Missions et gestion des services publics i l'initiative est nationale, sa déclinaison sud-girondine se tiendra ce soir à 20 h 30 à la salle des fêtes de Saint-Pierre-d'Aurillac. Une quinzaine de partis, syndicats et associations (1), appellent en effet à participer aux états généraux du service public. Le contenu des débats de ce soir sera versé à la réunion nationale qui se tiendra les 29 et 30 janvier, à Orly. Une première réunion de préparation s'était tenue à Saint-Macaire au mois de mai. Péréquation et monopole Bien entendu, les thématiques développées au niveau national seront au programme d'une soirée qui se déroulera en présence de Maurice Chauvet, animateur de l'Observatoire du service public et membre du comité national des états généraux. Lors du débat de ce soir, il est fort probable que soit abordée la péréquation, une notion de solidarité qui consiste « à accepter que certains paient plus pour que d'autres puissent payer un peu moins ». Enjeux locaux
AISES - 411- ecs Le problème fondamental, jamais abordé, tient au fait que la richesse prise en compte par l'économie est celle qui découle de l'activité rémunérée. Or cette activité est non seulement loin de représenter la globalité de la richesse de l'activité humaine (bénévolat, éducation des enfants, jardinage, etc.) mais en plus a tendance à se réduire tant en nombre sous l'effet des gains de productivité liés à l'amélioration des technologies, qu'en revenu sous l'effet de la mise en concurrence des forces du travail au niveau mondial. Ainsi, pour générer la richesse financière qui serait nécessaire pour répondre aux défis de notre temps, il faudrait augmenter la production dans de telles proportions que cela reviendrait à aggraver les problèmes pour pouvoir les régler... belle logique de l'absurde ! Nous proposons donc d'introduire un espace économique nouveau, - complémentaire à l'espace économique existant- que nous appelons "ECS" (Espace Complémentaire Sociétal). - Comment ?
Service public : l'heure désobéisseurs «Quand quelque chose est légal mais ne nous paraît pas légitime, il faut savoir désobéir. Comme sous Vichy, dont nous n’avons pas reconnu la légalité, même si vos objectifs sont, bien sûr, autres.» Stéphane Hessel, ancien résistant et ambassadeur de France, était venu conclure samedi, à Paris, le premier Forum des résistances dans les services publics. Il a reçu un accueil passionné de la salle, une centaine de «désobéisseurs» de tous horizons - profs, infirmiers, agents forestiers… A l’origine de ce forum, le Réseau des enseignants du primaire en résistance, les premiers désobéisseurs à s’être organisés. Il rassemble 3 000 professeurs des écoles ayant signé une charte proclamant qu’ils n’appliqueraient pas certaines réformes jugées nuisibles - plusieurs chefs de file ont d’ailleurs été sanctionnés par des retraits de salaires ou des rétrogradations. Ce nouveau type de contestation - non-violente, civique et éthique - reste très minoritaire. (1) La Désobéissance éthique (Stock).
Manifeste pour que l'argent serve au lieu d'asservir: Amazon.fr: Philippe Derudder & André-Jacques Holbecq Le Manifeste du Comité de Savoir Public Manifeste du Comité de savoir public pour la connaissance et le développement des services et des ressources publiques Vers un service public de réflexion sur les services publics et les ressources communes Le partage des choses privées et des choses publiques est en pleine redistribution, sous nos yeux. Nous ne savons plus très bien ce qui, dans la société de demain, de la santé, de l'éducation et de la recherche, de l'enfance et de la vieillesse, des ressources naturelles, de la richesse et de l'endettement, ou encore de la propriété intellectuelle et artistique fera l'objet d'un souci collectif ou ne sera qu'une occasion de jouissance ou d'inquiétude individuelles. Moteur de cette redistribution, un phénomène de grande ampleur affecte les services publics à travers le monde. Cette politique a pourtant de tout autres effets lorsqu'elle s'accompagne, comme c'est le cas depuis vingt ans dans les pays de l'OCDE, d'une restriction constante des budgets alloués.
UTOPIA Décembre 2013 GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS - Elinor OSTROM - Editions De Boeck Remettant en question les fondements de l’analyse politique telle qu’appliquée aux ressources naturelles, Elinor Ostrom fournit dans cet ouvrage un ensemble unique de données empiriques afin d’étudier les conditions dans lesquelles des problèmes de ressources communes ont été résolus, de manière satisfaisante ou non. La question de la gouvernance des ressources naturelles utilisées conjointement par de nombreux individus revêt une importance croissante pour les analystes politiques. On trouvera une analyse de Jean Gadrey qui lie Biens Communs et Economie Sociale et Solidaire sur le site de la Recma , ainsi qu'une note de lecture sur l'ouvrage d'Elinor Ostrom par Luc Bonet sur le même site. Novembre 2013 André GORZ à l'honneur dans deux livres publiés par les Editions « Le Bord de l'eau» dans la collection "La bibliothèque du MAUSS". Volume I - Christophe Fourel : « André Gorz en personne Archives UTOPIA.
"Regards citoyens" révèle les secrets des administrations, actualité Tech & Net : Le Point Regards citoyens est une association qui publie des données publiques que l'administration voudrait parfois garder pour elle. À son actif, le projet NosDéputés.fr notamment, qui avait suscité la colère du président de l'Assemblée nationale car il mettait en lumière l'absentéisme de certains élus. Vendredi 26 novembre, l'association lance une "chasse aux trésors" pour recenser les données publiques disponibles et lancer de nouveaux projets. Le Point.fr : Qu'est-ce que l'OpenData ? Tangui Morlier : L'OpenData, c'est l'accessibilité des données publiques. Pourquoi cette "chasse aux trésors" des données publiques ? Nous voulons recenser les données existantes et ce qu'on a le droit de faire avec. Concrètement, comment faites-vous pour récolter les données ? C'est plus ou moins simple selon les cas. Justement, comment ça marche à l'étranger ? Les pays anglo-saxons sont très en avance, ils ont une réelle volonté politique de donner accès aux données publiques.
Feu vert pour l'initiative citoyenne européenne pour le revenu de base Après un premier rejet et plusieurs mois d’attente, la Commission Européenne vient de donner son feu vert à la collecte des signatures pour demander aux institutions européennes d’étudier sérieusement l’option d’un revenu de base européen. Ainsi commence une campagne de 12 mois visant à récolter plus d’un million de signatures. Mise à jour : Il est maintenant possible de signer l’initiative sur basicincome2013.eu Le comité de citoyens de l’initiative citoyenne européenne (ICE) a eu raison de ne pas baisser les bras lorsque la commission a rejeté une première tentative en septembre dernier . La Commission Européenne devait en effet certifier que la demande exprimée par le comité de citoyen entrait dans le cadre de ses attributions. Si le nombre de signatures requis est atteint dans un an, alors la Commission Européenne accordera une audience aux promoteurs de l’ICE devant le Parlement européen . Une première mondiale À très bientôt pour une campagne historique ! Crédit photo : HowardLake
Réunions-débats - REUNION DU 13 mars 2007 - DANIELE LINHART - NELLY MAUCHAMP Thème : Quelles sont les valeurs des agents de la Fonction publique d'Etat ? Les différents visages de la modernisation du service public (13 mars 2007) Présentation et débat autour de l’étude réalisée sous la coordination de Danièle Linhart pour le ministère de la Fonction Publique, dans différents services de l’Etat (Préfecture, Trésor Public, DDE) : Les différents visages de la modernisation du service public. Enquête sociologique sur les valeurs des agents de la Fonction Publique du Nord (Isabelle Bertaux-Wiame, Michèle Descolonges, Nicolas Divert,, Sacha Leduc, Nelly Mauchamp ; sous la direction de Danièle Linhart). Danièle Linhart est sociologue au CNRS. Nelly Mauchamp, détachée de l'université Paris III-Sorbonne Nouvelle comme chercheur au laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique (LISE-CNRS), est sociologue du travail et des organisations. Ce manque de sens est en tout premier lieu ressenti par les acteurs eux-mêmes des services publics.