Avancement
New Rules for the New Internet Bubble
Carpe Diem We’re now in the second Internet bubble. The signals are loud and clear: seed and late stage valuations are getting frothy and wacky, and hiring talent in Silicon Valley is the toughest it has been since the dot.com bubble. First, to understand where we’re going, it’s important to know where we’ve been. Paths to Liquidity: a quick history of the four waves of startup investing. The Golden Age (1970 – 1995): Build a growing business with a consistently profitable track record (after at least 5 quarters,) and go public when it’s time.Dot.com Bubble (1995-2000): “Anything goes” as public markets clamor for ideas, vague promises of future growth, and IPOs happen absent regard for history or profitability.Lean Startups/Back to Basics (2000-2010): No IPO’s, limited VC cash, lack of confidence and funding fuels “lean startup” era with limited M&A and even less IPO activity.The New Bubble: (2011 – 2014): Here we go again…. (If you can’t see the slide presentation above, click here.)
PHYSIQUE: Conflit Einstein, théorie anti-hasard
Pourquoi Einstein affirmait que « dieu ne joue pas aux dés » ? Tout d’abord, il faut rappeler qu’Einstein ne croyait pas en dieu et que son souci, dans cette affirmation, ne concernait nullement les croyances religieuses, contrairement à l’apparence, mais les théories physiques qui commençaient à dominer, en particulier dans la physique quantique naissante et dans celle développée par « l’école de Copenhague », à la suite de Bohr, Heisenberg et autres physiciens de leur bord. Cette célèbre phrase d’Albert Einstein a été lancée au congrès Solvay de 1927 (« Gott würfelt nicht ») et Einstein exprimait ainsi son opposition à l’interprétation probabiliste de la mécanique quantique par l’École de Copenhague autour de Niels Bohr. voir ici cette controverse Einstein résumait sa critique ainsi en 1949 : Einstein employait volontiers le terme de "dieu" pour parler des lois de la nature. Il écrit : « Je ne peux pas imaginer un Dieu qui récompense et punit l’objet de sa création. Ainsi, Max Born :
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Hubert Reeves : "Einstein n'arrivera pas à rejeter le hasard" - Sciences et Avenir
HORS-SÉRIE. Entre 1915 et 2015, cent ans de relativité générale. Sciences et Avenir marque cet anniversaire d'un hors-série consacré à Einstein. 'La réalité n'est jamais ni aussi simple ni aussi complexe qu'on croit'… Einstein en a fait l'expérience. Forces et faiblesses des certitudes Einstein nous paraît maintenant comme un chercheur empreint de certitudes puissantes. Le monde est posé là Deux idées-forces sont implantées chez lui avec une grande fermeté. Le déterminisme absolu La seconde idée-force s'exprime par sa conviction que la réalité est totalement déterminée par les lois naturelles et que le hasard n'est qu'un alibi à notre ignorance. Dans cette théorie, le hasard n'a nulle place. La force de gravité Sur les quatre forces de la nature, la force de gravité a été historiquement perçue comme à la fois la plus simple et la plus complexe. Après la Seconde Guerre mondiale, la situation encore s'inverse. La cosmologie d’Einstein : faire confiance aux équations
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Etymologie Sérendipité
Retour au sommaire En 1996, le prix Nobel de chimie était décerné à Robert Curl, Harold Kroto et Richard Smalley pour leur découverte, par hasard et par chance, des plus belles molécules du monde, les fullerènes, découverte à l'origine des nanotechnologies. En 2000, le prix Nobel de chimie récompensait une autre équipe de trois chercheurs pour leur découverte "par sérendipité" des polymères conducteurs de l'électricité. En 2003, le prix Nobel de chimie récompensait Peter Agre et Roderick MacKinnon pour leur découverte des canaux dans les membranes des cellules : à l'origine, la sérendipité. Plus près de nous, trois produits miracles, des "blockbusters" : le Viagra : la sérendipité ; le Botox : encore la sérendipité ; le Zyban : toujours la sérendipité. Langage courant En anglais et en américain courant, la "serendipity" est le don de faire par hasard des rencontres ou des découvertes heureuses. 1.
The internet is over
If my grandchildren ever ask me where I was when I realised the internet was over – they won't, of course, because they'll be too busy playing with the teleportation console – I'll be able to be quite specific: I was in a Mexican restaurant opposite a cemetery in Austin, Texas, halfway through eating a taco. It was the end of day two of South by Southwest Interactive, the world's highest-profile gathering of geeks and the venture capitalists who love them, and I'd been pursuing a policy of asking those I met, perhaps a little too aggressively, what it was exactly that they did. What is "user experience", really? What the hell is "the gamification of healthcare"? Or "geofencing"? Or "design thinking"? The content strategist across the table took a sip of his orange-coloured cocktail. This, for outsiders, is the fundamental obstacle to understanding where technology culture is heading: increasingly, it's about everything. Web 3.0 The game layer The dictator's dilemma Biomimicry comes of age