La musique joyeuse renforce la créativité Vous cherchez à booster votre créativité? Eh bien, écoutez de la musique «heureuse»! Telle est la conclusion d’une étude publiée le 6 septembre, dans la revue Plos One. Au vrai, une pléthore d’études scientifiques s’est déjà intéressée aux effets de la musique sur nos facultés cognitives. Confirmant, globalement, cette intuition de Platon: la musique «donne une âme à nos cœurs, des ailes à la pensée, un essor à l’imagination». Lire aussi: Le bruit est à la fois allié et ennemi du cerveau «La créativité peut être considérée comme une des compétences clés du XXIe siècle», relèvent les deux auteurs, Simone Ritter, de l’Université Radboud (Pays-Bas), et Sam Ferguson, de l’Université de Sydney. Les chercheurs ont recruté 155 participants, dont 121 femmes (moyenne d’âge: 22,5 ans). Augmentation de la flexibilité de la pensée Les participants ont d’abord écouté durant quinze secondes la pièce musicale de leur groupe (ou le silence). Lire également: Les goûts musicaux gèlent-ils à 33 ans?
Les mille effets de la musique Mendelssohn : la mélodie de l'altruisme Certaines musiques rendent-elles généreux ? D'autres égoïstes ? Les psychologues Rona Fried et Leonard Berkowitz, de l'Université de New York, ont fait écouter à des étudiants trois types de musiques : une musique calme, une musique stimulante et une musique jugée « désagréable ». La musique calme était Songs without Words, Opus 19 n°1 en Mi mineur et Opus 38 n°4 en La majeur de Felix Mendelssohn ; la musique stimulante était un air de Duke Ellington (One o'clock jump) et la musique perçue comme désagréable était Meditations de John Coltrane. Après l'audition, chaque étudiant pouvait rentrer chez lui, mais au moment où il s'apprêtait à le faire, l'expérimentatrice lui annonçait qu'elle avait un service à lui demander : il s'agissait de l'aider à réaliser un travail commandé par un professeur de l'université ; elle prétendait avoir très peu de temps, et sollicitait de l'aide pour se tirer de ce mauvais pas. Musique douce : antidouleur
45% des clients abandonnent leur panier si l'expérience on line est mauvaise Je m'abonne Selon une étude commanditée par l'éditeur des plateformes d'interactions en temps réel LivePerson, 69% des consommateurs disent rester fidèles à une marque si celle-ci lui fournit une assistance humaine en cas de problème au moment de sa commande en ligne. Les marques se retrouvent donc face à un enjeu important dans la mesure où un consommateur sur cinq passe 50% de son temps en ligne à faire du shopping. En parallèle, 82% précisent que leur perception de la marque s'améliore lorsqu'ils peuvent bénéficier du tchat en temps réel. Lors de la visite en ligne, certains instants sont plus déterminants que d'autres. - Lorsque le consommateur a une question spécifique sur un produit ou un service qu'il désire acheter (42%) - Au stade de précommande, un quart (26%) des sondés déclarent avoir besoin du plus d'assistance possible lorsqu'ils se connectent à leurs comptes - L'instant précis de la commande s'avère également important pour 35% des sondés Méthodologie de l'étude :
Pourquoi écouter des musiques extrêmes est-il un besoin vital ? Depuis la nuit des temps, les musiques violentes ont permis à l’homme de s’émanciper tout en sortant de lui-même. Plongée dans l’histoire des contre-cultures, quelque part entre exutoire, transe, et catharsis.Par Julien Moschetti « Et que la grosse caisse cogne sur les quatre temps ! Le journaliste Ariel Kyrou* avait trouvé les mots justes pour dresser le portrait-robot du hardcore. « Les fans de hardcore sont à la recherche de sensation extrêmes, confie le musicologue Guillaume Kosmicki, fin connaisseur des free parties. “Les fans de hardcore vont à la limite de l’audible pour atteindre une dimension identitaire très intime.” Un phénomène de surenchère sonore et de saturation des sens que l’on retrouve dans toutes les musiques dites violentes : hardcore, gabber, breakcore, punk, skin rock, death et black metal, rock et rap hardcore… « Ces musiques extrêmes donnent accès à quelque chose de très intime dans le corporel, précise le sociologue Jean-Marie Seca. Richard Wagner, un mec hardcore
Pourquoi la musique nous fait du bien Elle apaise nos angoisses, favorise la concentration, stimule la mémoire, facilite l’apprentissage du langage… On sait depuis longtemps que la musique adoucit les mœurs. Aujourd’hui, les scientifiques expliquent pourquoi. Erik Pigani Sommaire Une demi-heure de musique classique par jour : c’est obligatoire pour tous les enfants de Floride, aux Etats-Unis. En France, l’action bénéfique de la musique n’est pas totalement inconnue. Autre expérience étonnante réalisée dans le métro de Newcastle, en Angleterre : les responsables de la sécurité des stations ont remplacé la diffusion de musique rock par du baroque. Les sons font réagir nos cellules Pour comprendre comment la musique agit sur nous, il faut savoir qu’elle n’a rien d’immatériel et ne passe pas directement des instruments à notre cerveau. Des vibrations qui soignent
Le marketing expérientiel La valeur de l'expérience Ni la marque, ni le produit ne génère de la valeur pour consommateur : c’est l’expérience de l’individu qui apporte de la valeur. Comprendre ce qui résulte de l’interaction entre l’individu et l’objet au cours de l’expérience devient un enjeu majeur. Holbrook (1999) propose, dans cette perspective, une typologie des valeurs de consommation à partir de trois dimensions. La première dimension est l’orientation. Elle oppose l’orientation vers soi et l’orientation vers autrui. Toute expérience de consommation est susceptible de produire de la valeur et une expérience de consommation donnée peut générer des valeurs différentes selon les individus. Les enjeux du marketing expérientiel se situent au niveau des valeurs produites par l'expérience de consommation. Les limites du marketing expérientiel Le marketing expérientiel n’établit pas toujours nettement la distinction entre aspects expérientiels de la consommation et l’expérience de consommation. Richard Ladwein
, le magazine n°45 L’autisme toucherait 700 000 personnes en France. Ce trouble du développement entraîne, dès la petite enfance, un spectre de manifestations variées qui lui donnent son nom : "trouble du spectre de l’autisme", ou TSA. Destinés à évoluer tout au long de la vie selon une "trajectoire développementale" qui diffère d’un individu à l’autre, les signes du TSA, quand ils sont gênants, sont susceptibles d’être influencés positivement par des programmes d’éducation et de rééducation, ou des thérapies innovantes. L’enjeu, aujourd’hui, est multiple. Avant toute chose, il faut diagnostiquer précocement un terrain caractéristique d’un TSA. Lire le magazine Courir en musique Sur quelle chanson ou quelle musique préférez-vous courir ? Certains, comme notre chroniqueur Yves Boisvert, se laissent emporter par les notes de Jean-Sébastien Bach. D'autres préfèrent du rock pesant ou héroïque, du heavy, du hip hop, du techno, du dance, du disco et plus rarement, de l'opéra et des chants médiévaux. Histoire de renouveler la liste de votre lecteur MP3, voici les palmarès soumis par nos lecteurs. Rock This Party, de Bob Sinclair: «Un classique! Même si je la trouve quétaine - pour l'entendre un peu trop souvent dans les arénas -, il reste que cette pièce à un rythme entraînant et motivant parfait pour la course. «Je cours depuis seulement un an et dans mon ipod, il y a les suggestions du général Rick Hillier, qui avait raconté dans un article de l'Actualité qu'il courait sur du ABBA. «Lorsque je rentre dans une période plus difficile de mon parcours de course, les chansons de Cypress Hill me donnent le petit coup de pouce de motivation pour continuer. - Anonyme Voilà!
L’expérience client XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer “Def : L’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat. Connaissez-vous l’expérience client ? L’expérience client. A l’origine de l’engouement : une double réalité. Changer la transaction en relation A l’origine de l’efficacité du concept : son caractère subjectif, comme spécifié par le dictionnaire du marketing qui définit l’expérience client comme étant “l’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat – pendant et après – d’un produit ou d’un service”. Seule différence avec le passé : celles-ci dépendent de plus en plus d’éléments périphériques aux produits ou services vendus. En charge de la prospective chez Blackandgold, Cécilia Tassin confirme. D’autant plus efficace lorsqu’elle est assortie d’une dimension sensorielle.
Maladies neurodégénératives : Dansez ! Bougez ! Si les maladies neurodégénératives touchent au moins un tiers de la population européenne, très peu de solutions médicamenteuses sont proposées. À ce jour, aucun traitement n’existe pour stopper l’évolution des deux plus fréquentes, la maladie d’Alzheimer et celle de Parkinson. En attendant, les chercheurs se tournent vers des solutions originales pour améliorer la prise en charge des patients, préserver leurs fonctions le plus longtemps possible et leur apporter une petite source de plaisir. Avec près de 900 000 personnes souffrant de démences de type Alzheimer en France, cette maladie est aujourd’hui au centre des préoccupations. Vient donc l’idée de proposer une activité physique adaptée capable de favoriser implicitement le mouvement et de pallier ces troubles moteurs.
Comment la musique modifie notre cerveau ? Les observations cliniques en neurologie ont suggéré dès la fin du XIXe siècle que notre cerveau présentait une réponse singulière à la musique, notamment au regard des capacités liées au langage. C’est à la fin du XXe siècle, avec la révolution de l’imagerie cérébrale, que l’étude des effets de l’écoute et de la pratique musicale a pris soudain une autre dimension... Pourquoi s’intéresser aux liens entre musique et cerveau ? Il y a des questions fondamentales qu’on aimerait mieux comprendre, savoir si la musique implique ou pas des endroits du cerveau spécifiques, savoir si on a un centre cérébral de la musique, si la musique est indépendante du langage, et si on peut identifier un réseau cérébral critique pour cette fonction musicale. Comment l'apprentissage de la musique peut avoir des effets collatéraux avec d’autres fonctions cognitives, en particulier avec la mémoire ? Notre cerveau est une éponge qui s’imbibe de suggestions. Une conférence enregistrée en 2014.
Son rêve: "enchanter" les clients, les consommateurs et les utilisateurs Vous en avez assez des hot-lines injoignables, des services après-vente incompétents, des livraisons-fantôme ? Le forum de "l'expérience-client" a pour but de recenser les meilleurs initiatives permettant de résoudre ces points noirs et, au-delà, de faire du processus de vente un acte "enchanteur" -pour reprendre l'adjectif favori de Guy Kawasaki, ex-apôtre de l'expérience-client chez Apple. Le forum a lieu du 10 au 12 septembre à La Baule et Manuel Jacquinet, organisateur de l'événement et directeur de la rédaction de En-Contact, le magazine de la relation-client, nous en explique les enjeux. Vous organisez le forum de "l'Expérience client": ce terme est à la fois très connoté "marketing" et semble aussi très vague... En fait, "l'expérience client" mesure la différence entre ce à quoi le client s'attend quand il achète un produit ou un service, et ce qu'il ressent en réalité lors de l'achat. En tout cas elles en sont de plus en plus conscientes. Non !