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Excavations in Saqqara (Egypt) Excavation Saqqara: supervisor Maarten Raven (Rijksmuseum van Oudheden) Excavation Saqqara: supervisor Harold Hays (Leiden University) Egyptian working men are moving an object The project The archaeological research project in Saqqara was started in 1975. For more detailed information about the excavations, go to the website saqqara.nl Results The project’s goal is to get to know more about the backgrounds and history of the museum’s collection. Saqqara Saqqara is about thirty kilometres to the south of Cairo. The team The researchers work each year in January and February, in an international team made up of scientific experts, students and staff members of the university and the museum. Burial chambers Most of the graves found in Saqqara consist of a small temple, with a burial vault or a complex of different burial chambers underneath it. read more about the important finds

Complexe funéraire de Djéser Complexe funéraire de Djéser Pyramide à degrés de Saqqarah Le complexe funéraire de Djéser, édifié sous le règne du roi Djéser, se situe à Saqqarah, en Égypte. Il est, dans l'histoire de l'architecture égyptienne, le second ouvrage édifié en pierre de taille[1]. Deux noms sont à rattacher à cet édifice : celui de l'architecte Imhotep, qui conçut cet ouvrage, et celui de l'égyptologue Jean-Philippe Lauer qui consacra toute sa vie à étudier les vestiges de ce chef-d'œuvre de l'Ancien Empire. Le tremblement de terre du 12 octobre 1992 a sérieusement affecté les infrastructures de la pyramide. En mars 2020, la pyramide rouvre au public après quatorze ans de restaurations[4]. Vue d'ensemble du complexe funéraire[modifier | modifier le code] Le complexe funéraire de Djéser est le premier de cette importance et le plus grand jamais construit à notre connaissance en Égypte[5]. La pyramide[modifier | modifier le code] La pyramide a connu plusieurs états successifs avant d'atteindre sa forme finale.

Les fouilles du département des Antiquités égyptiennes à Saqqara, Égypte (saison 2010) Cette saison, qui s’est déroulée du 14 octobre au 11 novembre 2010, a vu la reprise des opérations archéologiques du musée du Louvre à Saqqara, après une année d’absence (2009) et une mission d’évaluation (2008) intervenue lors de la reprise en main du chantier par l’équipe dirigée par Guillemette Andreu et Michel Baud, succédant ainsi à Christiane Ziegler, directeur du chantier depuis 1991. En accord avec le Conseil suprême des antiquités de l’Égypte, l’accent a été mis sur les dégagements de surface, où affleurent tantôt des niveaux domestiques coptes (viie-ixe siècle après J.-C.), tantôt des inhumations de Basse Époque (vie-ive siècle avant J.-C.). Un effort particulier a été porté à la présentation du site, dont l’aspect en cuvette profonde vient brouiller la lecture. Au fond de cette cuvette se trouve le grand mastaba d’Akhethetep, dont la redécouverte a été l’objectif majeur des premières années de fouille. Secteur de la chaussée d’Ounas (Ancien Empire) Les enclos Les inhumations

Saqqarah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation géographique[modifier | modifier le code] Au sud du Caire s'étend le plateau de Saqqarah, au centre de la nécropole de Memphis qui s'étend sur près de vingt kilomètres. « L'ensemble situé à l'orée du désert - à la lisière du monde de la mort - témoigne d'une volonté (...) de défier le temps[1] ». Chronologie[modifier | modifier le code] Dès les premières dynasties les rois et les membres de l'aristocratie y font bâtir leur mastaba. Nécropole royale sous l'Ancien Empire, le site se développe autour des pyramides royales des Ve et VIe dynasties. L'un des plus célèbres est celui qu'Horemheb se fait construire avant même d'être couronné pharaon. D'autres sanctuaires dédiés à Anubis et à Bastet sont édifiés à côté de catacombes enfermant dans des galeries interminables quantités de momies animales, témoins de la ferveur populaire pour les cultes d'animaux sacrés. Monuments de Saqqarah[modifier | modifier le code] IIIe dynastie :

Saqqarah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation géographique[modifier | modifier le code] Au sud du Caire s'étend le plateau de Saqqarah, au centre de la nécropole de Memphis qui s'étend sur près de vingt kilomètres. « L'ensemble situé à l'orée du désert - à la lisière du monde de la mort - témoigne d'une volonté (...) de défier le temps[1] ». Chronologie[modifier | modifier le code] Dès les premières dynasties les rois et les membres de l'aristocratie y font bâtir leur mastaba. Nécropole royale sous l'Ancien Empire, le site se développe autour des pyramides royales des Ve et VIe dynasties. L'un des plus célèbres est celui qu'Horemheb se fait construire avant même d'être couronné pharaon. D'autres sanctuaires dédiés à Anubis et à Bastet sont édifiés à côté de catacombes enfermant dans des galeries interminables quantités de momies animales, témoins de la ferveur populaire pour les cultes d'animaux sacrés. Monuments de Saqqarah[modifier | modifier le code] VIe dynastie :

Temple de Ptah et de Sekhmet de Ramsès II Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Triade colossale représentant Ptah encadré par Ramsès divinisé et la déesse Sekhmet trouvée dans le sanctuaire du temple Description et fouille[modifier | modifier le code] Découvert en 1959, l'édifice est aujourd'hui réduit à l'état de ses fondations ou premières assises car il a servi de carrière dès la fin de l'Antiquité. Ses blocs de calcaire ayant été prélevés pour l'édification d'autres monuments ou bien pour la production de chaux, son plan a toutefois pu être établi grâce à ses fondations restées sur place ainsi qu'aux élément de granite et de basalte abandonnés qui ponctuent ses principales parties[1]. Orienté est-ouest, ses dimensions sont plus modestes que les autres édifices du règne découverts dans les environs[2]. Une indication en ce sens est la découverte dans la chapelle centrale d'une grande triade représentant le dieu Ptah encadré par Ramsès II et la déesse Sekhmet[3]. Interprétation[modifier | modifier le code] David G.

Anoubieion (Saqqarah) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Anoubieion de Saqqarah (du grec Ἀνουβιεῖον, en égyptien ancien per inpou « Maison d'Anubis ») est un temple de l'Égypte antique consacré au dieu chacal Anubis, aujourd'hui arasé, situé à l'est de la pyramide de Téti dans la nécropole de Saqqarah et édifié à l'extrémité orientale du dromos (un chemin sacré de plus d'un kilomètre de long) conduisant au Sérapéum, un sanctuaire dédié du dieu taurin Apis. Un « sanctuaire portatif » en pierre a été trouvé lors des fouilles de Quibell en 1906-1907[1], présentant l'inscription en grec ΕΡΙΕΝΟΥΠ du nom égyptien hrj-Jnp : « Anubis est satisfait ». Anubis Dieter Arnold, Lexikon der ägyptischen Baukunst, Albatros, 2000, (ISBN 3491960010), page 26, → Anubieion (Saqqara).D.

Bubasteion de Saqqarah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le site est étudié par la mission archéologique française du Bubasteion (MAFB). La mission archéologique française du Bubasteion

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