Infographie : la France rattrape son retard dans le commerce en ligne
Une part significative des Français qui achetaient des produits en ligne a délaissé en 2014 ce mode d'achat pour revenir en magasin dans certaines catégories. Le cabinet PwC présente les résultats de sa 4ème étude internationale sur le e-commerce, menée dans 19 pays auprès de 19 000 cyberacheteurs. Par rapport à 2013, la France est en cours de rattrapage sur les autres pays avec +14% de nouveaux acheteurs en ligne en 2014 et une progression du nombre d'acheteurs assidus : 24,6% achètent au moins une fois par semaine sur le web en 2014 vs 16,8% en 2013 (+7,8 points). Cette proportion demeure cependant faible par rapport à l'Allemagne (36%), le Royaume-Uni (41%) ou encore la Chine (76%). Le retard de l'Hexagone est également visible pour les achats réalisés sur les devices mobiles : 33% des web-acheteurs français ont fait au moins un achat sur smartphone vs 48% dans le monde. Sur tablette, la proportion est de 38% vs la moyenne mondiale à 46%. En savoir plus sur Offremedia.com
colloque 2014 - COLLOQUE E-MARKETING
Nom des auteurs : Laurent ARNONE et Élodie DEPRINCE Titre: Le rôle des réseaux sociaux dans l'internationalisation des petites entreprises Mots clés : Petites entreprises, réseaux sociaux, internationalisation, relations, étude de cas, marketing Résumé : Cet article analyse le rôle des réseaux sociaux dans l’internationalisation des petites entreprises. Outre la possibilité de communiquer à moindre coût, l’étude de cas multiples montre que l’exploitation de ces outils facilite voire, accélère, l’internationalisation des entreprises étudiées en favorisant l’identification de nouvelles opportunités d’affaires et le développement des relations personnelles avec les acteurs étrangers. Nom des auteurs : Soffien BATAOUI et Jean-Luc GIANNELLONI Titre: Présence sociale sur les sites marchands :Limites du concept d’atmosphère des sites marchands et apports potentiels du concept d’hospitalité virtuelle Nom des auteurs : Amira BERRICHE et Daphné SALERNO l’usage d’animations ?
Multicanal, cross-canal, omnicanal
Introduction Le terme multicanal est un néologisme qui renvoie à plusieurs notions : du point de vue de l’entreprise, il fait référence à la multiplication des canaux de contact entre une entreprise et ses clients ou ce qui nous intéresse ici à la juxtaposition par un distributeur de plusieurs canaux de distribution. Par ailleurs, selon les auteurs, les termes de multicanal ou multicanalité et multicanal ou multi-canaux sont utilisés dans des contextes similaires. Pour les chercheurs qui se sont intéressés à ce sujet le « multicanal » est aujourd’hui une évidence tant dans les comportements d’une majorité de clients que dans les organisations des distributeurs, qu’il s’agisse des plus grandes enseignes de la distribution ou de commerçants indépendants qui se mettent au multicanal à moindre frais pour capter un public plus large ou prolonger la relation client. Certains travaux mettent l’accent sur l’intérêt mais aussi les difficultés inhérentes au multicanal. I. 1) Avantages du multicanal
La Redoute dévoile les dessous de son futur... - Textile, habillement
Lequel site trouvera place à 300 mètres seulement de la plateforme actuelle de La Martinoire. Un déménagement en réalité tout sauf superflu. Pensez donc : dans la situation d’aujourd’hui, pas moins de cinq sites dispersés – certes dans un petit périmètre mais quand même – pour des capacités de traitements limitées à 160.000 références et, in fine, un délai nécessaire de… deux jours pour préparer et expédier les colis. Un non-sens à l’heure de la livraison en « J+1 »… Traiter les commandes en deux heures et non plus deux jours Demain, avec le site de Wattrelos, on oublie tout cela, enfin. « Nous sommes fiers de pouvoir présenter ce nouveau site, se réjouit Nathalie Balla, co-présidente de La Redoute. Semi-automatisé, « il permettra de traiter plus de 300.000 références simultanément et de préparer les colis dans un délai de deux heures après la commande », indique ainsi Patrick Fitzner, directeur de la logique de La Redoute. Une enveloppe de 50 millions d'euros allouée
Commerce connecté : les tendances 2014
Points de vente physiques, smartphones, tablettes tactiles, ordinateurs... les différents canaux de vente subissent une nette abolition de leurs frontières dans l'esprit - et dans les usages - des consommateurs, lorsqu'il s'agit d'effectuer un achat. Ces évolutions entrainent diverses conséquences, l'une d'entre elles étant de faire baisser le taux de transformation moyen des magasins. Le commerce est désormais connecté, et cette réalité implique d'en connaitre les orientations, afin d'en exploiter au mieux le potentiel. Dans la 3e édition de son baromètre consacré à l'expérience marchande connectée, l'agence DigitasLBI révèle plusieurs tendances notables. La plupart des acheteurs plébiscitent toujours l'ordinateur pour leurs achats online La première touche à l'influence croissante du smartphone sur un acte d'achat. Le ROPO progresse, le showrooming stagne La principale raison pour laquelle un achat n'est pas réalisé en magasin est le prix. Le magasin perd de son influence
Pepsi True, en vente en exclusivité sur Amazon
La guerre des sodas à la stévia, cet édulcorant naturel au léger goût de réglisse qui remplace partiellement le sucre, est déclarée. En Europe, quelques années après le petit "David" français (et breton) Breizh Cola, l'un des deux "Goliaths" du marché, Coca-Cola, a lancé en septembre en Grande-Bretagne et en Suède (avant une arrivée en France début 2015), Life, son coca à la stévia. 30% de sucre de moins qu'un Coca-Cola classique et seulement 89 calories. Avec son packaging vert, le Coca-Cola Life se démarque de la traditionnelle couleur rouge des canettes de Coca-Cola. Dans la foulée, Pepsi, le concurrent de Coca-Cola annonçait qu'il lançait en décembre une "nouvelle" version de Pepsi Next. Recette inchangée mais le packaging de ce soda à la stévia jusqu'ici bleu et blanc devrait virer au vert. En France, en 2013 les ventes de Pepsi Next ont dépassé les cinq millions d'exemplaires et "booster" le chiffre d'affaires de PepsiCo en France de 8%.
Des paysans court-circuitent la grande distribution en créant leur supermarché | Mr Mondialisation
Des paysans court-circuitent la grande distribution en créant leur supermarché Encore une belle alternative, venue de la région lilloise : afin de s’opposer à une chaine de grande distribution cherchant à s’implanter dans leur région au détriment des circuits courts déjà existant, une poignée de paysans s’allient pour créer leur propre point de vente en circuit court. Talents de ferme est né. L’Union fait la ferme A Wambrechies, près de Lille, une enseigne de grande distribution annonce son intention d’implanter un second supermarché dans la commune, qui comporte pourtant déjà un réseau de vente en circuits court bien implanté. Des produits fermiers vendus directement par des agriculteurs : quoi de plus logique ? Nos douze paysans lancent donc l’association « l’Union fait la ferme », soutenus par la commune et le Civam Nord-Pas de Calais (Centres d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural, proche de la Confédération Paysanne) Un parcours semé d’embuches
Monter un réseau de distribution : Quand efficacité rime avec adaptabilité
Ceux qui m’ont déjà lue auront compris, je suis amenée à beaucoup voyager dans le cadre professionnel et je réside à l’étranger depuis pas mal d’années. Je vais aujourd’hui partager avec vous une anecdote qui illustre assez bien le titre de cet article. Cette anecdote-ci, m’a été racontée par un ami récemment rencontré lors d’un voyage en Asie. Mon ami en question, anglais, avait été mandaté par le ministère laotien de la santé pour monter un projet d’assurance maladie, une sorte de couverture santé locale. Après plusieurs mois de travail entouré d’une équipe de laotiens et d’occidentaux, le projet voyait le jour, l’assurance santé était prête et il ne restait plus qu’à informer la population laotienne de son existence afin de générer les adhésions. Des caisses comme celles que vous voyez dans l’illustration ci-dessous sont livrées dans tous les villages, quelle que soit leur situation géographique et de façon très régulière. En fait, un business plan digne de ce nom est simple.