Le triangle du savoir : vers la pédagogie inversée? 1- Contexte Un nombre de plus en plus important de chercheurs, dont des spécialistes de la cognition et des formateurs d'enseignants, estiment que le processus d'enseignement et d’apprentissage est un processus en évolution continue. On admet qu'il faut diminuer les cours magistraux, pour laisser place à l'apprentissage tout au long de la vie ainsi que l'acquisition d’habiletés nouvelles de pensées. Les dirigeants d'entreprisessont désormais parmi les partisans de ces nouvelles approches de procéder en matière de pédagogie. Les entreprises et les industries se sont déjà rendu compte que la nouvelle culture du travail qui se manifeste par la collaboration, l'innovation, la contribution, la maturité et la loyauté, exige que nous modifions notre perception de l'apprentissage et, par conséquent, la façon d’enseigner. Voilà brossé à vision globale, le contexte dans lequel nous nous situons. 2- Le triangle du savoir 3- Vers la pédagogie inversée ? 4- Epilogue
La classe inversée Pour parcourir le contenu de ce webdocumentaire, cliquez dans le bandeau sur : Les thèmes, pour voir un parcours thématique parmi les vidéos du webdocumentaire Les épisodes, pour voir l'ensemble des vidéos de tous les épisodes Interviews, pour voir les interviews des "regards extérieurs" Echanger, pour interagir avec les participants En savoir plus, pour accéder à des ressources complémentaires Activités, pour démarrer un projet avec le numérique Pour parcourir le contenu de ce webdocumentaire, cliquez dans le bandeau sur : Les thèmes, pour voir un parcours thématique parmi les vidéos du webdocumentaire Les épisodes, pour voir l'ensemble des vidéos de tous les épisodes Interviews, pour voir les interviews des "regards extérieurs" Echanger, pour interagir avec les participants En savoir plus, pour accéder à des ressources complémentaires Activités, pour démarrer un projet avec le numérique
Jésus serait né en moins 7 avant lui-même, ou pourquoi nous devrions fêter l’année 2024 Depuis le XVIIe siècle, et les calculs de Johannes Kepler, on sait que la date théorique de la naissance de Jésus est probablement fausse, de sept années. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Breteau Sans la décision arbitraire d’un moine du VIe siècle, nous serions en fait en 2024 et non pas en 2017, selon les calculs de l’astronome allemand Johannes Kepler (1571-1630) publiés en 1614 dans De vero anno quo æternus Dei Filius humanam naturam in utero benedictæ Virginis Mariæ assumpsit (que l’on pourrait traduire par « Au sujet de la véritable année où le Fils éternel de Dieu a pris nature humaine dans le sein de la bienheureuse Vierge Marie »). Doutant des dates établies par ses prédécesseurs concernant l’an 1, Johannes Kepler se concentre sur « l’étoile de Bethléem », citée dans la Bible comme l’astre annonçant aux rois mages la naissance de Jésus, même si une étoile dans le ciel ne peut pas indiquer un lieu précis sur Terre. Une date arbitraire depuis le VIe siècle