Sarah Blaffer Hrdy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Sarah Blaffer est né le 11 juillet 1946, à Dallas, au Texas. Elle a grandi à Houston. Elle a fait sa scolarité à l'école St. John. Blaffer a rencontré Daniel Hrdy à Harvard. Elle vit avec son mari dans le Nord de la Californie, où ils possèdent la plantation de noyers Citrona[1]. Travaux et recherche[modifier | modifier le code] En 1999, Hrdy publie Les Instincts maternels (titre original : Mother Nature: A History of Mothers, Infants and Natural Selection). Remise en question de l'instinct maternel[modifier | modifier le code] Elle montre l'importance de l'infanticide dans le monde animal (loups, souris, araignée, primates). L'ampleur de phénomène d'abandon et d'infanticide remet en question l'image de la mère naturellement poussée à sacrifier sa vie pour son nouveau-né. Bibliographie[modifier | modifier le code] En français[modifier | modifier le code] En Anglais[modifier | modifier le code]
Art et sciences | Ludmilla Science Conjuguer théâtre et science : le pari réussi de la compagnie qui a inventé les visites olfactives. « On peut toucher seulement avec les yeux » c’est ce qu’on a dit, et qu’on continue à dire, à des générations d’enfants qui visitent un musée. Dans les musées modernes, et surtout dans les musées où on fait de la vulgarisation des sciences, on ne peut plus omettre une section dédiée à « voir avec les mains », autrement dit toucher pour connaître, manipuler pour comprendre. Sans compter l’intérêt pour les visiteurs handicapés. Eh bien, la dernière tendance est visiter un musée… avec le nez ! C’est ce que nous propose Violaine de Carné, la directrice artistique de la compagnie théâtrale Le Tir et la Lyre. Comment se déroule une visite olfactive ? Iris du Pistil et Capucin Le Blaze, deux chercheurs/extracteurs d’un institut imaginaire de recherche olfactive, nous racontent le lieu à travers les images évoquées par les odeurs, en nous faisant sentir essences, parfums et encens.
Dr Nozman, le vulgarisateur aux deux millions d’abonnés Il est un homme de la nuit qui brille au panthéon des ados et des jeunes adultes. Nozman (noz, « nuit » en breton ; man, « homme » en anglais) n’est pourtant pas un personnage de science-fiction en dépit du salut vulcain emprunté à la série Star Trek qui ponctue chacune de ses vidéos. Avec son look jean tee-shirt passe-partout, le presque trentenaire tient plus du grand frère ou du bon copain que du super-héros ou… du docteur qu’il n’est pas. Dr Nozman, Germain O’Livry dans la vraie vie, est, à 27 ans, le vulgarisateur scientifique le plus populaire sur YouTube, au moins en nombre d’abonnés. Pas moins de 2,3 millions de fidèles et des vidéos qui enregistrent entre 15 et 20 millions de « vues » par mois. C’est d’ailleurs l’une d’entre elles qui l’a fait passer de vidéaste populaire à star des 16-25 ans. Coup d’essai, coup de maître.
29 Thoughts That'll Rip A Hole In Your Brain Biologie Évolutive Humaine Chimie [Flash Info Chimie] #50 Production solaire bio-inspirée d’ammoniac La synthèse de l’ammoniac à partir du diazote atmosphérique, c’est un peu la star de l’industrie chimique. Des tonnages formidable (136.5 millions de tonne en 2012), qui alimentent l’industrie des engrais, des polymères, des explosifs… Pourtant, c’est toujours le même procédé … Continue reading [Flash Info Chimie] #48 Une application Android pour tester la fraîcheur de sa bière La bière, ça se boit frais. [Flash Info Chimie] #47 Les chaperones pharmacologiques : un nouvel outil thérapeutique pour maladie incurable Certaines maladies sont liées à l’accumulation anormale de biomolécules (comme les protéines ou les lipides), qui s’agrègent dans les tissus, les empêchant de remplir leur fonction normale. [Flash Info Chimie] #46 Les dispersants chimiques censés lutter contre les marées noires sont contreproductifs [Flash Info Chimie] #45 Abracadabra, un peu de lumière, et d’un triangle, je fais un petit rhombicuboctahèdre !
Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, l'homme qui raconte l'Histoire sur YouTube - Idées Il n'a que 28 ans, et aux derniers Rendez-vous de l'Histoire de Blois (qui ont eu lieu du 6 au 9 octobre), son look tranchait indéniablement avec celui, plus académique, des centaines d’intervenants habitués de la manifestation. Rien dans le jean-tee-shirt-baskets, les cheveux longs attachés et la barbe fournie de Benjamin Brillaud ne laissait supposer qu'il venait débattre avec l'universitaire Catherine Brice de la vulgarisation de l'histoire sur Internet. Sauf que pour un autre public, c’est déjà une star… Durant l'heure d'interview qu'il nous consacre à l’issue de sa conférence, notre interlocuteur est d’abord interpellé par un enseignant d’histoire qui le remercie pour son travail « génial », puis par un jeune étudiant qui lui demande un… selfie. Des vidéos qui cartonnent chez les 18-35 ans Non seulement « Ben » n'a rien d'un historien traditionnel, mais il déroge en outre à beaucoup d'autres codes. Des papes en capes de Superman Un exemple ? Partenariats et clip pour Amnesty
I Waste So Much Time Inné et acquis, corps et esprit, sciences Pourquoi le ciel est bleu… | Blog du C@fé des sciences Passé Sauvage : Dépoussiérer l’archéologie avec Clothilde Chamussy Pour les personnes qui ne te connaissent pas encore, peux-tu te présenter en quelques lignes ? Je m’appelle Clothilde Chamussy et j’ai 26 ans. Je suis diplômée en archéologie. Qu’est-ce qui t’a poussée à te lancer sur Youtube ? Pendant mes visionnages de vidéos de vulgarisation scientifique sur YouTube, une question n’arrêtait pas de me hanter : « Mais où sont les femmes ? Pourquoi la chaîne s’appelle-t-elle « Passé Sauvage » ? Ca a été un peu difficile de trouver le nom de la chaîne. Comment choisis-tu les sujets de tes vidéos ? J’ai mis environ cinq mois avant de me lancer. Y a-t-il un sujet dont tu aimerais absolument parler mais auquel tu ne t’es pas encore attaquée ? Oui, j’aimerais un jour avoir la possibilité d’expliquer l’excision. En moyenne, combien de temps te prend la réalisation d’une vidéo, de la phase de recherche aux dernières finitions après montage ? Une vidéo me prend une centaine d’heures, mises bout à bout, que je répartis sur trois semaines.
6 things I learned from riding in a Google Self-Driving Car Last week, a friend and I got a sneak peek at Google's new self-driving cars. In addition to spending an afternoon cheating on my Intergalactic SpaceBoat of Light and Wonder, I got to chat with the engineers about the project. 1. We drink. 2. The car we rode in did not strike me as dangerous. In the early versions they tested on closed courses, the vehicles were programmed to be highly aggressive. 3. Google's new fleet was intentionally designed to look adorable. By turning self-driving cars into an adorable Skynet Marshmallow Bumper Bots, Google hopes to spiritually disarm other drivers. Google's next generation of self-driving cars are your Marshmallow Overlords. 4. Some of the scenarios autonomous vehicles have the most trouble with are the scenarios human beings have the most trouble with, such as traversing four-way stops or handling a yellow light (do you brake suddenly, or floor it and run the light?). Freaky. 5. I'm biased. They ignore the smarter questions. 6. -The Oatmeal
C'est pourtant clair