoutumance[13].
Énantiomérie Dans le cas d'un centre stéréogène, la configuration autour de ce centre est indiquée par les lettres R ou S, selon les règles de la nomenclature Cahn-Ingold-Prelog. Dans le cas d'une chiralité de type hélicoïdale, la nomenclature Δ, Λ est souvent utilisée. Chimiquement, deux énantiomères ont des réactivités identiques avec d'autres molécules non chirales. Ils ont les mêmes propriétés physiques et un pouvoir rotatoire opposé. Au niveau biologique, les deux énantiomères d'une molécule, un médicament par exemple, peuvent avoir des effets physiologiques différents, voire antagoniques. Les relations entre les activités biologiques de chaque stéréoisomère pur et celles de leurs mélanges sont souvent très complexes et leur analyse nécessite des études approfondies et détaillées. Un exemple tragique d'effets différents de deux énantiomères est celui de la thalidomide. De nouvelles techniques et méthodes effectuant le dédoublement des racémates sont depuis apparues.
Énantiomérie Dans le cas d'un centre stéréogène, la configuration autour de ce centre est indiquée par les lettres R ou S, selon les règles de la nomenclature Cahn-Ingold-Prelog. Dans le cas d'une chiralité de type hélicoïdale, la nomenclature Δ, Λ est souvent utilisée. Chimiquement, deux énantiomères ont des réactivités identiques avec d'autres molécules non chirales. Ils ont les mêmes propriétés physiques et un pouvoir rotatoire opposé. Au niveau biologique, les deux énantiomères d'une molécule, un médicament par exemple, peuvent avoir des effets physiologiques différents, voire antagoniques. Cela s'explique par le fait que les systèmes biologiques dépendent directement de la forme de la molécule. Les relations entre les activités biologiques de chaque stéréoisomère pur et celles de leurs mélanges sont souvent très complexes et leur analyse nécessite des études approfondies et détaillées. Un exemple tragique d'effets différents de deux énantiomères est celui de la thalidomide.
Énantiomérie Dans le cas d'un centre stéréogène, la configuration autour de ce centre est indiquée par les lettres R ou S, selon les règles de la nomenclature Cahn-Ingold-Prelog. Dans le cas d'une chiralité de type hélicoïdale, la nomenclature Δ, Λ est souvent utilisée. Chimiquement, deux énantiomères ont des réactivités identiques avec d'autres molécules non chirales. Ils ont les mêmes propriétés physiques et un pouvoir rotatoire opposé. Au niveau biologique, les deux énantiomères d'une molécule, un médicament par exemple, peuvent avoir des effets physiologiques différents, voire antagoniques. Les relations entre les activités biologiques de chaque stéréoisomère pur et celles de leurs mélanges sont souvent très complexes et leur analyse nécessite des études approfondies et détaillées. Un exemple tragique d'effets différents de deux énantiomères est celui de la thalidomide. De nouvelles techniques et méthodes effectuant le dédoublement des racémates sont depuis apparues.
Nomenclature Cahn-Ingold-Prelog En chimie organique, les règles de priorité de Cahn, Ingold et Prelog (conventions CIP) sont un ensemble de lois utilisées pour nommer des stéréoisomères. Elles définissent la configuration absolue puisqu'elles sont applicables à tous types de molécules, sur la base de critères non ambigus. Parmi ces règles, on retrouve la nomenclature R/S (carbones asymétriques), la diastéréoisomérie E/Z, mais pas l'isomérie cis-trans (cette dernière étant définie par l'encombrement stérique). Ces nomenclatures reviennent à décrire le sens de rotation des substituants autour d'un centre stéréogène selon leur priorité relative. Ces règles ont été élaborées par les chimistes Cahn, Ingold et Prelog, qui se sont engagés en 1966, lors de la conférence de Bürgenstock en Suisse, à les utiliser dans l'ensemble de leurs articles[1]. À des fins encyclopédiques, on présentera ici non pas les règles en elles-mêmes, mais le procédé qu'elles décrivent. Une molécule peut contenir plusieurs centres stéréogènes.
Nomenclature Cahn-Ingold-Prelog Centre stéréogène En stéréochimie, un centre stéréogène d'une molécule est un atome ou groupe d'atomes sur lequel la permutation de deux de ses substituants génère deux stéréoisomères (énantiomères ou diastéréomères)[1],[2]. Les centres stéréogènes de type chiral possèdent quatre groupes de substituants différents. Il s'agit d'un sous-ensemble spécifiques des centres stéréogènes car ils ne peuvent avoir qu'une hybridation sp3, ce qui signifie qu'ils ne peuvent avoir que des liaisons simples[5]. Les stéréoisomères sont des composés identiques en termes de composition et de connectivité, mais présentant une disposition spatiale différente des atomes autour de l'atome central. Une molécule possédant plusieurs stéréocentres produira de nombreux stéréoisomères possibles. Dans les composés dont le stéréoisomérie est dû à des centres stéréogéniques tétraédriques (sp3), le nombre total de stéréoisomères hypothétiquement possibles ne dépassera pas 2n, où n est le nombre de stéréocentres tétraédriques.
Quandela Perceval, EuroHPC… L'actu du quantique en France cette semaine Quandela lance Perceval, un émulateur d'ordinateur quantique photonique en Europe Première en Europe : La start-up française Quandela, spécialisée dans la photonique quantique, annonce le lancement de Perceval, logiciel qui permet d’élaborer et d’exécuter des algorithmes quantiques optiques. Perceval est dès à présent accessible en open source aux développeurs ainsi qu’à la communauté scientifique et aux industriels, qui pourront ainsi explorer les applications potentielles de l’informatique quantique photonique. Une nouvelle étape est ainsi franchie dans la mise en ligne de la première plateforme quantique photonique de Quandela, prévue pour mi-2022. EuroHPC ouvre un appel d'offre pour les centres de calcul hybride Après une première phase exploratoire lancée en 2019 et copilotée par la France (TGCC) et l'Allemagne (Juelich), l'entreprise commune EuroHPC ouvre un appel d'offre pour des centres de calcul souhaitant héberger des machines quantiques intégrées dans un environnement HPC.
Racémique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le premier racémique identifié comme tel fut l'acide racémique que Louis Pasteur analysa comme étant un mélange de deux stéréoisomères d'un dérivé de l'acide tartrique, le tartrate d'ammonium et de sodium. Le terme « mélange racémique » est déconseillé par l'UICPA, un racémique étant, par définition, un mélange[1]. La datation par racémisation des acides aminés est une méthode qui s'est développée depuis 1970. ↑ (en) « racemic mixture », IUPAC, Compendium of Chemical Terminology [« Gold Book »], Oxford, Blackwell Scientific Publications, 1997, version corrigée en ligne : (2019-), 2e éd. Définitions de « racémate », « racémique », « composé racémique », « conglomérat racémique » et « racémisation » : [PDF] (en) G.P.