WEB OF DEBT BLOG Marie-Noëlle Lienemann : " François Hollande doit proposer un référendum " Atlantico : Le traité de stabilité budgétaire européen, que François Hollande souhaite faire adopter le plus vite possible par voie parlementaire, fait débat au sein du PS. Vous qui représentez l'aile gauche du parti, vous avez annoncé ne pas vouloir voter ce texte sous cette forme. Pourquoi cette décision ? Marie-Noëlle Lienemann : Ce traité est dangereux : il ne résout en rien la crise et va nous envoyer dans le mur en accroissant le risque de démantèlement de notre modèle social et de croissance faible pendant de très nombreuses années. Il dépossède le parlement et les peuples de leur souveraineté budgétaire sans doter l'Europe d'un budget qui permettrait des transferts solidaires. François Hollande a néanmoins obtenu un engagement de l'Europe pour relancer la croissance. Un volet croissance, modeste, a été ajouté : 120 milliards d'euros sur 5 ans. Mais la rigueur n'est-elle pas une nécessité pour régler le problème des dettes souveraines ? L'équilibre total est une chimère.
Projet SOL Pourquoi le Projet Sol ? Contribuer au développement d'une économie basée sur des valeurs écologiques et sociales. Rendre visible et valoriser l'ensemble des richesses et capacités créatrices des activités humaines aujourd'hui invisibles ou dévalorisés . Faciliter les échanges, créer des mécanismes de solidarité et de coopération entre différents acteurs, dans la perspective d'un développement humain soutenable. Le projet SOL, comment ? Renforcer l'ensemble constitué par les structures relevant de l'Économie Sociale et Solidaire, Valoriser les activités à caractère écologique et social aujourd'hui peu prises en compte. Le SOL Coopération. Le SOL coopération fonctionne comme une carte de fidélité " multi-enseigne ". Vous êtes soliste (porteur d'une carte SOL) ou prestataire (entreprise ou collectivité distribuant ou recevant des Sols) : Le projet SOL est expérimenté dans cinq régions françaises : Alsace, Bretagne, Ile de France, Nord Pas de Calais et Rhône Alpes.
Austérité : ce moment fatidique où les Etats ont jeté leurs manuels d'économie Au cours des mois d’épouvante qui ont suivi la chute de Lehman Brothers, à peu près tous les grands Etats ont convenu qu’il fallait enrayer l’effondrement brutal de la dépense privée, et ils ont usé de mesures budgétaires et monétaires expansionnistes – plus de dépenses, moins d’impôts et une large émission de monnaie – pour limiter la casse. Ils suivaient en cela les recommandations des manuels, et appliquaient les leçons durement apprises de la Grande Dépression. Mais en 2010, une chose curieuse s’est produite : le gros de l’élite mondiale des décideurs – les banquiers et les fonctionnaires du Trésor qui façonnent l’opinion commune – a décidé de jeter aux orties les manuels et les leçons de l’histoire et déclaré que tout ce qui était blanc serait noir. C’est-à-dire qu’il est soudain devenu de bon ton d’appeler à la réduction des dépenses, à l’augmentation des impôts et à la hausse des taux d’intérêt malgré le chômage de masse. Que cachait ce basculement soudain du discours politique ?
BerkShares: Local Currency for the Berkshire Region Manifeste d'économistes atterrés Introduction La reprise économique mondiale, permise par une injection colossale de dépenses publiques dans le circuit économique (des États-Unis à la Chine), est fragile mais réelle. Un seul … Dépliercontinent reste en retrait, l’Europe. Retrouver le chemin de la croissance n’est plus sa priorité politique. Fausse évidence n°1 :les marchés financiers sont efficients Aujourd’hui, un fait s’impose à tous les observateurs : le rôle primordial que jouent les marchés financiers dans le fonctionnement de l’économie. Fausse évidence n°2 :les marchés financiers sont favorables à la croissance économique L’intégration financière a porté le pouvoir de la finance à son zénith par le fait qu’elle unifie et centralise la propriété capitaliste à l’échelle mondiale. Fausse évidence n° 3 :les marchés sont de bons juges de la solvabilité des États Fausse évidence n°4 :L'envolée des dettes publiques résulte d'un excès de dépenses Fausse évidence n°8 :L'union européenne défend le modèle social européen
Solari | The Solari Report Jacques Le Cacheux Fiscalité, compétitivité et développement du tissu d'entreprises Xerfi Canal a reçu Jacques Le Cacheux, Directeur du département d'études de l'OFCE : Favorable à un processus d’harmonisation de l’assiette de l’impôt sur les sociétés en Europe, reposant sur une coopération franco-allemande, Jacques Le Cacheux considère que les délocalisations fiscales sont bien plus importantes que les délocalisations des entreprises elles-mêmes. Le directeur des études de l’OFCE a développé plusieurs thèmes lors de son entretien avec le président du Groupe Xerfi, Laurent Faibis tels que : - la structure du ... Jacques Le Cacheux Fiscalité, compétitivité et développement du tissu d'entreprises - Présentation - Suite Jacques Le Cacheux est professeur agrégé des Universités en économie, à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, depuis 1996. Il est également chercheur à l'OFCE depuis 1983 et Directeur du département des études de l'OFCE depuis 1993. Jacques Le Cacheux est ancien élève de l'Ecole normale supérieure (ENS-Ulm), titulaire du Diplôme ...
The Future of Money Money is a fascinating topic. It can be exchanged for goods and services. It carries cultural and historical significance — for example, the Confederate currency of the U.S. Civil War era. The Root of All Money Any currency that can maintain its value among its users can function. Kropotkin wrote about "mutual aid societies" and now we see TeleCommunities like Solari, social networks of people helping each other, trusting each other, empowered by the tools of the digital revolution. The most widely used alternative currency model is called LETS (Local Economy Trading Schemes). The Distance to Here Still, simply because the possibility for new forms of exchange exists does not mean that we will succeed in implementing them. First, the single most important obstacle is that governments still retain a monopoly on the establishment and maintenance of "real" money by law. Second, we have to learn to make a distinction between what the word "local" used to mean, and what it can mean today.