Un cabinet de curiosités devient un passionnant exercice d'écriture
Bien avant les musées, les êtres humains avaient déjà le réflexe de collectionner des objets bizarres ou des vestiges de civilisations anciennes. Ces collections bigarrées qui fascinaient les gens de la Renaissance s'appelaient des cabinets de curiosités. Souvent aux accents ésotériques, ces inventaires fournissaient tout de même une foule de renseignements à tous ceux qui les observaient. Bien des siècles plus tard, ces étranges collections n'existent plus, les musées ayant pris la relève de façon plus professionnelle. Toutefois cette tradition renaissante a été une inspiration pour une professeure de lettres modernes de Suresnes, en France. Susciter la création littéraire Dans le cadre des Travaux Académiques Mutualisés, Marie-Sophie Ludwig a donc demandé à ses élèves de visiter des sites Web spécialisés sur ces curiosités de la Renaissance. Après avoir effectué différents exercices de style, ils ont fini par en adopter un pour décrire leur objet. Références : Ludwig, Marie-Sophie.
Pensée complexe
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble". Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Edgar Morin invite à réformer la pensée et à entrer dans un paradigme de complexité ou encore à se doter d'une épistémologie complexe. [réf. nécessaire] Le tiers inclus[modifier | modifier le code]
Finis les maths, l'histoire et la géo, la Finlande se lance dans l'enseignement transversal
Depuis des années, la Finlande est considérée comme l'un des pays ayant le système scolaire et éducatif le plus performant du monde. C'est d'ailleurs un des pays les mieux notés dans le classement PISA (Program for International Student Assessment). Des politiciens et experts en éducation venus du monde entier se sont d'ailleurs rendus à Helsinki dans l'espoir de trouver la recette miracle de ce système éducatif. Aujourd'hui, une nouvelle formule d'enseignement est en train d'y voir le jour. Un enseignement pour préparer les jeunes à la vie active Ayant souvent une longueur d'avance en matière d'éducation, la Finlande s'apprête à lancer un tout nouveau système de cours. "Ce dont on a besoin aujourd'hui, c'est d'un genre différent d'enseignement qui prépare à la vie active ", explique Pasi Silander, directeur du Développement de la capitale finlandaise. Des cours de cafétéria et d'Union européenne Une approche active et collaborative De meilleurs résultats
ressources - Madame Bovary - madame bovary, c'est moi
Yvan Leclerc Une transmission peu fiable C’est assurément la citation la plus célèbre de Flaubert : « Madame Bovary, c’est moi. » Or, cette phrase, Flaubert ne l’a jamais écrite. Du moins, on ne la trouve dans aucun de ses textes actuellement connus, ni dans une lettre, ni dans un carnet de notes ni dans le dossier de genèse de Madame Bovary. Flaubert aurait dit cette phrase. Si l’énoncé « Madame Bovary, c’est moi » est à ce point sujet à suspicion légitime, c’est d’abord en raison de la chaîne de transmission. « Une personne qui a connu très intimement Mlle Amélie Bosquet, la correspondante de Flaubert, me racontait dernièrement que Mlle Bosquet ayant demandé au romancier d’où il avait tiré le personnage de Mme Bovary, il aurait répondu très nettement, et plusieurs fois répété : « Mme Bovary, c’est moi ! La personne qui a servi de maillon intermédiaire entre Amélie Bosquet et René Descharmes n’est pas nommée. Ce que Flaubert écrit dans ses lettres Pas de lien charnel Pas de lien affectif NB.
Édition des manuscrits de Madame Bovary de Flaubert | Transcriptions | Classement génétique
Film de Claude Chabrol (1991)
Les personnages dans Madame Bovary - Madame Bovary | Madame Bovary
« Madame Bovary » est un roman écrit par Gustave Flaubert, paru en 1857. Ce livre ne compte pas moins de quinze personnages qui ont tous un rôle particulier. Après les avoir présentés, nous verrons dans quelle mesure ils ont une importance dans le déroulement de l’histoire. Tout d’abord, la famille Bovary : Elle se compose de la mère, Emma Bovary, qui est le personnage principal de l’histoire. La bonne d’Emma Bovary : Félicité. Les amants : Léon Dupuis et Rodolphe Boulanger. Les personnages de Yonville : Mme LeFrançois, propriétaire de « l’auberge du Lion d’Or », et veuve. Hippolyte, le garçon d’écurie de cette auberge. Homais, le pharmacien. Binet, percepteur et Capitaine des Pompiers. Notons aussi : M. Emma Bovary : Le bovarisme est devenu un nom commun. Félicité : A la mort d’Emma, elle emportera la garde-robe de celle-ci et partira. Charles Bovary : Et si c’était lui le personnage principal? Berthe Bovary : Emma voulait un garçon et c’est une fille qu’elle mettra au monde. Léon Dupuis : Hippolyte :
Inked Hearts sur Apple Books
Personne ne résiste à Ezra Remington. Mais si Love cède, elle perd tout. Californie. Love est sur le point de se noyer. Pour la mère d’Ezra, ce sauvetage est une bénédiction. En contrepartie, cette dernière, orpheline depuis longtemps, n’aura qu’à jouer les sœurs de cœur… La proposition est étrange, néanmoins Love y voit la possibilité de réaliser son rêve, étudier pour devenir mangaka, et accepte le deal. Inked Hearts, d’Isla A.
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Karl Marx, Capital (Das Kapital)(vol 2 (I))
Marx attempts - in vain - to show that his fine distinctions reflect practical aspects - "definite functions" - of capitalist processes. Marx proceeds in his usual style - repetitive, minutely detailed, so elaborating the obvious that he obscures his numerous errors of omission and the extent to which his logic lacks internal consistency. It is impossible for anyone - including Marx - to logically discuss standard economic phenomena in the clearly nonfunctional terms defined by Marx. He emphasizes the various discreet segments into which he divides capital - how they function - and their periodic turnover rates. "Profits" are broadened to become synonymous with "surplus value" when goods are sold at "value," and "total capital" is defined narrowly as just his "constant" and "variable" capital - industrial wages and materials and tools and facilities - rather than all the capital involved in producing profits. This, however, does not solve his theoretical problems.