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Bande dessinée

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La Grande Guerre au miroir de la bande dessinée Nombreux sont aujourd’hui les récits dessinés qui évoquent le premier conflit mondial et certains critiques vont même jusqu’à parler d’une nouvelle écriture de la guerre en bande dessinée, voire d’un sujet à la mode. Pourquoi la Grande Guerre intéresse-t-elle autant les auteurs de bandes dessinées ? Qu’elle soit réaliste, humoristique, fantaisiste, et quelles que soient les époques (de Bécassine1 à la série Le Cœur de Bataille2 ), la bande dessinée se manifeste comme un véritable laboratoire d’imageries mémorielles de la Grande Guerre. Or loin des illustrés d’époque et depuis Tardi avec C’était la guerre des tranchées3, qui fait figure de classique fondateur - comment les dessinateurs se sont-ils emparés d’un tel sujet ? Peut-on aujourd’hui parler d’un renouveau de la Représentation de la Grande Guerre en bande dessinée ? L’attrait pour la Grande Guerre

Editions Seuil Jeunesse Un livre hommage aux poilus, avec des images violentes et réalistes, pour dire la guerre là où les mots ne sont plus. Une minute de silence à nos arrières grands-pères courageux. Cette minute de silence correspond aux conditions presque réelles de lecture de l’album. Le livre s’ouvre sur cette confidence : « Chère Adèle, il n’y a plus de mots pour décrire ce que je vis. » S’ensuit une série d’illustrations saisissantes, réalisées au pastel dans des tons sépia, dénonçant l’atrocité de la guerre, sa solitude, les peurs et angoisses qu’elle génère, ses dommages, et ses morts.

La Première Guerre mondiale en BD : « Carnets 14-18 » Quatre histoires de France et d'Allemagne de la Première Guerre mondiale dans une bande dessinée. L’éditrice Julie Cazier qui vit depuis 15 ans à Cologne s’étonne de la différence de traitement, côté français et côté allemand, du Centenaire de la Grande Guerre. Alors que dans l’Hexagone, les commémorations ont été préparées plusieurs années à l’avance, les médias d’outre-Rhin ne s’intéressent que maintenant à cette période. Julie Cazier, qui est également politologue et mère de famille, a eu par ailleurs l’impression que personne n’essayait vraiment d’expliquer aux jeunes d’aujourd’hui ce que fut la Première Guerre mondiale. Elle a donc eu l’idée de raconter dans une bande dessinée l’histoire de deux jeunes Français et de deux jeunes Allemands, bien représentatifs de la vie militaire et civile d’alors, qui ont écrit soit un journal intime en 14-18 soit leurs mémoires plus tard.

Jean-Yves Le Naour Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Yves Le Naour, né le à Meaux, est un historien français. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Yves Le Naour est docteur en histoire[1], spécialiste de la Première Guerre mondiale et de l'entre-deux-guerres. Son ouvrage Le Soldat inconnu vivant a été traduit en anglais[2], en coréen et en suédois[3] ; il a fait l'objet d'une adaptation documentaire pour la télévision par Joël Calmettes[4] et au théâtre en Grande-Bretagne à l'initiative de Sébastian Armesto. la première guerre mondiale dans la bande dessinée sélection bibliographique C’était la guerre des tranchées, 1914-1918 / scén. et dessin Jacques Tardi. - Casterman. Suite de courtes histoires sur le quotidien sordide de la vie dans les tranchées de la première guerre mondiale. Beaucoup d’albums de Jacques Tardi mettent en scène la Première Guerre mondiale.

A 18 ans demandons l'impossible : mon journal de mai 68, Adeline Regnault, Casterman, 2018 Un excellent roman, qui par la forme du journal nous fait vivre, au jour le jour, les événements de Mai 68. Nous suivons la vie de Madeleine, venue à Paris suivre des études à la Sorbonne. Elle évoque au départ ses relations avec ses parents, le conformisme de sa mère et son désir d'être reconnue comme adulte à une époque où la majorité est à 21 ans.

Témoignage et engagement... l’Holocauste en bande dessinée Depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à nos jours, les productions plastiques qui traitent de la Shoah surprennent par leur diversité et leur originalité : roman graphique, comics de super-héros, manga, caricature, bande dessinée classique… Cette dernière fait l’objet d’une exposition Shoah en bande dessinée, tabou ou totem ? au Mémorial de la Shoah (jusqu’au 30 octobre 2017), qui rassemble plus de 200 planches dont énormément d’originaux et quelques œuvres numériques. Et pourtant, la bande dessinée a mis du temps pour s’emparer entièrement de la Shoah, délaissant pendant de nombreuses années le sort des Juifs en faveur d’une mise en scène de la libération des camps. "Après la guerre, il y a une médiatisation sur la libération des camps, puis une sorte de tabou.

Demandons l'impossible, Hervé Hamon (éd. du Panama, 2008) Vous n’étiez pas encore nés en 1968 ? Ou vous avez peut-être oublié ce qu’était la vie de chacun en mai 68 ? Hervé Hamon vous propose de suivre les heurs et malheurs d’une famille aux prises avec le quotidien de l’Histoire comme de l’histoire avec un tout petit « h », comme la mienne, comme la vôtre (ou peut-être pas d’ailleurs…). Une époque, une famille : Le fil rouge choisi, et la couleur correspond parfaitement aux tendances de l’époque, c’est la mère, personnage carrefour, repère pour tous mais qui va profondément changer de statut au cours de la traversée d’une époque pas comme les autres. Au début du roman, Mélina Duvergnon (la mère) se retrouve dans une séance de libre échange, entourée d’autres anciens, comme elle.

Il y a 50 ans : mai 68 ! - Eric Alary - Larousse - - Librairie Le Failler RENNES Il y a 50 ans, la France s'enflammait. Il y a 50 ans, le Quartier latin à Paris se couvrait de barricades, et des ouvriers bloquaient les usines. Le pays entier s'immobilisait alors que la société changeait profondément. Mai 68 est un moment clé, fort, fondateur de notre histoire politique, culturelle et sociale.

Seconde Guerre mondiale dans la bande dessinée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. BD dans les pays en guerre[modifier | modifier le code] La Seconde Guerre mondiale est intéressante, à bien des égards, puisqu’elle a touché tous les pays dans lesquels la bande dessinée existait : les États-Unis, Le Japon, la France et la Belgique. Ce conflit a été traité de manières différentes selon le rôle joué pendant ces années terribles. Propagande au service de l’Oncle Sam[modifier | modifier le code] Le vainqueur américain ne s’embarrasse d’aucune nuance dans la description des faits et dépeint ses ennemis sans ambages.

Hors-champ (lycée) Lorsque la première guerre mondiale éclate, la famille de Jole, Alias Jolanda, installée en Autriche depuis quatre ans, est obligée de rentrer chez elle, en Italie, dans le Frioul. Mais en ces temps difficiles, le travail manque, les hommes sont sur les nerfs et les bagarres fréquentes. Le père et le frère aîné sont bien vite envoyés sur le front pour combattre les Autrichiens. Le plus jeune des frères et son ami Sandro, amoureux de Jolanda, décident quant à eux de devancer l’appel. Imaginations historiennes Recensé : Marie Panter, Pascale Mounier, Monica Martinat et Matthieu Devigne (dir.), Imagination et Histoire : enjeux contemporains, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2014. 328 p., 20 €. Croisant les approches historiennes, littéraires et cinématographiques, l’ouvrage collectif Imagination et Histoire cherche autant à faire le point sur les très nombreuses réflexions épistémologiques qui traversent la discipline depuis la fin des années 1970, qu’à les renouveler. Évitant de revenir frontalement sur des problématiques liées à la mise en intrigue du passé, au rapport à la fiction ou à la falsification de l’histoire [1], il a pour principale originalité de placer au centre de l’investigation le rapport à l’imagination [2]. Celle-ci est tour à tour considérée comme une propriété intrinsèquement liée à l’écriture historienne de l’histoire ou comme une capacité propre aux réalisateurs, metteurs en scène, écrivains et autres artistes, qui expriment un point de vue sur le passé.

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