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Le boom des monnaies parallèles

Le boom des monnaies parallèles
Depuis le début des années 80, les monnaies complémentaires fleurissent en marge des Etats. Avec des motivations très diverses, qui vont du gain individuel à la recherche de lien social. En 1981, la compagnie aérienne American Airlines distribuait les premiers miles à ses clients. Aujourd'hui, plus de 160 compagnies ont adopté ce système, qui "paie" 20 millions de voyages chaque année. 1983: dans un Vancouver sinistré par la crise économique, le premier LETS (Local Exchange Trading System) est créé pour favoriser les échanges de biens et de services entre personnes. Vingt ans plus tard, le modèle a essaimé dans 2 500 associations, réparties dans 25 pays. Mais s'agit-il encore de monnaie? Fidéliser le client La logique peut être purement commerciale. Les entreprises peuvent aussi avoir intérêt à se passer de monnaie officielle quand elles échangent entre elles. Logique sociale Mais c'est une tout autre logique qui anime les monnaies dites sociales. Le Cercle économique WIR Monnaies locales

Bitcoin La mise en forme de cet article est à améliorer (novembre 2023). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Logo. Le Bitcoin (₿, BTC, XBT[n 1]) (de l'anglais bit : unité d'information binaire et coin « pièce de monnaie ») est une cryptomonnaie autrement appelée monnaie cryptographique. Le G20 refuse de considérer le Bitcoin comme une monnaie, il le définit comme « crypto-actif »[5]. Bitcoin s'appuie sur un logiciel pour créer et gérer les bitcoins. Pour chaque nouveau bloc accepté, l'activité de vérification-sécurisation-enregistrement, dite « minage », est rémunérée par des bitcoins nouvellement créés et par les frais des transactions traitées[9]. L'unité de compte de Bitcoin est le bitcoin. ) a été déposé par Ken Shirriff pour faire partie du bloc des symboles monétaires et accepté en 2015 par l'organisation Unicode[13],[14]. Le système fonctionne sans autorité centrale, ni administrateur unique. . positions sceptiques

Zone A Défendre - Tritons crété-e-s contre béton armé Bienvenue sur le site de la future monnaie locale des P-O | La future monnaie des P-O Bonjour à tous, le concours touche à sa fin. Nous avons reçu 6 excellentes propositions de billets pour nos futurs Soudaquis.Nous en remercions chaleureusement les participants pour leur travail de qualité.Le projet que nous avons choisi est en cours de finalisation.Dès que les billets et le logo correspondront à l’idée que nous nous faisons d’une monnaie locale ancrée dans son territoire; nous vous communiquerons leur apparence définitive.A bientôt donc pour découvrir à quoi ressembleront les Soudaquis, que nous serons nombreux, espérons-le, à utiliser.Solidairement, L’équipe du Soudaqui A noter: une permanence aura lieu le 2ème lundi de chaque mois, de 19h à 20h, afin de permettre aux personnes intéressées de venir se renseigner sur la monnaie locale. Cliquez sur l’image ci-dessous pour afficher la version imprimable. Vous voulez utiliser la monnaie dès qu’elle sera créée ? Vous voulez participer au lancement de la monnaie ? S’inscrire à la liste d’information

La création monétaire Beaucoup de gens voient la monnaie comme un stock, c'est à dire qu'il existerait une certaine quantité de monnaie qui circulerait. Cette monnaie aurait été créée par la Banque Centrale, et, bien souvent, ces gens pensent que c'est en contrepartie des stocks d'or qu'elle détient dans ses réserves. Pour comprendre que ce n'est pas le cas, il suffit de voir que la valeur de cet or est bien inférieure à la valeur de la monnaie qui circule. A l'époque où les billets et pièces de la Banque de France représentaient la plus grosse partie de la monnaie existante, l'idée d'un stock avait encore du sens, mais avec la monnaie dématérialisée les choses sont bien différentes. La Banque Centrale Aujourd'hui, la Banque Centrale crée la "monnaie centrale". Au final, on peut constater que la banque inscrit la même somme à son actif et à son passif, et que sa comptabilité reste équilibrée.

Une remise en cause est nécessaire - Travail et salariat « Le Courrier » du 1er novembre a publié une réponse de Jean Batou (un dirigeant de solidaritéS) aux critiques formulées par Benito Perez dans son éditorial du 25 octobre. Ce dernier considère que les divisions incessantes de « la gauche radicale » sont la cause de son échec aux élections fédérales à Genève. Selon Jean Batou, si nous le comprenons bien, ces divisions sont bien plutôt dues aux difficultés que rencontre cette « gauche radicale » dans la crise actuelle qu’une cause de ces difficultés. Nous tenons à nous exprimer sur ces questions. Sectarisme et confusion 1. 2. De plus, en présentant deux listes, solidaritéS a amplifié la confusion : ses électrices et électeurs n’ont rien compris à cette manœuvre électorale ; ils n’y ont vu qu’un signe supplémentaire de parcellisation. 3. solidaritéS a conclu un sous-apparentement problématique avec le PS et les Verts. Des campagnes dévorantes 4. Un contenu sans cohérence d’ensemble 5. Le capitalisme comme seul horizon 6. 7. 8. 9. 12.

Monnaies locales : ce qu’il faut savoir - La Nef Face à l’urgence écologique et sociale, les Français sont de plus en plus nombreux à questionner les financements souvent opaques des grands groupes financiers et à rechercher des alternatives financières plus transparentes, hors des marchés spéculatifs et ancrées dans l’économie réelle. Parmi celles-ci, les monnaies locales, encore peu connues du grand public mais qui répondent pourtant à de nombreuses préoccupations des citoyens. Monnaies locales : caractéristiques et fonctionnement Qu’est-ce qu’une monnaie locale ? Les monnaies locales sont reconnues, depuis la loi du 31 juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire, comme des titres de paiement et doivent respecter deux conditions : êtres émises par des entreprises de l’économie sociale et solidaire (ESS) et respecter l’encadrement fixé par le code monétaire et financier. Le ministère de l’économie définit les monnaies locales comme des monnaies complémentaires à la monnaie officielle.

Création monétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La création monétaire, souvent appelée familièrement « la planche à billets », est le processus par lequel la masse monétaire d'un pays ou d'une région (comme la zone euro) est augmentée. Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, « ruée vers l'or ») et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, l'essentiel de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans les limites qui sont imposées aux établissements de crédits (réserves obligatoires etc.) et détruite par extinction des dettes sous-jacentes (par remboursement ou autre) ; la masse monétaire évolue constamment. Les monnaies non fiduciaires et fiduciaires[modifier | modifier le code] Monnaie non fiduciaire[modifier | modifier le code] La banque centrale.

Institut Européen du Salariat Création Monétaire | Une monnaie libre pour une économie libre Les trois dogmes assassins à l’origine de la désindustrialisation de la France XEnvoyer cet article par e-mail Les trois dogmes assassins à l’origine de la désindustrialisation de la France Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer Industrie Mais il n’est peut-être pas trop tard La France, cimetière d’usines : 900 fermées en trois ans. Ainsi, dans la zone euro, entre 2000 et 2010, le poids de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière dans le PIB accuse un recul de 3,7 points contre 5,2 points en France (plus de 100 milliards d’euros). Du côté des exportations dont la balance commerciale accuse 70 milliards de déficit, les performances son calamiteuses : la France a perdu de 1998 à 2012, 41 % de ses parts de marché, le double de l’OCDE, le triple de l’Allemagne. Sans industrie, point de R&D Or à elle seule, l’industrie réalise plus des trois quarts des exportations, 85 % des investissements en R&D. Pente fatale. On le voit bien, d’anciennes causes de nature culturelle plombent notre dynamique industrielle. Par Patrick Arnoux

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