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« Il faut passer du web du clic au web de l’attention »

« Il faut passer du web du clic au web de l’attention »
Quel problème pose ce que vous appelez « le Web du clic » ? Le défi est double : vendre des affichages de publicité sur des pages, comme le font aujourd’hui les médias, ne monétise pas du contenu mais des clics sur des liens qui mènent à du contenu. Une fois que j’ai cliqué, la monétisation a lieu, peu importe que j’aie lu le contenu ou que je l’aie aimé. Cela pose un problème pour le bon contenu : pour vendre beaucoup d’impressions publicitaires, je ne veux pas que les gens lisent le contenu mais qu’ils cliquent dessus. Pour les annonceurs, cela veut dire qu’ils ne payent pas pour gagner l’attention des gens mais pour de simples clics. Quel est le second défi ? Avec le Web du clic, l’inventaire est infini. Vous proposez de mesurer le temps de lecture des internautes, quel serait l’intérêt ? Il s’agit du temps comme mesure de l’attention de quelqu’un en train de réellement regarder un contenu ou une publicité. Comment mesurez-vous le temps de lecture ? En fait non. Pas forcément.

Comment gérer efficacement la surchage d'information à l'heure du web | L’humanité a produit au cours des 30 dernières années plus d’informations qu’en 2000 ans d’histoire et ce volume d’informations double tous les 4 ans. Voilà, ça plante le décor. Notre société contemporaine est le théatre de la surinformation, cette surcharge et cette multiplication incontrôlable d’informations, de contenus. Aujourd’hui, l’information se déplace tel un virus : internet, livres, vidéos, chaînes TV, magazines, applications, mails, conférences, et on pourrait remplir une encyclopédie rien qu’en citant les différentes sources d’information. Aucun doute que nous sommes tous des drogués de l’information, à consommer 24h/24 des informations, à absorber des contenus, à avaler des actualités sans vraiment avoir le temps de comprendre tout ce que l’on aimerait. Ce phénomène nous cause souvent de la frustration, du stress, de l’angoisse, et une peur de manquer la prochaine information. 1. 2. Au lieu de subir l’information, commençons par la dresser et la faire travailler pour nous.

Offre de stage - Assistant(e) de communication / multimédia Description du poste : L'association ART3000 recherche un(e) assistant(e) de communication multimédia au sein du Cube, centre de création numérique de la Communauté d’Agglomération Grand Paris Seine Ouest. Missions : Vous assisterez le responsable de la communication ainsi que la chargée de communication multimédia- Suivi de la conception des supports de communication, relations presse, mise à jour de la base de contacts. - Diffusion des supports de communication, relations externes et internes.- Mise à jour des contenus du site Internet du Cube (textes + visuels)- Animation des différents réseaux sociaux du Cube (Facebook, Twitter)- Photographie des événements, optimisation et diffusion pour le Web - Assistance sur les productions audiovisuelles (lors des interviews, différents tournages, sous-titrage) Profil : - Bonnes aptitudes rédactionnelles et relationnelles - Connaissances des fonctionnalités d'un système de gestion de contenu (backoffice). Précisions sur le poste :

Google Hires Security Researchers to Protect the Internet Google today announced Project Zero, a new team inside the company focused on protecting the Internet as a whole. The company argues that anyone should be able to use the Web without fear of criminal or state-sponsored attacks to infect your computer, steal secrets, or monitor your communications. Yet zero-day vulnerabilities are a daily worry. Google explains its approach to tackling the problem: Our objective is to significantly reduce the number of people harmed by targeted attacks. Google already dedicates a lot of money and resources to security, and it says Project Zero was born out of its previous investments. The company says it is “not placing any particular bounds on this project” – any software depended upon by large numbers of people is fair game. Every new bug will be filed in an external database, but it will be first reported only to the software’s vendor. It’s only a matter of time before we hear about the first few discoveries and fixes.

10 raisons d'intégrer l'image dans ses campagnes On ne se le cache pas, mais au premier abord nous sommes plutôt attirés par l’esthétique d’une photographie, une image qu’un texte manuscrit. Cet insight de l’image, les marketeurs l’ont bien compris et d’autant plus avec l’apparition des réseaux sociaux et la compétition grandissante du brand content des marques sur le Web. L’image peut rendre le contenu d’une marque de meilleure qualité, mais surtout attractif et mémorisable. Deux critères clés d’une campagne marketing réussie. L’évolution constante des réseaux sociaux pour mettre l’image ou la vidéo toujours plus présente sur les timelines démontre l’impact que ceux-ci peuvent avoir. Facebook vient tout juste de tester ses « Premium video » avec la marque Guerlain : Twitter également fait une belle part à l’image et aux vidéos/GIF avec sa nouvelle interface. L’image dans vos campagnes, 10 raisons de l’intégrer : #1 L’image, un moyen de cibler votre public #2 L’image, plus facilement analysée par le cerveau #6 L’image incite à l’engagement

Snapchat : ces photos éphémères qui ne s’effacent pas | WeBuzz 2.0 Et si Snapchat perdait sa valeur ajoutée ? L’application créée en 2011 par Evan Spiegel et Bobby Murphy, deux étudiants de Stanford, se pose en effet comme la rivale de Facebook et Twitter en matière de partage d’images et de vidéos : les contenus échangés entre les utilisateurs ont en principe une durée de vie de 10 secondes et au-delà de ce délai sont effacés définitivement. En principe. Des contenus effacés, mais pas définitivement La FTC, organisme américain chargé de la régulation du commerce, a signalé récemment que la promesse de cette application ultra populaire n’était pas respectée en matière de gestion des données personnelles et de confidentialité. Les vidéos envoyées via Snapchat ne seraient pas complètement effacées de la mémoire des terminaux mobiles, et resteraient accessibles via un ordinateur connecté.

De la loi de Moore aux technologies Big Data et Spark Gordon Moore and Robert Noyce chez Intel (1970)Crédit Photo : Intel Free Press Dès 1965, Gordon Moore (cofondateur de la société Intel) affirmait que le nombre de transistors par circuit de même taille allait doubler, à prix constants, tous les ans. Il rectifia ultérieurement ses propos portant à dix-huit mois le rythme de doublement. Il avait raison. Mais cette loi relative à la puissance des ordinateurs revêt certaines inégalités. Cependant, si les vitesses des CPU et des réseaux augmentent de manière exponentielle, le goulot d’étranglement pour un accès total et rapide aux données siège bien au niveau de la lecture sur les disques. Ainsi, pour pallier ce facteur limitant, les constructeurs ont chercher à développer des technologies qui réduisaient au maximum les accès disque. Ces deux voies sont longtemps restées disjointes, avec dans le monde Hadoop une vision dite « batch » avec MapReduce et « temps réel » avec Storm. Serge Krywyk Les derniers articles par Serge Krywyk (tout voir)

5 Metrics Every Marketer Should be Watching You can always rely on Einstein to give good quote. One of his most famous quotes accurately sums up the biggest challenge of digital marketing measurement: “Not everything that counts can be counted, and not everything that can be counted counts.” The internet has given marketers many things, one of which is more ways to reach potential customers directly. Tweeting, posting, uploading videos; that’s the easy part. Why? The reality is that the easier something is to measure, the less useful it will usually be in terms of demonstrating actual value to the organization. The answer, of course, is no. Over the last few years, the practice and discipline of measurement has taken huge strides forward. Still, many smaller businesses, non-profits and startups don’t have the luxury of being able to hire experienced data analysts or invest in costly tools. 1. (For more on the danger of using engagement metrics as a comfort blanket, this post is a must read.) 2. 3. 4. 5.

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