intelligence collective Archée : cyberart et cyberculture artistique Compte rendu de L’intelligence collective, pour une anthropologie du cyberspace, de Pierre Lévy Marc Joly-Corcoran Cet ouvrage visionnaire 1 mérite une attention particulière. Les notions qui y sont abordées sont plus pertinentes que jamais, comme si Pierre Lévy avait prédit l’âge technologique du Web 2.0. L’ouvrage est divisé en deux parties qui comptent en tout quinze chapitres. Avant d’aborder les différents types d’espaces qui ont mené, au fil de l’histoire, à celui du savoir, Lévy explique quels sont les enjeux et les implications de l’intelligence collective et comment l’humain intègre ce principe dans sa propre vie afin de produire des liens sociaux : « Que reste-t-il lorsque l’on a mécanisé l’agriculture, l’industrie et les opérations sur les messages ? La structure de l’ouvrage invite le lecteur à explorer les multiples implications l’intelligence collective. La deuxième partie de l’ouvrage traite spécifiquement des quatre espaces mentionnés précédemment.
Pour l'intelligence collective, par Pierre Lévy (Le Monde d FACE à l’irruption des nouvelles technologies de la communication et de l’information, certains penseurs mettent en garde contre les dérives et les dangers que cela suppose pour la démocratie. D’autres, comme l’auteur de l’article ci-dessous, y voient, au contraire, l’occasion d’un nouvel élan pour la participation civique des citoyens. Sa thèse, en particulier, de « l’intelligence collective » est séduisante qui annonce, grâce aux performances du multimédia, une nouvelle étape du projet républicain garantissant « l’accès de tous au savoir ». par Pierre Lévy, octobre 1995 Aperçu L’intelligence collective est le projet d’une intelligence variée, partout distribuée, toujours valorisée et mise en synergie en temps réel. Savez-vous combien de temps les agents de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) consacrent à recueillir des informations sur les compétences des personnes qui viennent s’y inscrire pour la première fois ? L’intelligence collective est fondée, (...) Vous êtes abonné(e) ?
De l intelligence collective (2eme partie) « Blabla et Chroniques d'un dérangé Blabla et Chroniques d'un dérangé Précédemment, j’évoquais comment la France était un bien mauvais modèle en terme de projet de société. Et je mettais en contradiction le bénéfice individuel et le bénéfice collectif. C’est précisément ici, que le concept d’intelligence collective intervient. J’emprunte ici un exemple frappant de l’article déjà évoqué. Une colonie de fourmis ou d’abeilles est l’illustration parfaite d’éléments qui pris individuellement ont une utilité réduite. - La nécessité d’avoir des objectifs sociaux clairement établis. Est-ce vraiment le cas? - En perpétuel mouvement. Il existe, de part le monde, quelques pays (Canada et pays nordiques notamment) qui usent – en partie – de ce concept mais dont le défaut majeur reste un objectif sociétal flou. Reste une question essentielle: Quel projet de société choisir?
cyberculture Par Pierre Lévy Professeur à l'Université Paris-8 St Denis L'articulation d'une multitude de points de vue sans point de vue de Dieu Dans un de mes cours à l'Université de Paris-8, intitulé "technologies numériques et mutations culturelles", je demande à chaque étudiant de faire à la classe un exposé de dix minutes. La veille de l'exposé, ils doivent me rendre une synthèse de deux pages, avec une bibliographie, qui pourra éventuellement être photocopiée par les autres étudiants désireux d'approfondir le sujet. L'année dernière, l'un d'eux me tend ses deux pages de résumé en me disant d'un air un peu mystérieux : "Tenez! Au lieu d'un texte localisé, figé sur un support de cellulose, à la place d'un petit territoire avec un auteur propriétaire, un début, une fin, des marges formant frontières, j'étais confronté à un document dynamique, ouvert, ubiquitaire, me renvoyant à un corpus pratiquement infini. Sur le Web, tout est sur le même plan. Le deuxième déluge et l'innaccessibilité du tout
TheFeature :: It's All About The Mobile Internet Mobile Phones, Ritual Interaction and Social Capital By Howard Rheingold, Thu Apr 21 12:00:00 EEST 2005 One scientist who observes the way people use mobile phones suspects "mobile telephone communication seems to be better at developing the social fabric than does PC-based Internet interaction." But, he cautions, the new fabric might be too tightly knit in some ways. Rich Ling spends hours in public places, noting in minute detail how people act when using their phones, as well as interviewing and surveying hundreds of phone users. Ling uses Robert Putnam's definition of social capital as "the degree to which a group uses mechanisms such as social networks, trust, reciprocity and shared norms and values to facilitate collaboration and cooperation." Social capital derives value from loose networks as well as dense ones, however. Ling zeroed in on the way mediated encounters might change the ways social networks interacted.
Cyberculture C'est à une reprise de ses principales analyses sur les effets sociaux de l'explosion des réseaux électroniques que se livre ici Pierre Lévy dans le cadre d'un rapport demandé par le Conseil de l'Europe. Ni salut, ni perdition Internet sera ce que les hommes en feront. En l'occurrence, Internet est le résultat d'une intelligence collective, dont l'initiative première et la marche échappent aujourd'hui à toute hiérarchie, à tout fonctionnement étatique : « En interagissant avec le monde virtuel, des utilisateurs l'explorent et l'actualisent tout à la fois. Un universel sans totalité Après avoir, dans une première partie, rappelé les principales démarches autorisées par Internet, Pierre Lévy analyse dans une seconde partie les formes particulières que prend aujourd'hui cette « cyberculture ». Le cyberespace est le lieu d'un universel sans totalité. Communautés virtuelles Cette « téléprésence généralisée » qu'entraîne l'interconnexion mondiale crée une communauté virtuelle.
Conversando sobre la Web 2.0 | Debates : Educación y TIC | educ. - A Internet e a Web deixaram há algum tempo de ser uma espécie de mundo à parte. Poderá dizer-se que já habitamos um cibermundo? Fará ainda sentido fazer a distinção entre mundo online e offline? El creciente ritmo de adopción social de las tecnologías de la información está contribuyendo a un proceso imparable de digitalización y virtualización de muchas de nuestras experiencias vitales cotidianas. El correo electrónico, la mensajería instantánea, el chat y los mensajes de SMS han cambiado las prácticas sociales y comunicativas de una generación para la que las distinciones entre el mundo real y el mundo virtual hace tiempo que han comenzado a desdibujarse. El mundo virtual se constituye y experimenta como un espacio que se superpone y acopla al espacio del mundo físico. - Que factor pensa ter contribuído mais para o aparecimento desta Web social? - Os utilizadores estão cada vez mais dispostos a partilhar tudo na Web - fotos, pensamentos, episódios da sua vida.
Pierre Lévy : L’intelligence collective, une nouvelle utopie de la communication ? Selon Pierre Lévy, l’hominisation, le processus d’émergence du genre humain, n’est pas terminé. Après l’homo sapiens voici venu l’homo communicans qui évolue dans le nouvel espace des savoirs.C’est donc un point de vue d’anthropologue qui fonde toute sa réflexion et le projet d’intelligence collective qui en découle. Selon lui, il n’y pas d’alternative : le cyberspace existe, il l’a étudié et propose d’en tirer le meilleur parti, à la fois sur le plan individuel et sur le plan collectif, l’un et l’autre étant d’ailleurs indissociables.P. Introduction I Contextes et concepts : II Us et coutumes de l’intelligence collective III Potentialités, problèmes & perspectives du cyberspace ConclusionBibliographieLiens utiles
Le monde selon Google, par Pierre Lazuly Internet, avec ses 3 milliards de pages, est souvent décrit comme la plus complète des encyclopédies : une incomparable documentation mise gracieusement à notre disposition, et des outils qui savent répondre dans la seconde à la moindre de nos interrogations. Les moteurs de recherche sont si performants qu’il suffit de quelques mots épars pour retrouver une information quand la mémoire nous fait défaut. Ces outils incontournables sont, paradoxalement, de moins en moins nombreux : seules quatre entreprises américaines parviennent encore à proposer à un public mondial un service de qualité. Avant de prétendre aiguiller l’internaute dans un volume de données sans cesse croissant, il faut en effet pouvoir mobiliser des milliers d’ordinateurs pour parcourir la Toile et répertorier l’information disponible. Taille de l’article complet : 2 367 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? Accès sans abonnement