Le Codex Seraphinianus - Le livre le plus étrange du monde Certains considèrent ce livre comme le plus étrange jamais paru. Ce livre d’art pas comme les autres est unique et déroutant, grotesque et superbe, mais impossible à décrire. Le Codex Seraphinianus, de l’artiste italien Luigi Serafini, nous transporte dans un univers fantastique étrange par son propre alphabet (illisible) et ses nombreuses illustrations, qui puisent leur inspiration dans l’époque moderne, mais dérivent vers l’absurde. Cet ouvrage est publié pour la première fois en deux volumes, par Franco Maria Ricci, en 1981. Le Codex Seraphinianus est décrit comme un livre de "l’âge de l’information", époque à laquelle le codage et le décodage de messages deviennent de plus en plus important en génétique, en informatique et dans la critique littéraire : il présente une vision créative de cette époque. à l’époque de l’Internet et des blogs ? Déjà la couverture constitue une énigme. Trouvez vos exemplaires du Codex Seraphinianus en édition originale
Plan de Rome Le Pont Fabricius, aujourd'hui Ponte Quattro Capi, relie l'île Tibérine au Champ de Mars, à la hauteur du Théâtre de Marcellus. Il est constitué d'une pile centrale et de deux arches d'une portée de 24,50 m environ. Les inscriptions sur le pont et les textes anciens permettent de dater précisément l'édification de 62 av. J. Le Pont Fabricius, long de 62 m et large de 5,50 m, est le mieux conservé de tous les ponts antiques de Rome et le seul qui a gardé son caractère antique. La petite ouverture sur la pile centrale est destinée à diminuer la pression lors des crues. La dédicace (62 av. L FABRICIVS CF CVR VIAR FACIVNDUM COERAVIT « L. Une deuxième inscription, répétée an amont et en aval au dessus de la petite ouverture de la pile centrale, indique que le même personnage a vérifié la solidité : (E) I DEMQVE PROBAV(E)IT Une troisième inscription plus tardive (vers 21 av.
Maquette de Rome Moi, Auguste, Empereur de Rome - Grand Palais Du 19 mars au 13 juillet 2014 Fils adoptif de Jules César, Auguste (63 av J.C. – 14 ap J.C.) est le premier empereur romain de l’Histoire. Son nom est indissociable de la grandeur et de la gloire de l’empire qu’il contribua à pacifier et dont il réforma les institutions. Dans la politique habile qu’il mène, l’art occupe une place essentielle. Ses portraits diffusés dans tout l’empire véhiculent partout une image originale de l’homme d’État. D’Octave à Auguste. La première partie de l’exposition rappelle d’abord ce cadre historique en présentant des effigies des protagonistes des 2 triumvirats et en évoquant la bataille d’Actium et l’iconographie de la victoire qui y est associée. L’âge d’or. Le parcours évoque également l’adhésion des élites – aristocratie romaine et provinciale, affranchis, plébéiens – au nouveau régime politique, à travers des oeuvres de prestige qui se multiplient et véhiculent l’image du princeps. L’Empire. Mort et apothéose.