La BNS devrait donner de l'argent à chaque Suisse pour relancer l’économie L’économie mondiale est caractérisée par trois grands déséquilibres: la croissance de l’endettement, l’aggravation des inégalités sociales et la persistance de flux commerciaux asymétriques. Ils s’entremêlent de manière complexe et sont le résultat de tendances de fonds étalées sur plusieurs décennies. Les dynamiques qui les sous-tendent sont mal comprises, la reconnaissance même de ces problèmes n’est pas évidente et du coup les solutions techniques, mais surtout politiques, semblent faire cruellement défaut. Pourtant ces déséquilibres menacent aujourd’hui la stabilité économique, sociale et géopolitique, au point que nous sommes peut-être arrivés à un point de rupture. Le premier déséquilibre, unanimement reconnu, est celui de la dette. Des inégalités sources de tensions Le deuxième déséquilibre, bien documenté, même si plus polémique, est celui des inégalités sociales. Une ration monétaire pour chaque résident Une mesure collaborative
La permaculture : la complexité décomplexée Définition Datant des années 1920, le concept de la permaculture a été développé dans les années 70 par deux australiens, Bill Mollison et David Holmgren inspirés par les savoirs traditionnels aborigènes, l'agriculture naturelle du non-agir du japonais Masanobu Fukuoka et les connaissances en biologie et en environnement. « Nous n’avons pas voulu établir un schéma fixe et dogmatique mais un modèle qui intègre plusieurs principes appartenant à de nombreuses disciplines–l’écologie, la conservation de l’énergie, l’aménagement du paysage, la rénovation urbaine, l’architecture, l’agriculture (sous tous ses aspects) et les théories de localisation en géographie. » « Ce n’est pas une synthèse parfaite, ni même suffisante, mais un commencement. La permaculture s'inscrivant dans la logique écosystémique de liens, d'échanges, de cycles, de flux et de réajustements constants, elle intègre facilement de nouveaux éléments, de nouvelles approches. Une éthique Des principes Le Zonage Embaucher les poules
Le Café suspendu, celui qu'on offre à un inconnu - 18/12/2015 - ladepeche.fr Le concept est simple : boire son petit noir au comptoir d'un bar et en payer deux. Le prochain client, qui n'aura pas forcément les moyens de s'en offrir un, pourra quand même le consommer sans bourse délier. Chaque café suspendu est dûment coché sur un tableau par les patrons de bars. Ce concept est né en Italie sous le terme de «Caffe sopeso». A Albi rares son encore les bars à l'avoir intégré dans leur établissement. Article exclusif réservé aux abonnés Voir l’offre Digital Votre crédit de bienvenue en cours : 20 articles L'Etat de Nécessité [Art.122-7 du Code Pénal]: Le temps politique est désormais révolu, nous passons à l'action ! Depuis quelques jours, un phénomène commence à s'abattre sur les eurocrates, qui si tout le monde y met un peu du sien, pourra permettre rien de moins que de déclencher la tenue d'un référendum sur la sortie de l'euro et de l'Union Européenne, de façon très... alternative ! Cela fait des années que différentes formations politiques réclamant la sortie de l'U.E, l'euro et l'OTAN sont ostracisées par les médias, quand elles ne sont pas pleinement diffamées. Le régime de propagande et de censure a bien assez duré, et quiconque est un peu rationnel sur le système électoral et médiatique actuel, sait que ça n'est certainement pas en 2017 que nous verrons un responsable politique compétent et souhaitant nous libérer de la tutelle de l'U.E et l'OTAN, arriver au pouvoir par le biais du Suffrage Universel. A ceux qui en doutent encore par religiosité partisane, je me plairais à citer Alexis de Tocqueville : "Je ne crains pas le Suffrage Universel, les gens voteront comme on leur dira !" Sylvain
What is Hoffice? | HofficeHoffice Hoffice.nu is a network aiming at creating fantastic, free work spaces – and make it thereby possible for people to realise their dreams. The work spaces are free of charge, as we are using a during-the-day underused resource: our homes. They become fantastic, as we use methods of structuring the day that allow us as individuals to benefit from the support and intelligence of the collective. But even though there is a structure, you are very welcome to ignore it, keep working while the others take breaks, come and go whenever you want. By working at Hoffice, we give ourselves and each other the gift to spend our days in a social working environment, where we are extremely productive without ignoring our other human needs. To work at Hoffice is in a way different from most other workplaces that might seem for people who haven’t tried it yet as a paradox. We love to see Hoffice growing and welcome others to join our network.
Le Carsharing: les voitures en commun! Le Carsharing: les voitures en commun! Vous avez besoin d’une voiture mais vous vous passeriez bien des soucis qui vont avec ? Déplacez-vous autrement et découvrez le carsharing ! Des avantages multiples: vous avez accès à une voiture quand vous le voulez, sans devoir en être propriétaire. Le cuir végétal est sur le point de révolutionner l'industrie textile ! © inconnu Un grand pas en avant est en train d'être franchi grâce à Richard Wool, un ingénieur chercheur des États-Unis, qui a développé un éco-cuir artificiel. L'éco-cuir est produit à partir de fibres naturelles telles que le lin ou le coton mélangé à du maïs, du soja et d'autres huiles végétales, fibres qui sont ensuite assemblées sur plusieurs couches. Le résultat est vraiment probant et très similaire au cuir animal. Au cas où vous vous demanderiez si cet éco-cuir peut-être utilisé de la même manière que le cuir des animaux, la réponse est oui. Bonne nouvelle, l'intérêt pour ce matériau augmente de façon exponentielle : des entreprises comme Nike, Puma et Adidas ont demandé des échantillons afin d'expérimenter cette innovation verte, qui permettra d'offrir plus d'articles vegan (ce qui signifie exempt de matière animale). Cependant, il va falloir être patient avant de trouver des chaussures et d'autres produits fabriqués à partir de ce cuir écologique dans les magasins. Référence
Le Farfouilli, un magasin gratuit dans le Pas-de-Calais ! - Ça drache en Nord Prends ce dont tu as besoin et/ou amène ce qui ne te sert plus ! C’est la devise de ce « Free Shop » ouvert il y a peu à Ferfay ! Une alternative à notre chère et tendre société de consommation qui fait son petit bout de chemin dans le Pas-de-Calais … Sur la page Facebook de la boutique on vous promet « du soleil, de la musique, de la bonne humeur et surtout de la gratuité ! », car ici tout est GRATUIT ! Vêtements, livres, vaisselle, décoration, jouets … Des objets en tout genre inondent cette caverne d’Ali baba ! Vous trouverez certainement votre bonheur, dans ce garage aménagé pour l’occasion. Le concept est novateur ! Ici, on ne parle pas d’argent. Une véritable zone de gratuité qui répond à la surconsommation de notre époque et où l’on apprend à récupérer, donner, recycler … Une belle initiative qui fait déjà de nombreux émules dans le Pas-de-Calais. Véritable projet communautaire d’entraide et de solidarité, « le Farfouilli » est ouvert lors de permanences le dimanche après-midi.
Je n'ai produit aucun déchet en 2 ans. Voici à quoi ressemble ma vie. Je m’appelle Lauren, j’ai 23 ans et je vis à New York. Je ne produis aucun déchet. Pour de vrai. Aucune poubelle, aucune décharge. Je sais ce que vous pensez. Je n’ai pas toujours vécu ce que certains appellent le mode de vie « zéro déchet ». Mais j’ai commencé à changer ma façon de vivre il y a environ trois ans, quand je faisais des études environnementales à l’Université de New York, que je protestais contre les grandes sociétés pétrolières, et que j’étais présidente d’un club qui proposait des discussions hebdomadaires sur des sujets environnementaux. Faux. Quand j’étais en cours, il y a avait une autre étudiante qui apportait toujours un sac en plastique contenant une barquette en plastique pleine de nourriture, une bouteille d’eau en plastique, des couverts en plastique, et un paquet de chips. C’est la première fois de ma vie que j’ai senti que je pouvais me regarder et me dire « HYPOCRITE ». Éliminer le plastique signifiait apprendre à emballer tous mes produits moi-même. 1. 2. 3.
Des hubs de partage pour la consommation collaborative Des hubs de partage pour la consommation collaborative Par Pierre Mallet le 13/04/15 | 10 commentaires | 2,057 lectures | Impression Depuis février 2014, la Fing, Ouishare et leurs partenaires ont mené ensemble un projet de R&D collaborative autour de la consommation collaborative, baptisé Sharevolution, dans le but de produire de nouvelles pistes de connaissances, de réflexions et d’innovation. Après la piste consacrée à la partagabilité des objets, nous vous livrons sur InternetActu.net la synthèse du second axe de ces réflexions, consacrée à l’hybridation de la consommation collaborative en ligne avec le monde physique. Pour l’instant encore, la consommation collaborative est surtout visible grâce à son volet numérique : elle s’incarne essentiellement via des plateformes de partage en ligne telles que AirBnb ou BlaBlaCar. L’essentiel des services de la consommation collaborative nécessite des lieux pour se rencontrer, pour partager, pour créer collectivement. Le quartier malléable
Le manque d’éthique de nos étiquettes Nous avons encore tous à l’esprit la catastrophe de Dacca au Bangladesh, où l’effondrement d’un immeuble abritant plusieurs ateliers de confection de marques internationales avait provoqué la mort de 1135 personnes. Malgré l’émoi et le raz-de-marée médiatique engendrés par ce drame, les conditions de travail des ouvriers du textile n’ont malheureusement pas évolué que ce soit au Bangladesh, au Cambodge ou ailleurs. Avec la campagne « The label doesn’t tell the whole story » (comprenez « l’étiquette ne vous raconte pas toute l’histoire »), le Canadian Fair Trade Network souhaite rappeler l’importance d’un commerce équitable garantissant des conditions de travail dignes et une rémunération juste pour les ouvriers. 100% coton. Par Les décroissants : être et ne plus avoir… Fatigués de la course au "toujours plus", ils ont choisi de vivre mieux avec moins. Une nouvelle éthique de vie qu’ils mettent en actes au quotidien. Témoignages. Christilla Pellé Douel Sommaire Qu’on les baptise « décroissants », « créatifs culturels », « consomm’acteurs », que l’on range le mouvement dans un tiroir intitulé « simplicité volontaire » ou « downshifting », peu importe… Car la dynamique est bien là : de plus en plus de personnes, en Amérique du Nord comme en Europe, veulent cesser de se laisser déborder par une vie qui ne leur convient plus. Pour l’instant, impossible de chiffrer avec exactitude l’ampleur de la vague, mais des instituts d’études en marketing évoquent déjà une « tendance significative et en expansion (1) ». 1- Trends Research Institute (institut américain de recherche sur les tendances). Prise de conscience et passage à l’acte
Les grainothèques, semences à partager Pour la gratuité dans un monde où tout s'achète Le partage est une manière économique, libre et solidaire de faire (re)découvrir les trésors de la nature à nos enfants, à nos voisins... Alors que les graines reproductibles abondent dans nos jardins, les semences hybrides de l'industrie semencière constituent un véritable racket annuel des paysans et jardiniers. Pour la liberté d’échanger et de reproduire nos graines Le geste de l’échange est déjà interdit chez nos paysans et nombreux sont les projets de lois qui menacent sans cesse notre biodiversité cultivée. Pour un entretien citoyen de la biodiversité cultivée Mauvaise nouvelle, l’héritage de notre biodiversité est déjà perdu à 75% selon la FAO, détruit par une industrie qui nous impose un nombre toujours plus restreint de variétés. Pour des semences adaptées à notre territoire Des semences standardisées réclament des conditions standardisées, à grand renfort d’engrais et pesticides, et ne sont plus adaptées aux différents territoires.
Imprimante 3D : Un plâtre révolutionnaire conçu par un étudiant L’imprimante 3D conçue pour les plâtres a besoin de trois étapes. Lors de la première étape, le membre fracturé du patient est scanné. Grâce à la 3D, les médecins obtiennent ensuite des vues numériques précises des muscles. La machine prend enfin le relais et conçoit un plâtre sur mesure, il correspond donc à la morphologie de la personne et cible la blessure. Ainsi, lorsqu’il est « imprimé », le plâtre dispose d’un renfort placé à l’endroit de la fracture. Cette invention est signée Jake Evill. Un délai de fabrication un peu long Ceux qui ont déjà souffert d’une fracture connaissent tous les inconvénients des plâtres notamment lorsqu’il fait chaud. Les avantages de Cortex L’imprimante 3D mettra également 3 heures pour l’imprimer totalement.