30/04/2014 Le jihadiste Abdelhakim Belhadj reçu à Paris Crédit photo: Tous droits réservés d.r. Dans une rue de Paris, si courte que pour peu elle n’existait pas, assis au fond d’une salle avare de mètres carré, coincé entre un mur et une journaliste du Monde, Isabelle Mandraud, qui joue la meneuse de revue, on sent qu’Abdelhakim Belhadj n’est pas à sa place dans ces coulisses de l’éditeur l’Harmattan. Belhadj, vous le savez, c’est le sphinx libyen, l’avenir du pays, le héros promis par l’Amérique à devenir calife à la place du Colonel, à remplacer Kadhafi sur son trône vert. Voilà le sauveur d’une nation en lambeaux, héros d’une comédie du bonheur écrite au fil des jours par des journalistes, politologues, hommes d’affaires et politiques. Salut Belhadj, welcome to Paris On attendait mieux de vous, le "De Gaulle" de Tripoli, pour une première visite dans cette France qui, par la grâce de Nicolas Sarkozy, a « libéré » votre terre. Accroc fatal, en 2003 c’est en Malaisie qu’Abdelhakim est arrêté par la CIA. Le discours est parfait. Partager :
Muslim Brotherhood Says Qatar Ousted Its Members - NYTimes.com BAGHDAD — An Egyptian leader of the Muslim Brotherhood said Saturday that several of the group’s prominent members had been asked to leave Qatar, in an apparent concession to a campaign by other Persian Gulf monarchies to pressure Qatar away from its support for the group. “Some symbols of the Muslim Brotherhood and its political wing — the Freedom and Justice Party — who were asked by authorities to move their residence outside the state of Qatar have now honored that request,” the Egyptian, Amr Darrag, a senior Brotherhood leader, said in a statement posted on the group’s website. A Qatari diplomat contradicted Mr. Darrag, speaking on the condition of anonymity. The diplomat said that the Brotherhood leaders had decided to depart for their own reasons without any request from Qatar, and that they were welcome to return. Qatar’s Pan-Arab news network, Al Jazeera, remains sympathetic to the Brotherhood across the region. In his statement, Mr.
À propos d’Abdelhakim Belhadj à la tête de l'EI maghreb (Daesh) 20/03/2015 Plainte de l'Egypte contre Abdelhakim Belhadj protégé de l’OTAN 30 mars 2015 Article en PDF : Dans les années ’80, Belhadj combat les Soviétiques en Afghanistan, probablement recruté par le réseau de Ben Laden, soutenu par l’Arabie saoudite, le Pakistan et la CIA. Revenu en Libye, il participer à la fondation du Groupe islamique combattant en Libye (GICL), dont il deviendra un de ses « émirs », et tente, à quatre reprises entre 1995 et 1998, d’assassiner Mouammar Kadhafi, pour le compte du MI6 britannique, le service extérieur de sa Gracieuse Majesté. Sous la promesse de renoncer à la lutte armée, Belhadj quitte en mars 2010 les geôles libyennes, en compagnie de près de 200 autres islamistes, et prend le chemin du Qatar. La même année, il se rend en Syrie, pour combattre au sein de l’Armée syrienne libre, la faction choyée par le camp occidental pour déstabiliser le pays. Après ces élections, il se joint à la coalition de milices islamistes et tribales, Fajr Libya, qui n’en reconnait pas les résultats et s’empare de l’ouest du pays.
Lors de cet interview, Cheikh Nabil Naiem (ancien cadre d'Al-Qaïda) révèle le projet américain « pour un nouveau siècle » dont le plan, « clean break », a été mis en place par la CIA dès 1998. Il nous explique le processus d’entrisme (infiltration & récupération) au sein des groupes djihadistes pour mener cette nouvelle guerre hégémonique « américaine ». by epc May 23
Révélations d'un ancien cadre d'Al-Qaïda sur l'EIIL (En Français)
Ajoutée par Dissidence
sur YOUTUBE le 11 juil. 2014
Révélations d'un ancien cadre d'Al-Qaïda sur le soutien des États-Unis et de leurs alliés à l'EIIL (Sous-titres en Français) by epc Aug 13