Robert Capa: The Man Who Brought D Day To The World
Les derniers Compagnons de la Libération
Cliquez pour naviguer Sur les 1 038 Compagnons de la Libération, ils ne sont plus que 10 à être encore en vie, âgés de 96 à 103 ans. Cet ordre national, le deuxième après la Légion d’honneur, a été créé par le général de Gaulle au cours de la Seconde Guerre mondiale, le 16 novembre 1940. Il est destiné “à récompenser les personnes ou les collectivités militaires et civiles qui se seront signalées dans l'œuvre de libération de la France et de son Empireˮ. La disparition des derniers Compagnons marquera la fin d’une période héroïque de l’histoire de France. Mais l’Ordre a pour mission de continuer à entretenir la flamme de la résistance et de transmettre à la nouvelle génération les valeurs de ces combattants qui ont dit “nonˮ. Daniel Cordier,le chancelier d’honneurde l’Ordre de la libération Daniel Cordier aujourd’hui © Stéphanie Trouillard, France 24 À 97 ans, Daniel Cordier est le chancelier d’honneur de l’Ordre de la Libération. “La liberté est le soleil de la vieˮ Maréchal Koenig H.
6 Juillet 1944 : Débarquement des Alliés en Normandie
La stratégie mise en place par le général Montgomery visant à attaquer Caen par l'est a échoué et les furieux combats entre les Canadiens et la 12ème S.S. Panzer division ne permettent à aucun des deux belligérants de progresser. De plus, le colonel Maurice, chef de corps du 4ème King’s Shropshire Light Infantry trouve la mort lors du bombardement de son quartier général par les artilleurs allemands. La situation semble bloquée à nouveau, le front n'ayant pas véritablement évolué. Caen est toujours aux mains des défenseurs allemands et les Britanniques qui progressent dans les faubourgs nord de la ville sont arrêtés par un barrage de mortiers et d'obus mis en place par leur ennemi. Montgomery choisit de lancer une prochaine offensive dans les 2 jours visant à percer le front et contrôler définitivement la ville de Caen. Les Américains semblent eux-aussi arrêtés par les forces allemandes dans le sud du Cotentin. Jour précédent - Jour suivant - Retour à la Frise historique
Les armées allemandes capitulent - l'Allemagne entière capitule à Reims
11/6/1944 : 13 résistants, dont 5 lycéens niçois, fusillés par la Gestapo à Saint-Julien-du-Verdon (04) - France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur
11 résistants, dont 5 jeunes du lycée Masséna, ont été fusillés, dans un champ, le 11 juin 1944 par la Gestapo niçoise, à Saint-Julien-du-Verdon (Alpes-de-Haute-Provence, anciennement Basses-Alpes) dans un champ. Un espace commémoratif rappelle cette exécution collective. Les causes de l'exécution : (Article détaillé : Bataille de Normandie). Dans le cadre d'un débarquement allié à venir, la Résistance reçoit comme consigne d'intensifier les actions de guérillas et de formation de maquis aussi bien dans le nord que le sud de la France. Première embuscade contre la Gestapo au col de Toutes-Aures... Et 2ème à Saint-Julien-du-VerdonLes maquisards FTP partent ensuite à Vergons (Alpes-de-Haute-Provence) où les villageois leur apprennent le débarquement en Normandie.Ils se rendent ensuite à Saint-Julien-du-Verdon (Alpes-de-Haute-Provence) où ils arrivent vers midi. Premières arrestations Un détachement allemand arrive à Vergons dans l'après-midi. 2 résistants fusillés au Bar-sur-Loup :
Aout 1945 : Capitulation du Japon suite aux deux bombes atomiques : La Guerre est terminée
Déjà en février 1945, à l’initiative de l’empereur Hirohito, des démarches avaient été entreprises, auprès de l’Union soviétique, lui demandant, comme « neutre », de tenir un rôle d’intermédiaire pour conclure la paix entre le Japon et les alliés occidentaux. Ces démarches ont d’abord été menées par les soins de l’ambassadeur soviétique à Tokyo, puis par ceux de l’ambassadeur japonais à Moscou. Mais rien n’en est sorti. Ce mois-là, à la conférence de Yalta, où se sont réunis Winston Churchill, Joseph Staline et Franklin Roosevelt, le Soviétique s’était engagé à entrer en guerre contre le Japon, à condition d’obtenir les îles Kouriles, toute l’île de Sakhaline, et une position prédominante en Mandchourie. Winston Churchill, Franklin Roosevelt et Joseph Staline à la conférence de Yalta, en Union soviétique A la fin mai 1945, Harry Hopkins, envoyé personnel du président Truman, s’est rendu à Moscou pour s’entretenir de l’avenir avec Joseph Staline. Harry Hopkins Le dilemme de l’amiral Suzuki
World War II: Why is it so important 70 years later?
World War II is a huge topic. There are many sources both online and in print form. Primary Source materials: The Avalon Project at Yale University is a digital library relating to law, history and diplomacy. Its Word War II collection focuses on the diplomatic documents of the war. The Truman Library has digitized a large portion of documents related to the dropping of the atomic bombs on Hiroshima and Nagasaki. The Library of Congress also has a large collection of materials about World War II mainly focusing on United States involvement. Secondary Source Materials The British Broadcasting Corporation (BBC) has a site devoted to World War II. The Second World War by John Keegan The Second World War by Winston Churchill The Origins of the Second World War in Asia and the Pacific by Akira Iriye
Le Chant des partisans
Le Chant des partisans, ou Chant de la libération, est, pendant la Seconde Guerre mondiale, l’hymne de la Résistance française durant l'occupation par l'Allemagne nazie. La musique, initialement composée en 1941 sur un texte russe, est due à la Française Anna Marly, ancienne émigrée russe qui en 1940 a quitté la France pour Londres. La mélodie, sifflée, devient le 17 mai 1943 l'indicatif d'une émission de la France libre diffusée par la BBC. Les paroles en français sont écrites le 30 mai 1943 par Joseph Kessel, également d'origine russe[a], et son neveu Maurice Druon qui venaient de rejoindre les Forces françaises libres. Histoire[modifier | modifier le code] Mélodie[modifier | modifier le code] C’est au domicile de l'ancien ambassadeur russe Liouba (ou Lioubov) Krassine, à Londres, qu’Anna Marly chante Guérilla Song (chanson qu’elle a écrite pour les combattants de Stalingrad) devant Bernard (pseudonyme de résistant d’Emmanuel d’Astier). Paroles en français[modifier | modifier le code]
Libération de Paris