untitled recitus | Église et l’État entre 1763 et 1840 113 Abonnés, 11 Documents Mise en situation Le 8 juin 1760, alors que les combats font rage en Nouvelle-France, Mgr de Pontbriand meurt. Au moment où la Grande-Bretagne s’empare de la colonie, l’Église n’a donc plus d’évêque. Or, les conquérants ne sont pas de religion catholique, ce qui menace la survie de cette institution. Opérations intellectuelles visées situer dans le temps et dans l’espace mettre en relation des faits Consignes Observe les documents historiques ci-dessous. Technologie Utilisez Wordle afin de créer un nuage de mots avec toutes les phrases résumées produites par les équipes de la classe. Ce dossier est également disponible en version Documents Google.
Serment du test Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Serment du Test (1673 - 1828) était un serment qui assujettissait tous les fonctionnaires et officiers anglais et qui avait pour but d’exclure les catholiques de toutes les charges administratives. Ainsi, ceux qui professaient la religion de Rome ne pouvaient pas obtenir d’emplois de l’État ou d’organismes officiels, tout comme ils ne pouvaient pas être membres d’un jury. Celui qui prêtait ce serment devait déclarer par écrit qu'il ne reconnaissait pas l’autorité du pape, ni ne croyait à la transsubstantiation qui est la transformation du pain et du vin en corps et en sang du Christ lors de la consécration pendant la messe catholique[réf. nécessaire]. En 1678, on ajouta à la formule du Test la réprobation du culte de la Vierge et des saints comme étant une idolâtrie. Le serment du Test est aboli en 1828 dans le reste de l'Empire britannique.
untitled untitled Grosse Île : une page d'histoire du Canada Le Canada, « terre d'accueil, terre d'espoir ». C'est ainsi qu'était perçu notre pays par les millions d'immigrants venus d'Europe s'y installer au cours des siècles derniers. Mais avant de pouvoir rentrer sur le territoire canadien, les immigrants avaient un passage obligé : celui de Grosse Île, qui servait de station de quarantaine. Visite guidée. Un photoreportage de Catherine François Au 19e siècle, et jusqu'à la moitié du 20e, plus de 4 millions d'immigrants provenant de 60 pays ont transité par le port de Québec, qui était alors le 5e port en importance dans le monde. Pour peupler l'ouest du Canada, on allait chercher des hommes, des femmes et des enfants en Europe, occidentale ou de l'Est, et jusque dans les pays scandinaves. Grosse Île, cette île perdue au milieu du fleuve Saint-Laurent, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Québec, était donc l'endroit où ces immigrants étaient placés en quarantaine. Avant 1870, c'était la théorie des miasmes qui prévalait.
untitled untitled untitled untitled Louis Hébert (pionnier) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Devenu adulte, Louis Hébert exerce au « Mortier d'or » sur l'Île de la Cité près du Louvre la profession d'apothicaire-épicier, comme jadis son défunt père Nicolas Hébert, lorsque, marié en juillet 1602 et père d'un premier enfant (Anne, née en 1603), le désir lui prit, à l'âge de presque 30 ans, de connaître le Nouveau Monde, où l'avenir pourrait s'avérer plus doux et plus prometteur qu'à Paris ou ailleurs en France, pour une jeune famille et dans la profession. Louis Hébert fut membre de « l'expédition sans femme ni enfant » [2] de Pierre Dugua de Mons, partant en 1606 joindre l'expédition commencée en 1604 pour un premier séjour en Acadie, avec Jean de Poutrincourt, son cousin par alliance, de petite noblesse et partenaire ami de ce Dugua. En 1607, la perte du monopole de Dugua de Mons les força tous à rentrer en France. Fait prisonnier comme les autres, Louis fut ramené en France. Premiers colons de Québec Samuel de Champlain
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