Les jeunes face aux réseaux sociaux. Il faut savoir que beaucoup des jeunes sont touchés par l’influence des réseaux sociaux de nos jours. En effet, une enquête publiée par le réseau EUKidsOnline , réalisée sur 25 000 jeunes de 25 pays européens, montre que 77% des jeunes ayant entre 13 et 16 ans ont au moins 1 réseau social et, 38% des jeunes ayant entre 9 et 12 ans en ont aussi au moins 1. Mais d’un pays à un autre les moyennes changent : Ainsi, 70% des 9-12 ans admettent avoir un réseau social aux Pays-Bas contre seulement 25% en France… 15% des jeunes ayant entre 9 et 12 ans déclarent avoir plus de 100 amis sur Facebook, or, en Hongrie 47% des jeunes dans la même tranche d’âge admettent avoir plus de 100 amis sur un réseau social. Afin de mieux comprendre pourquoi les jeunes utilisent linternet, nous avons contacté Pierre Mercklé, un sociologue spécialisé dans l'étude des réseaux sociaux. • Comment les pratiques culturelles et les loisirs se transforment-ils au cours de l’adolescence ?
L'influence des médias sur la société L'influence des médias a pris une place considérable, ils représentent un pouvoir indéniable dans la société mondiale d'aujourd'hui. Cette puissance se traduit par leur capacité à fixer les modes de pensée de la société. Je serais tenté de dire à "façonner les modes de pensée", néanmoins leur influence est plus subtile et se limite dans un premier temps plutôt à "définir l’ordre du jour" et donc indirectement d’orienter la pensée. Ils peuvent définir l’ordre du jour des questions politiques, sociales et économiques mais également détruire la réputation d'une organisation, une personne ou un groupe de personnes. Dans la société d'aujourd'hui, les médias contribuent à l'émergence de valeurs pour que l'individu les accepte comme valable. Les médias contribuent largement à fixer les modes de pensée, à déterminer en grande partie les idées, les habitudes et les coutumes.
L’adolescent et les réseaux sociaux : quels impacts psychiques ? The Conversation France travaille en partenariat avec l'émission de vulgarisation scientifique quotidienne « La Tête au carré », présentée et produite par Mathieu Vidard sur France Inter. L'auteure de cet article, Angélique Gozlan, a parlé de ses recherches dans l'émission du 20 mai 2016 avec Aline Richard, journaliste science et technologie pour The Conversation France. Réécoutez leur intervention, à 15'30". Il y a quelques jours, une jeune femme de 19 ans se suicidait en direct sur Périscope. Le fait divers de Périscope tend à diaboliser les réseaux sociaux en pointant les effets néfastes de ceux-ci, tant du point de vue de l’acteur que du spectateur. Pour se construire, tout adolescent a besoin de se mettre en image au-devant de soi, de paraître et de se montrer. Expressionnisme adolescent Très souvent, la surface interactive de ces réseaux sera le support à « l’expressionnisme adolescent », pour reprendre Philippe Gutton. Quelle différence avec l’expression adolescente classique ?
Rôle et Objectifs du CPE dans l’évaluation des élèves 1Le rôle du conseiller principal d’éducation dans l’évaluation est un sujet qui relève davantage de l’interrogation que de la certitude. D’abord par sa diversité, le rôle du conseiller principal d’éducation ne se réduit pas au champ de l’évaluation des élèves. Cependant, le décret n° 89-730 du 11 octobre 1989 fait entrer les conseillers d’éducation dans l’évaluation des élèves à côté des personnels enseignants. Faire une place aux conseillers principaux d’éducation dans l’évaluation des élèves, permet d’interroger le concept d’évaluation. 2Historiquement, il y a longtemps que les notations scolaires ont été critiquées, mais la notion complexe d’évaluation ne s’est exprimée qu’à la lumière de la docimologie, qui va progressivement confirmer contre les illusions objectivistes, la relativité de la notation. 3La psychologie travaillera également en faveur de l’évaluation en pointant les dommages d’ordre psychologique dus à sa dureté. 6Que signifie évaluer ? 7Qu’est-ce qu’évaluer ? 33Comme C.
L'influence des médias sur la société Cette puissance se traduit par leur capacité à fixer les modes de pensée - je serais tenté de dire à "façonner les modes de pensée" - néanmoins leur influence est plus subtile et se limite dans un premier temps plutôt à "définir l'ordre du jour" et donc indirectement d'orienter la pensée de la société. Ils sont une puissance parce qu'ils ont les outils et les mécanismes qui leur donnent la possibilité d'imposer l'ordre du jour ; conditionnant ainsi le comportement des autres pouvoirs. Ils peuvent définir l'ordre du jour des questions politiques, sociales et économiques, mais également détruire la réputation d'une organisation, une personne ou un groupe de personnes. C'est surtout à travers cet aspect que l'on peut les considérer comme une véritable puissance : par leur capacité à faire, mais aussi à détruire la réputation d'une entité. Dans la société d'aujourd'hui, les médias contribuent à l'émergence de valeurs pour que l'individu les accepte comme valable.
3 inconvénients des réseaux sociaux - Communication Stratégies Les réseaux sociaux sont devenus beaucoup plus qu’un phénomène de société : il s’agit désormais d’un grand forum mondial, un outil de communication touchant aussi bien les particuliers que les sociétés. Les entreprises voient à travers les réseaux sociaux une source de publicité sans limite. Pour autant, on verra qu’intégrer ces réseaux n’est pas une idée toujours des plus inspirées. La gestion du réseau social Premier argument : le réseau social lui-même. Intégrer un réseau social suppose d’être réactif ! Si vous n’êtes pas assez réactif, le consommateur ou le client ne s’intéresse pas à vous. Détournement de la marque Deuxième argument : le détournement. Eviter le risque de bad buzz Troisième argument : le fameux bad buzz. Voici donc trois arguments qui ne sont pas là pour vous dire « ne venez surtout pas sur les réseaux sociaux » mais de vous faire réfléchir et de nuancer l’avis suivant : « Internet, c’est le pays de Candy ».
L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Vie privée Références
L'influence de la télévision sur les enfants L’influence de la télé sur les enfants dépend de plusieurs facteurs : le nombre d’heures passées devant le petit écran, leur âge, leur personnalité, le fait de regarder la télé seuls ou avec des adultes et enfin les discussions qu’ils auront ou non avec leurs parents sur le contenu visionné. Afin de minimiser les effets potentiellement négatifs de la télé, il est important de comprendre l’influence que cette dernière peut avoir sur les enfants. Vous trouverez ci-dessous de l’information relative à certaines préoccupations. La violence Au cours des deux dernières décennies, des centaines d’études ont évalué l’influence des contenus violents sur les enfants et les jeunes. Les chercheurs ont identifié trois réactions possibles chez les enfants exposés à du contenu violent : Accroissement de la peur Les enfants, en particulier les filles, sont plus susceptibles que les adultes d’être représentés comme victimes de violence à la télé. Les effets sur le développement de l’enfant Le contenu sexuel
LES RÉSEAUX SOCIAUX : avantages et inconvénients | lesnordiques2 Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Myspace sont apparus depuis seulement quelques années et l’on peut déjà parler d’une utilisation massive par les jeunes et moins jeunes. En effet 80% des 18-29 ans sont inscrit et suivent des réseaux sociaux et 61% des 30-49 ans font de même. Ces réseaux comportent des avantages indéniables, comme de pouvoir retrouver des amis de longue date et de maintenir contact avec eux, de pouvoir garder et trouver des contacts professionnels, de pouvoir partager son opinion ou des questionnements avec différents groupes de gens. La beauté des réseaux sociaux, s’est de pouvoir partager de l’information facilement et gratuitement avec des milliers d’internautes. Il est maintenant facile de trouver des discussions sur des milliers de sujet et de pouvoir y participer en quelques clics. Mais ce partage si facile de l’informations et de nos opinions peut devenir un inconvénients. Sources : Aimer : J’aime chargement… Cette entrée a été publiée dans Uncategorized.
Colloque « Sauver les jeunes des médias sociaux ? » - Sciencesconf.org Mercredi 22 novembre Session 1 - Ambivalences dans les usages des médias sociaux 9H45 Beatrice Guillier Grande sœur, modèle, star : la YouTubeuse et les adolescentes, entre influence normative et potentiel émancipateur. Les YouTubeuses sont souvent accusées par les médias traditionnels de prôner un mode de vie consumériste et superficiel auprès de leur jeune public. Pourtant, la relation d’une spectatrice à ces nouvelles influenceuses se révèle plus complexe qu’une question d’imposition des normes. Traditional medias often accuse female YouTubers of promoting a consumerist, superficial lifestyle among young people. Principales références : Monnot Catherine (2009). Pasquier Dominique (2005). Radway Janice (1984). Béatrice Guillier est doctorante à l’École des hautes études en sciences sociales. Diaporama Beatrice Guillier 10H15 Anne Cordier S’informer aujourd’hui : Pratiques et regards de jeunes sur l’information et le paysage médiatique Cordier, Anne (2015). Lahire, Bernard (2007). Funk, J.