Mars 2017 - L’IA, vers l’infini et au-delà Les astrophysiciens font face à des calculs d’une grande complexité. Et la réussite des missions spatiales qui sont amenées à se démultiplier, reposent entièrement sur l’exactitude rigoureuse des calculs de trajectoire, à titre d’exemple. Or, les données à traiter sont massives et fastidieuses. Le travail est colossal. Cette prise de conscience est issue de la rencontre de deux chercheurs Kevin Schawinski et CeZhang de l'Institut d'Astronomie et Physique de Zurich. Sur le long terme, l’ambition des astronomes serait de mettre au point une IA capable de réaliser les calculs complexes, de partir à la recherche de nouveaux astres, galaxies et planètes. Ce qui est certain, c’est que dans un siècle qui, pour la première fois possède les moyens techniques de conquérir Mars et de commercialiser l’espace, le tourisme spatial au coeur de toutes les convoitises, l’utilisation de l’IA représente un atout considérable.
Avril 2017 - L’IA au service de la recherche scientifique Lors de la dernière édition de l'événement EmTech Digital, à San Francisco, Dario Gil, vice-président du département scientifique chez IBM Research (d’où vient notamment le superordinateur Watson), a présenté ses travaux visant à mettre l’intelligence artificielle au service des chercheurs. Son ambition est d’utiliser l’apprentissage machine (machine learning), technique d’intelligence artificielle qui permet à un programme de s’améliorer avec l'expérience, pour extraire l’information d’un grand nombre de papiers de recherche scientifique. L’ordinateur pourrait ensuite corréler les informations concordant entre divers travaux de recherche, et tisser des graphs de connaissance susceptibles d'améliorer la recherche dans un domaine bien précis. Ainsi, dans un article récemment publié par Wired, le journaliste Nick Stockton s’interroge : « L’évaluation par les pairs a ses défauts. Alexa L’importance de l’élément humain Il est facile de voir le potentiel de telles expérimentations.
25 mai 2017 - L'intelligence artificielle de Google peut désormais créer sa propre IA Lors de sa conférence I/O ’17 de la semaine dernière, Google a dévoilé des détails sur son projet AutoML, une intelligence artificielle qui peut aider à créer d’autres IA. En automatisant une partie du processus compliqué, AutoML pourrait rendre l’apprentissage automatique (machine learning) plus accessible aux non-experts. En termes d’intelligence artificielle, il faut dire que Google sait y faire. Son réseau neuronal le plus connu, DeepMind, est à la fois capable de « rêver » et de comprendre les enjeux de la trahison. Il est également meilleur que tous les joueurs du monde au jeu complexe qu’est le Go. Et aussi impressionnant que ce soit, Google est déterminé à montrer au monde entier que l’entreprise peut faire encore bien plus dans ce domaine. En temps normal, chacune de ces couches (soit les segments de l’ensemble d’une IA), doivent être conçues par les ingénieurs, et cela prend du temps. Vous voulez éliminer toutes les pubs du site tout en continuant de nous soutenir ?
27 juillet 2017 - Google a ajouté la capacité d'imagination à l'intelligence artificielle DeepMind Les chercheurs de Google ont commencé à développer une intelligence artificielle (IA) possédant une imagination : une IA qui peut donc raisonner et faire des plans pour l’avenir, sans être dépendante des instructions humaines préalables. L’IA sera donc capable d’imaginer les conséquences des actions, avant même de les effectuer. Cela peut sembler naturel et acquis pour les êtres humains, mais c’est bien plus difficile à maîtriser pour une IA. L’équipe de scientifiques travaillant dans le laboratoire de Google DeepMind, affirme que cette capacité sera cruciale dans le développement des algorithmes d’IA à l’avenir, car c’est cela qui permettra aux systèmes de mieux s’adapter aux conditions changeantes pour lesquelles ils n’ont pas été spécifiquement programmés. « Lorsque nous plaçons un verre au bord d’une table, par exemple, nous allons probablement considérer à quel point il est stable et si il pourrait tomber. Source : DeepMind
25 novembre 2016 - Des intelligences artificielles lisent désormais sur les lèvres DeepMind, qui appartient à Google, a développé un programme informatique capable de lire sur les lèvres de façon plus efficace que les humains. C’est une nouvelle réussite pour Google DeepMind, l’entreprise d’intelligence artificielle londonienne rachetée par Alphabet. En début de semaine, ses chercheurs ont annoncé, avec des scientifiques de l’université d’Oxford, avoir développé un programme capable de lire sur les lèvres plus efficacement que les professionnels humains. Dans une première description de leurs résultats, ils expliquent que cette technologie d’intelligence artificielle réussit à lire sur les lèvres 46,8 % du temps, alors qu’un professionnel ayant dix ans d’expérience, soumis au même test, y parvient 12,4 % du temps. 5 000 heures de vidéo Pour que la machine parvienne à ce résultat, les chercheurs l’ont « entraînée » avec 5 000 heures de vidéos issues d’émissions politiques et d’actualité de la chaîne britannique BBC, couplées à des sous-titres.
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03 janvier 2018 - La chine ambitionne de devenir leader mondial de l'intelligence artificielle d'ici 2025 Un site spécialisé dans l'intelligence artificielle (IA) doit être construit à Pékin, la Chine ambitionnant de devenir un leader mondial en la matière d'ici 2025, rapporte mercredi 3 janvier l'agence de presse officielle Chine nouvelle. Le site accueillera jusqu'à 400 entreprises et aura une production annuelle estimée à 50 milliards de yuans (6,38 milliards d'euros), précise Chine nouvelle, citant un rapport des autorités du district de Mentougou de Pékin. Zhongguancun Development Group, le promoteur de ce projet de 13,8 milliards de yuans (1,76 milliard d'euros), prévoit de s'associer avec des universités étrangères pour construire un laboratoire d'IA de "niveau national", ajoute Chine nouvelle. Zhongguancun Development Group et les représentants du district de Mentougou n'ont pas pu être contactés dans l'immédiat pour un commentaire. 150 milliards de yuans de chiffre d'affaires pour 2020 Attirer les entreprises étrangères
12 septembre 2016 - Google créé une intelligence artificielle capable de parler presque aussi bien que nous Question intelligence artificielle, l’entreprise qui semble actuellement faire le plus de progrès est sans doute Google. Son intelligence artificielle Deepmind sait générer la voix humaine dynamiquement, en apprenant constamment de ses erreurs. Une prouesse qui permet aux sons générés par cette intelligence artificielle d’être particulièrement convaincants. On le sait, Google investit dans tous les domaines qui croisent sa route. Mais l’entreprise américaine a un faible tout particulier pour l’intelligence artificielle. C’est à dire l’avénement d’une intelligence artificielle parfaitement fonctionnelle, capable d’interagir avec les êtres humains, et de comprendre leurs émotions. Ce que vous entendez, c’est la voix d’un réseau neuronal La prouesse vient d’une technologie qui se développe en ce moment, les réseaux neuronaux. Au final, le réseau neural se retrouve capable de lui-même générer une voix, sans utiliser aucun échantillon audio préfabriqué. Génération paramétrique WaveNet
24 décembre 2017 - Intelligence artificielle : Facebook mise sur la reconnaissance faciale pour nous protéger Facebook fait une nouvelle fois appel à l'intelligence artificielle pour contrôler l'utilisation des photos de visages. Ses algorithmes de reconnaissance faciale peuvent prévenir quelqu'un si sa photo est diffusée sur le réseau social. Un outil destiné à lutter contre les problèmes de harcèlements et d'usurpation d'identité. Grâce à la reconnaissance faciale, Facebook va informer ses utilisateurs lorsqu'une photo d'eux est publiée sur le réseau social, même lorsqu'ils n'ont pas été identifiés par leur nom (tags), a annoncé le groupe mardi. « Nous faisons cela pour empêcher les gens de prendre la place d'autres sur Facebook » en utilisant par exemple la photo de quelqu'un d'autre comme photo de profil, écrit le groupe.
12 janvier 2016 - L'intelligence artificielle en plein essor grâce à la révolution de l'« apprentissage profond » Les techniques d'« apprentissage profond » (« deep learning ») ont, en moins de 5 ans, complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle (IA), selon Yann LeCun qui dirige le nouveau laboratoire d'intelligence artificielle de Facebook à Paris. L'apprentissage profond est utilisé, par exemple, par Siri, Cortana et Google Now pour la reconnaissance vocale, par Google Maps pour déchiffrer le texte présent dans les paysages (comme les numéros de rue) et par Facebook pour détecter les images contraires à ses conditions d'utilisation et pour reconnaître les utilisateurs présents sur les photos publiées (une fonctionnalité non disponible en Europe). « Toutes les grandes entreprises tech s'y mettent : Google, IBM, Microsoft, Amazon, Adobe, Yandex ou encore Baidu y investissent des fortunes », rapportait la journaliste Morgane Tual dans Le Monde en juillet 2015. La journaliste cite Yann Ollivier, chercheur en IA au CNRS, qui explique : « Comment reconnaître une image de chat ?
11 décembre 2017 - Alpha Zéro démontre le pouvoir et la particularité de l’IA qui apprend seule et d’elle-même La dernière avancée de DeepMind se comporte d’une manière très surprenante. Les autres systèmes d’IA devraient être tout aussi bizarres. Le dernier programme d’AI développé par DeepMind n’est pas seulement brillant et remarquablement flexible, il est aussi assez bizarre. DeepMind a publié cette semaine un article décrivant un programme de jeu qu’il a développé qui s’est avéré capable de maîtriser les échecs et le jeu japonais Shōgi, ayant déjà la maîtrise du jeu de Go. Demis Hassabis, le fondateur et CEO de DeepMind et joueur d’échecs lui-même, a présenté plus de détails sur le système, appelé Alpha Zero, lors d’une conférence d’IA en Californie jeudi. « Il ne joue pas comme un humain, et il ne joue pas comme un programme », a déclaré Hassabis lors de la conférence Neural Information Processing Systems (NIPS) à Long Beach. « Il joue d’une troisième façon, presque extraterrestre. » Le jeu d’échecs a une longue histoire en intelligence artificielle.