Top 10 reasons why Darth Vader was an amazing project manager Darth Vader (Wikipedia photo) The Sith Lord Darth Vader, of Star Wars fame, often gets a bad rap, particularly in what we all think of as his ‘dark years.’ From a certain perspective his mass murder, brutal oppression, and frequent deception to serve his own ends makes him seem like a pretty bad guy. In the name of finding silver linings in dark clouds, I’d like to present the top 10 reasons why Darth Vader was an amazing project manager. Number 9: Vader made decisions based on objective data, not whims. Death Star II (Via Wookiepedia) Number 7: Vader took time to re-charge, relax, and get some perspective. Lando Calrissian Number 6: Vader managed risk and expectations…pre-emptively. Number 5: Such a persuasive fellow. Viper Probe Droid (Via Wookiepedia) Number 4: Vader picked a methodology and stuck with it…until it didn’t work. Number 3: No problem is too big to tackle. Number 2: It is never too late to do the right thing. that have questionable moral consequences. TIE fighters
L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative Une étude récente a montré que le travail de groupe “affaiblit la créativité et les capacités intellectuelles”. Ça n’est pas une surprise, car les conditions habituelles du travail collectif génèrent davantage de craintes que de confiance mutuelle, libérant au passage toutes les expressions lourdingues de l’égo, frein majeur au travail collaboratif. La presse s’est emparée un peu vite de l’affaire avec un poil insuffisamment de nuance, et voue le travail collaboratif aux gémonies au profit d’un individualisme au blason soudainement redoré. Je m’étais agacée sur mon blog personnel (café-journal du 28 mars) de ces conclusions hâtives, en particulier dans l’Express, qui échouaient à poser les bonnes questions. Car il ne s’agit pas de dire “arrêtons de travailler à plusieurs” mais de réfléchir à: Qu’est qui, dans notre façon de travailler à plusieurs, génère des résultats aussi désastreux? Je profite de l’occasion pour revenir sur ce sujet et développer un peu ma pensée.
Smarter-Than-the-Usual-Stupid-Interview Questions for Managers to Ask Job Candidates - Human Workplace In this story I gave job-seekers alternative answers to the usual boring, uncreative job-interview questions. Here are ten questions interviewers can ask job-seekers if they want to avoid the awful, traditional job-interview questions like “Where do you see yourself in five years?” and “What’s your greatest weakness?” The best interview questions, of course, are organic ones that spring from a standard conversational opening like “So, what can I tell you about the job as we get started? Still, even if you turn the tables in the way we teach at Human Workplace, and encourage the job-seeker to ask you questions for as long as s/he wants to, you’re eventually going to have to ask a few questions of your own. Don’t treat the job interview like an oral exam. Here are ten thoughtful questions you can ask applicants the next time you have a job opening to fill. What’s the project or accomplishment in your working life so far that best illustrates how you operate?
Mon bureau, ma bataille de Super Ego. Les projets “nwow” ont la cote. Nos entreprises sont envahies par de nouvelles façons de travailler, des environnements de travail dynamique, du flexdesk ou autre espace de co-working. Et si ces nouveaux agencements spatiaux sont a priori séduisants, ils se heurtent souvent un opposant de taille : le manager. J’ai un bureau donc j’existe. Les nouveaux environnements de travail, cela fait déjà presque14 ans que la Belgique les pratique. Aucun secteur n’est épargné. Malheureusement, l’effet magique des premières semaines dans nouvel environnement vie s’estompe rapidement. Alors, je vous le demande. La taille n’a pas d’importance. Car c’est bien là que réside là clé du succès d’un projet de transformation de l’environnement de travail qui modifiera en profondeur nos habitudes de travail. Et puis, un peu d’humilité, que diable. Allo maman, bobo? Certes, avec un peu d’empathie, on peut imaginer le désarroi de ces managers sans bureau. Place à l’égalité des bureaux. Les Super héros de demain
Kill Your Performance Ratings Evidence is mounting that conventional approaches to strategic human capital management are broken. This is particularly true for performance management (PM) systems—the appraisal approaches in which employees (working with their managers) set goals for the year; managers interview others who have worked with them and write up an appraisal; employees are rated and ranked numerically; and salary, bonus, and promotion opportunities are awarded accordingly. A 2013 survey by the Society for Human Resource Management asked HR professionals about the quality of their own PM systems; only 23 percent said their company was above average in the way it conducted them. Other studies uncovered even more disdain. According to the Corporate Executive Board (CEB), a management research group, surveys have found that 95 percent of managers are dissatisfied with their PM systems, and 90 percent of HR heads believe they do not yield accurate information. How Your Brain Responds to Performance Rankings 1.
Portrait robot de l'entreprise du futur: durable dans l'instable Cet article est le premier d’une série dont la publication s’étalera sur plusieurs mois. Comment caractériser le monde économique de demain ? En se contentant d’extrapoler, on pourrait insister sur trois aspects. Ce sera un monde ouvert, où l’accessibilité croissante des technologies permettra à de nouveaux acteurs d’investir des secteurs jadis protégés ; par conséquent une forme d’instabilité s’imposera. La fin de l’avantage compétitif ? Même les secteurs jusqu’ici épargnés par la vague numérique commencent à s’inquiéter. La seule certitude, c’est l’aventure, au sens étymologique du terme : ad venturus, ce qui va arriver. L’entreprise du futur risque fort d’évoluer dans un monde où l’ « avantage compétitif », fondement du succès depuis la fameuse théorie de Michael Porter, sera devenu une notion largement caduque. Ce qui est arrivé à Kodak est désormais un cas d’école, porteur d’une leçon ambiguë : le succès d’un modèle d’affaires est source de fragilité. Le mouvement perpétuel ?
Les pratiques managériales les plus innovantes du monde Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ? Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" Si les outils évoluent, les paradigmes managériaux demeurent inchangés depuis un siècle. 1.
L'entreprise du futur - 2 - L'avènement de l’ultra client Cet article est le deuxième d’une série dont la publication s’étalera sur plusieurs mois. Le Cluetrain Manifesto de 1999 s’ouvre sur ces phrases prophétiques : « Les marchés en réseau commencent à s’organiser plus vite que les entreprises qui les ont traditionnellement ciblés. Grâce au web, ces marchés deviennent mieux informés, plus intelligents et plus demandeurs en qualités, qui font défaut à la plupart des entreprises. » Et les auteurs du manifeste embraient avec cette formule devenue fameuse : « Les marchés sont des conversations ». La dynamique de l’échange, ou les marchés comme conversation L’intuition de 1999 est devenue la clé de bien des stratégies commerciales, notamment depuis que les réseaux sociaux ont donné aux clients une possibilité inédite de s’exprimer. D’ici quinze ou vingt ans elle pourrait tout simplement être la base de toute relation commerciale bien comprise. Deux tendances se dessinent. Le prosommateur deviendra un ambassadeur de la marque. Garder la main ?