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Accueil - Entropie

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Des étudiants font de l’impression 3D de graines et de terre Des étudiants font de l’impression 3D de graines et de terre Des étudiants Slovènes ont adapté une imprimante 3D à une source bien étonnante : un amalgame de terre, d’eau et de graines qui permet d’imprimer des objets ou des formes dont émergera la vie… Quand on suggère l’impression 3D, la plupart des gens pensent au plastique comme matière première de ces machines. C’est pourtant là une des très nombreuses possibilités qu’offre cette technologie. En effet, si une imprimante papier ne peut pas se passer d’encre, l’impression 3D s’adapte par nature à de très nombreux matériaux allant du traditionnel polymère (à éviter tant que possible) aux amalgames de bois, de matières recyclées, de métaux mais aussi… de terre ! Cette étonnante expérience nous vient de Maja Petek, Tina Zidanšek, Urška Skaza, Danica Rženičnik et Simon Tržan, un groupe d’étudiants de l’Université de Maribor en Slovénie. C’est, en effet, le caractère organique du système qui retient surtout l’attention.

Thingiverse - Digital Designs for Physical Objects Linkedage : personne âgée échange place en maison de retraite à l’étranger Et pourquoi pas après tout ? Pourquoi des personnes âgées encore bien portantes et indépendantes ne profiteraient pas de la vie pour aller se balader un peu à l’étranger ? Voici un très beau projet né en Slovénie : baptisé Linkedage (les liens de l’âge, pourrait-on traduire), ce nouveau concept doit permettre à une personne âgée vivant dans une maison de retraite de partir quelques jours à l’étranger dans une maison de retraite similaire et échangeant sa place avec un autre résidant… Le concept est assez simple. La personne âgée s’inscrit sur le site Linkedage (en français) moyennant la somme de 60 euros, ce qui lui permet d’avoir accès aux offres des autres aînés qui souhaitent « changer de vie » pendant quelques jours.

Le Traitement du Bambou - Chalet & Bamboo Pourquoi est-il important de traiter le bambou ? La longévité naturelle du bambou est plus faible que pour le bois et dans la plupart des cas, elle n’est pas assez longue pour une durée de vie rentable. La durée de vie d'un bambou non traité peut varier entre 1 et 15 ans selon les conditions, selon la variété, s’il est en contact avec l’eau et le sol, sous abri, l’humidité ambiante etc. En raison de l'absence de substances toxiques, les bambous forment une source de nourriture prête à divers d'organismes. La présence d'amidon dans le bambou vert ou sec, rend le bambou attrayant pour ces organismes, en particulier les champignons et les insectes. Comment traiter le Bambou ? Les méthodes de traitement du bambou sont de 2 types : Les méthodes traditionnelles ou non chimiques et les méthodes chimiques. Méthodes traditionnelles ou non chimiques : Méthodes de traitement chimiques : Les conservateurs chimiques sont utilisés pour protéger les produits en bambou de la dégradation.

Maya Pedal - Pedal Powered Machines in Guatemala MEUBLES ET CARTON - Technique Une technique à la portée de tous et qui demande peu d’investissement. Mais attention ! on se laisse facilement prendre au jeu….. Cutter de bonne qualité, lame de 18mm voire de 27mm pour les grosses épaisseurs On peut aussi utiliser la scie sauteuse pour couper plusieurs formes identiques Ciseaux Equerre à talon Papier de verre Pistolet à colle Pinces de bricolage Réglet acier Mètre ruban Crayon gomme Pinceaux divers( colle, vernis, peintures…) Carton ondulé simple, double ou triple cannelures (on peut utiliser du carton de récupération) Colles diverses :colle à chaud, colle à tapisserie, colle vinylique à bois… Bande de kraft gommé de différentes largeur avec une éponge dans un petit bac à eau. La structure des meubles est constituée de pièces de carton emboîtées grâce à des fentes opposées ou collées à la colle à chaud puis consolidée avec des bandes de kraft gommé appliquées sur toutes les intersections de carton.

Vers un design libre - Christophe André est designer militant. Au cours de ses études en école d’ingénieur, on lui demande un jour de concevoir un objet ayant une durée de vie limitée. Cette confrontation à l’obsolescence programmée, au cœur du système de production, axera par la suite sa recherche artistique. Il quitte le monde des ingénieurs pour celui des Beaux-Arts, où il entame une réflexion sur l’autoproduction et ce nouveau mode de diffusion des objets : le “design libre”. Une pratique et une pensée à contre-courant. Je me suis interrogé sur la conception des objets telle qu’elle prévaut dans notre société consumériste, et sur ce que j’aimerais qu’elle soit dans l’idéal. J’ai appris à forger. Pour lever cette abstraction, j’ai décidé de fabriquer les objets dont j’ai besoin plutôt que de les acheter. Production autonome, production hétéronome : un équilibre à atteindre Il n’y a pas d’opposition entre les modes de production hétéronome et autonome mais une complémentarité. Du consommateur au prosommateur

février 2012 Nous avons 2 chats dans la famille et c'est toujours un peu la galère quand nous nous absentons un WE ou + pour les nourrir. Obligé d'embêter un voisin ou un amis et de prévoir cela des jours à l'avance. J'ai récupéré dernièrement un moteur de plateau de four à micro-ondes et j'ai un arduino nano qui traine, cela devrait me permettre de faire un bon distributeur automatique pour nos 2 chats. Le moteur d'un micro-onde est interessant: 4W en 220V (facile à cabler), rotation très lente (exactement ce qu'il me faut) et une sécutité intégrée au bloc moteur: si on bloque le mécanisme, la rotation s'inverse. Moteur que l'on peut trouver dans un micro-onde. Cablage et vissage super facile pour toute sorte de bricolage Du coté de l'arduino, malgré sa petite taille (4 X 1,5 cm), il offre 14 E/S digitales et 8 entrées analogiques. - contrôler le moteur (1 sortie digitale) - mettre 3 boutons de contrôle (3 entrées digitales) - mettre un écran LCD 2X16 ( 6 sorties digitales) Arduino Nano

Manifeste du design libre Un article repris du siteNod-A et publié sour une licence cc by sa nc Dans La culture de marché d’aujourd’hui, les designers doivent s’en remettent aux éditeurs pour exprimer leur créativité. Les éditeurs, qui ont le pouvoir de controler tous les aspects du produit sont les geoliers de la créativité, décidant ce qui devrait offert aux consommateurs et de quelle manière. Cette situation trouve ses racines dans le système éducatif ou l’on apprend aux designers à canaliser leur créativité dans des scénarios de production industrielle et à accepter que les éditeurs aient le droit de réguler le design et de l’endoctriner par leurs valeurs et finalités. Les approches nouvelles et les points de vues alternatifs sont marginalisés car ils ne se conforment pas aux dogmes de l’église du design industriel. L’open design ou design libre est une proposition répondre à ce défi. *** Le design libre est basé sur deux principes :

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