Histoire de la langue anglaise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’anglais est une langue germanique occidentale, dont les origines proviennent des dialectes anglo-frisons apportés sur l’île de Bretagne par les tribus germaniques venues s’y installer. Ensuite la langue a été influencée, surtout au plan lexical, par les langues des envahisseurs scandinaves et surtout normands. Le vieil anglais (Old English)[modifier | modifier le code] Origine géographique des invasions de tribus germaniques à partir du Ve siècle. Les localisations sont approximatives. Les dialectes germaniques, qui ont connu la première mutation consonantique, sont alors désignés sous le nom de vieil anglais, d'abord écrit en runes, puis avec l'alphabet latin, apporté par les scribes irlandais au VIIIe siècle. La seconde grande invasion linguistique fut le fait des Vikings, qui effectuèrent des raids sur la côte est de l'Angleterre à partir de 787 et commencèrent à s'y installer au milieu du IXe siècle. Et pour le Moyen Âge spécifiquement :
Barère: Rapport du comité de salut public Citoyens, les tyrans coalisés ont dit : l'ignorance fut toujours notre auxiliaire le plus puissant ; maintenons l'ignorance ; elle fait les fanatiques, elle multiplie les contre-révolutionnaires ; faisons rétrograder les Français vers la barbarie : servons-nous des peuples mal instruits ou de ceux qui parlent un idiome différent de celui de l'instruction publique. Le comité a entendu ce complot de l'ignorance et du despotisme. Je viens appeler aujourd'hui votre attention sur la plus belle langue de l'Europe, celle qui, la première, a consacré franchement les droits de l'homme et du citoyen, celle qui est chargée de transmettre au monde les plus sublimes pensées de la liberté et les plus grandes spéculations de la politique. Ces puériles distinctions ont disparu avec les grimaces des courtisans ridicules et les hochets d'une cour perverse. Je commence par le bas-breton. Un autre département mérite d'attirer vos regards : c'est le département de Corse. Eh quoi ! Voici le projet : Art. Art.
Histoire du français Le français ne fut jamais isolé: il reçoit et emprunte, donne et lègue; il s'affirme et se développe à l'abri du latin et contre lui. Il absorbe le norrois des Vikings danois pour en faire les Normands, après avoir avalé la langue des rois francs. Il se nourrit de l'occitan qu'il réduit; il ignore le breton avant de le mettre à mal, mais le basque lui résiste et il doit composer avec l'alsacien — venu des Alamans, tout comme les dialectes germaniques de Suisse. À la fin du XVIIIe siècle, la langue se replie dans le nord de l'Italie, mais s'étend vers la Corse et s'impose en Savoie. Dans l'ensemble, le français met à mal les langues et dialectes dans ce qu'on appellera plus tard l'«Hexagone». À partir du XVIe siècle, cette langue française s'était répandue hors d'Europe. Alain Rey, Frédéric Duval, Gilles Siouffi, 2007.
Language policy in France France has one official language, the French language. The French government does not regulate the choice of language in publications by individuals but the use of French is required by law in commercial and workplace communications. In addition to mandating the use of French in the territory of the Republic, the French government tries to promote French in the European Union and globally through institutions such as La Francophonie. The perceived threat from anglicisation has prompted efforts to safeguard the position of the French language in France. Besides French, there exist many other vernacular minority languages of France, both in European France, in Overseas France, and in French overseas territories. These languages are recognized by the article 75-1 of the French constitution.[1] In France proper, Corsican, Breton, Gallo, Basque, Franco-Provençal, Occitan and Catalan have an official status in the regions where they are spoken. History[edit] Académie française[edit]
Histoire des langues Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Confusion des langues, Gustave Doré Ce dessin se conforme à la tradition picturale : la punition divine frappe les humains pour leur ambition sans bornes à édifier Babel ; le motif mythologique est comparable à Prométhée, qui provoque la colère divine en dérobant le secret du feu. L’origine et l’histoire des langues ont toujours suscité l’intérêt des penseurs. De nombreux mythes tendent à donner aux langues une origine supranaturelle (Hermès, ...). La Bible donne quant à elle une origine divine aux langues (Tour de Babel). Pour éviter les querelles stériles et les thèses farfelues, la Société de linguistique de Paris avait en 1865 informé ses membres dans ses règlements qu'elle ne recevrait plus « aucune communication concernant [...] l'origine du langage »[1]. De nos jours, la discipline scientifique ayant pour objet l'étude de l'histoire et de l'évolution des langues est la linguistique comparée. Hermès, Zeus
Vergonha 16th to 18th century[edit] Beginning in 1539 with Art. 111 of the Ordinance of Villers-Cotterêts,[7] non-French languages in France were reduced in stature when it became compulsory "to deliver and execute all [legal] acts in the French language" (de prononcer et expedier tous actes en langaige françoys). Originally meant as a way to eliminate Latin in official documents — few 16th-century French subjects were educated and familiar with Latin — it also stated that French and only French was legal in the kingdom (en langage maternel françoys et non aultrement). Late 18th to late 19th century[edit] Abbé Grégoire's "Report on the necessity and means to annihilate the patois"[edit] Four months earlier (January 27), Bertrand Barère de Vieuzac, although an Occitan from Tarbes himself, claimed [11] before this same Convention that The end of traditional provinces[edit] This policy can be noted by the way France's internal borders were redrawn, creating 83 départements. School discipline[edit]
Plus récent ancêtre patrilinéaire commun Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En génétique humaine, le plus récent ancêtre patrilinéaire commun est l'homme de qui tous les chromosomes Y des hommes vivants descendent. En 2003, une étude du généticien Spencer Wells qui avait conclu que tous les humains vivant aujourd'hui sont les descendants d'un homme qui a vécu en Afrique il y a environ 60 000 ans, en analysant l'ADN de gens dans plusieurs régions du monde[1]. En 2011, Fulvio Cruciani et al. ont calculé par la diversité de l'ADN du chromosome Y que le plus récent ancêtre patrilinaire commun daterait d'environ 140 000 années[2]. En 2013, le Y-RMCA pourrait être bien plus ancien, et dater de - 338 000 ans, néanmoins ces modèles incluent la structure de la population ancienne et la possibilité d'introgression archaïque de chromosomes Y chez des humains anatomiquement modernes, étant donné qu'il y a de nombreux noeuds de coalescence dans la généalogie patrilinéaire [3]. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Histoire du Monde -> Talleyrand-Périgord Charles-Maurice de, prince de Bénévent (Paris, 13 février 1754 - id., 17 mai 1838). Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément nommé Talleyrand, est un homme politique et diplomate français, né le 2 février 1754 à Paris, mort dans cette même ville le 17 mai 1838. Héritier d’une grande famille, boiteux, il est privé de son droit d’aînesse et est orienté dans la carrière ecclésiastique, devenant prêtre puis évêque. Il abandonne le clergé pendant la Révolution et mène une vie laïque, allant jusqu’à se marier. Agissant la plupart du temps comme homme d’influence, diplomate ou conseiller, il est réputé pour son esprit et son intelligence, menant une vie entre l’ancien régime et le XIXe siècle. Origine et jeunesse Sa famille affirme descendre de Wilgrim, nommé comte de Périgord au IXe siècle par Charles le Chauve, et d’Adalbert, comte de Périgord, partisan et vassal d’Hugues Capet en 990. Il naît le 2 février 1754 au 4, rue Garancière, à Paris. Mémoires de Talleyrand Révolution
Langue adamique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le thème lié à la recherche de la langue parlée par les personnages mythiques des textes fondateurs des religions abrahamiques, Adam et Ève, a passionné les érudits travaillant sur le fait religieux. La langue adamique serait donc une proto-langue hypothétique, puisque liée à la condition de suivre le récit de la Genèse. Le passage du texte sacré accréditant l'existence de cette langue propre aux deux personnages symboles est celui du nomothète, lorsque le Créateur présente les animaux de la Création à Adam, et lui demande de leur trouver un nom ; le nommage d'Adam se fait alors sur le mode performatif, « baptisant » les créatures. Les érudits antérieurs, comme les théologiens contemporains, sont relayés dans leurs travaux de recherche par les linguistes. Le mormonisme et la langue adamique[modifier | modifier le code] Selon les traductions de la bible de Joseph Smith, Jr., ce langage aurait été "pur et non souillé[1]".