Gaston Bachelard sur Internet - Page d'accueil du site www.gastonbachelard.org - Association Internationale Gaston Bachelard
Les illusions de l’innovation inutile
Par Cyrille Frank, auteur de Mediaculture. Lunettes en réalité augmentée, impression 3D, internet des objets… les pontes de la Silicon Valley et les vendeurs de pelles ne jurent que par ces innovations incroyables qui vont changer nos vies, ils en sont sûrs. C’est oublier un peu vite les freins socio-culturels. Chaque jour apporte son lot d’inventions et d’innovations technologiques relayées par une presse technologique enthousiaste et une multitude de “geeks” plus ou moins béats d’admiration. Pourtant, régulièrement depuis 15 ans, la Silicon Valley se plante. Elle a tort encore, quand elle annonce une nouvelle ère de diversité culturelle grâce à la “longue traîne”, théorie développée par Chris Anderson, ancien rédacteur en chef du magazine Wired. Chris Anderson a prophétisé le succès foisonnant des artistes méconnus grâce au fait qu’il leur était désormais beaucoup plus facile d’intégrer le marché (coût d’enregistrement, de fabrication ou de distribution beaucoup plus faibles).
On Terminal Goals and Virtue Ethics
Introduction That was an impossible-to-resist pitch, and I saw the movie. The thing that resonated most with me–also the thing that my friend thought I had in common with the main character–was the idea that you could make a particular decision, and set yourself down a particular course of action, in order to make yourself become a particular kind of person. Tris didn’t join the Dauntless cast because she thought they were doing the most good in society, or because she thought her comparative advantage to do good lay there–she chose it because they were brave, and she wasn’t, yet, and she wanted to be. Bravery was a virtue that she thought she ought to have. If the graph of her motivations even went any deeper, the only node beyond ‘become brave’ was ‘become good.’ (Tris did have a concept of some future world-outcomes being better than others, and wanting to have an effect on the world. My twelve-year-old self had a similar attitude. Virtue Ethics Terminal Goals Why write this post?
Here's How The World's Most Brilliant People Scheduled Their Days
Alas, there are but 24 hours in a day. And when you have a seemingly insurmountable load of work, it can be a quite a challenge to even know where to start. But remember that history’s most legendary figures — from Beethoven to Beyonce — had just as little (or just as much) time as you have. Using the book Daily Rituals: How Artists Work by Mason Currey, RJ Andrews at Info We Trust designed some enlightening visualizations of how history’s most creative and influential figures structured their days. Based on the charts, we learn that some of history’s icons had more eccentric habits than others. Think your mornings are stressful? Honoré de Balzac, the French writer, was said to live his life as “orgies of work punctuated by orgies of relaxation and pleasure,” according to one biographer. Check out the other creative routines below:(Click here for a bigger image.)
Il n'y a plus rien à espérer après Hiroshima
La parution simultanée de deux ouvrages de Günther Anders permet de mieux saisir l'originalité et la radicalité des positions défendues par le philosophe sur le nucléaire, mais aussi sur la Shoah. Visite dans l'Hadès Anders Gunther Acheter La violence : oui ou non ? Acheter Les lecteurs de Günther Anders, lesquels sont de plus en plus nombreux, semble-t-il, attendaient de pied ferme depuis quelques années la traduction des deux ouvrages qui viennent de paraître respectivement aux éditions Le bord de l’eau et Fario. Une réserve sur la Shoah Qu’apportent au juste à la connaissance de la pensée anderssienne l’un et l’autre ouvrages, et pourquoi faut-il se réjouir de leur publication? L’un des grands intérêts de Visite dans l’Hadès est qu’il permet enfin de comprendre les raisons de cette réserve. Les pages les plus importantes, nous semble-t-il, sont celles qui portent directement sur Auschwitz. Hiroshima, pire qu'Auschwitz Mais Hiroshima fut «infiniment pire» qu’Auschwitz aux yeux d’Anders.
Effets de lieu et processus de disqualification sociale
1La problématique de l’effet de lieu fait l’objet d’un chapitre entier dans le premier manifeste de la Géographie sociale [Frémont, Chevalier, Hérin, Renard, 1984]. Dans l’introduction du chapitre, les auteurs posent successivement trois questions : « Dans l’organisation des sociétés humaines, existe-t-il un ‘effet de lieu’ ? Ou, si l’on préfère, l’espace intervient-il comme facteur explicatif et isolable de l’organisation sociale ? Et de quelle manière ? » Ils considèrent que la question de l’effet de lieu est équivalente à celle de la part explicative de l’espace dans les faits sociaux et préconisent « d’examiner à toutes les échelles, les rapports géographiques, c’est-à-dire les rapports entre les hommes et les lieux. » Vingt cinq ans plus tard, la prise en compte de la part explicative de l’espace dans les faits sociaux est devenue effective en géographie, mais avec quelques inflexions. 1 D’autres façons de concevoir l’espace rendent comptent de la complexité de cet objet.
Beards Are Over
By Peter Lawrence Kane It’s suddenly possible to see past the beard, because the beard is everywhere. It’s found its way onto the chin of just about every cultural context out there: Hollywood A-listers, Orthodox rabbis, organic farmers, Goldman Sachs CEOs, faux-lumberjacks, actual lumberjacks, television duck hunters, daddy bears, al-Qaeda jihadis, baseball players, and Matt Lauer. Once a rare, religious adornment that also had an extreme anti-establishment vibe, a beard can now be anything you want it to be. But the beard’s days are numbered, at least in terms of any badass quotient. Maybe this was inevitable. And beards could eventually become totally uncool, just as tattoos are arguably passé. In Gay World, beards are even more complicated. What seems likely is that the mainstream fascination with beards will eventually play out, and the subcultures that have embraced it all along will keep doing so – or at least continue evolving out of phase with the rest. Photo via Thinkstock
Stop Harcèlement de rue | Diglee
(c’est quoi le slut shaming? Clique) L’article que j’ai écrit sur Madmoizelle raconte comment j’ai récemment répondu à différentes agressions verbales sexistes et/ou sexuelles (grâce notamment aux conseils du blog « Projet Crocodiles »), et vous pouvez le lire ici. Voilà. Cette (première?) Je ne me sens pas tant « femme » qu’ « individu », et ça me va très bien comme ça. Alors quand je subis des situations injustes liées à mon sexe, je suis colère colère COLÈRE. Qu’on soit clair: les hommes, je les aime. Alors pitié, vous les hommes, ouvrez-la aussi! Je reste persuadée que la meilleure façon de dénoncer une injustice, c’est d’abord de prouver qu’elle existe. Et quand je vois la teneur de certains commentaires (que je ne modère pas, parce qu’ils desservent leurs auteurs plus qu’il ne leur rendent grâce…), je me dis qu’il y a encore du boulot. Je vous invite donc à rendre vos messages de soutien PUBLICS, pour que votre parole, femmes et hommes concernés, soit entendue. Love,Maureen
Benjamin Franklin, George Washington, And The Power Of Humility In Leadership
Before he became one of America’s ultimate success stories--inventor, scientist, diplomat, and the consummate connector of people and ideas--Benjamin Franklin was convinced that he was a moral mediocrity. Disgruntled with the disorder of his life, frustrated by his lack of productivity, and bent upon becoming more frugal, Franklin set out on a project he called “moral perfection.” Having made a list of 12 areas of attitude and action that needed improvement, the 27-year-old Philadelphian asked a friend to look over his list. What his friend told him had to hurt a little, for as Franklin wrote in his Autobiography, the man “kindly informed me that I was generally thought proud; that my pride showed itself frequently in conversation.” Not many friends--let alone business colleagues--are quick to confront arrogance in those around them. Of all the virtues vital for successful leadership, humility elicits the most lip service--and the least decisive action. --David J.