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Max Weber

Max Weber
Maximilian Carl Emil Weber (Alemán: [ˈmaks ˈveːbɐ](Erfurt, 21 de abril de 1864 – Múnich, 14 de junio de 1920) fue un filósofo, economista, jurista, historiador, politólogo y sociólogo alemán, considerado uno de los fundadores del estudio moderno de la sociología y la administración pública. Pero, con un marcado sentido antipositivista. A pesar de ser reconocido como uno de los padres de la sociología, Weber nunca se vio a sí mismo como un sociólogo, sino como un historiador;[1] para él, la sociología y la historia eran dos empresas convergentes. Sin embargo, sobre el final de su vida en 1920, escribió en una carta al economista Robert Liefmann: "Si me he convertido finalmente en sociólogo (Porque tal es oficialmente mi profesión), es sobre todo para exorcizar el fantasma todavía vivo de los conceptos colectivos(. Sus trabajos más importantes se relacionan con la sociología de la religión y el gobierno, pero también escribió mucho en el campo de la economía. Biografía[editar] Max Weber.

Marxismo Marxismo El marxismo es el conjunto de movimientos políticos, sociales, económicos y filosóficos derivados de la obra de Karl Marx, economista, filósofo y periodista revolucionario alemán de origen judío,[1] quien contribuyó en campos como la sociología, la economía, el derecho y la historia, y de su allegado Friedrich Engels, quien le ayudó en muchas de sus teorías. Engels acuñó el término socialismo científico para diferenciar el marxismo de las corrientes socialistas anteriores englobadas por él bajo el término socialismo utópico. También se emplea el término socialismo marxista para referirse a las ideas y propuestas específicas del marxismo dentro del marco del socialismo. Las raíces filosóficas del marxismo[editar] Primera edición del Manifiesto del Partido Comunista. Marx tuvo dos grandes influencias filosóficas: la de Feuerbach, que le aportó y afirmó su visión materialista de la historia, y la de Hegel, que inspiró a Marx acerca de la aplicación de la dialéctica al materialismo.

Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupe une place importante dans la réflexion contemporaine. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code] Hannah Arendt naît à Hanovre en 1906. Fuite hors d'Allemagne et exil aux États-Unis[modifier | modifier le code] Dernières années[modifier | modifier le code]

John Milton Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Milton. John Milton Œuvres principales John Milton (1608 - 1674) est un poète et un pamphlétaire anglais, célèbre pour être, en particulier, l’auteur de plusieurs poèmes épiques, Le Paradis perdu, Le Paradis retrouvé et Samson Agonistes, et aussi de sonnets. Né en 1608 à Londres, alors dans le royaume d'Angleterre, il fréquente de prestigieux établissements, St Paul's et Christ's College, Cambridge. À la victoire puritaine du Commonwealth de l'Angleterre, il est nommé Secrétaire d'État aux langues étrangères, poste qui le conduit à gérer l'image du nouveau régime auprès de l'étranger. Lors de la Restauration, il est arrêté et emprisonné à la tour de Londres pendant quelques semaines, mais se voit assez rapidement libéré. Il meurt le 8 novembre 1674. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Milton pamphlétaire[modifier | modifier le code] Milton plus âgé

Raymond Aron Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aron. Raymond Aron Philosophe occidental XXe siècle Raymond Aron (à gauche) en 1966. Raymond Claude Ferdinand Aron, né le 14 mars 1905 à Paris et mort le 17 octobre 1983 à Paris, est un philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste français. Pendant trente ans, il est éditorialiste au quotidien Le Figaro. Il garde néanmoins tout au long de sa vie un ton modéré. Famille[modifier | modifier le code] Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Cette fortune a permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire des études. Études[modifier | modifier le code] En 1928, il est reçu 1er à l'agrégation de philosophie, alors que Sartre est recalé à l'écrit, avant d'être à son tour reçu 1er l'année suivante, et avec un total de points supérieur à Aron l'année précédente[13]. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Libéralisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le libéralisme est une doctrine de philosophie politique qui affirme la liberté comme principe politique suprême ainsi que son corollaire de responsabilité individuelle, et revendique la limitation du pouvoir du souverain. Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux naturels précédents toute association et qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social, telles que la morale, au profit du libre choix et de l'intérêt de chaque individu indépendamment des autres[1]. La question de l'articulation entre « libéralisme économique » et « libéralisme politique » reçoit des réponses variées[2],[3],[4]. Présentation générale[modifier | modifier le code] L'individu est au centre du libéralisme. Les différents courants au sein du libéralisme[modifier | modifier le code]

Karl Marx Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Marx. Karl Marx Philosophe occidental Époque contemporaine Karl Marx en 1875 Il est connu pour sa conception matérialiste de l'histoire, sa description des rouages du capitalisme, et pour son activité révolutionnaire au sein du mouvement ouvrier. Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale à Trèves, devenue le musée Karl Marx. Études[modifier | modifier le code] Engagement[modifier | modifier le code] À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel. Le journal d'opposition Rheinische Zeitung[modifier | modifier le code] Au début de 1842, certains bourgeois libéraux de Rhénanie, en contact avec les hégéliens de gauche, créent à Cologne un journal d'opposition au clergé catholique, la Rheinische Zeitung (« Gazette rhénane »).

Friedrich Engels Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Engels Friedrich Engels, né le 28 novembre 1820 à Barmen (une ancienne ville devenue aujourd'hui l'un des quartiers de la ville de Wuppertal) et mort le 5 août 1895 à Londres, est un philosophe et théoricien socialiste allemand, grand ami de Karl Marx. Après la mort de ce dernier, il assure, à partir des brouillons laissés par son auteur, la rédaction définitive et la publication des livres II et III du Capital. Biographie[modifier | modifier le code] Marx et Engels. D'une situation industrieuse à la situation de la classe laborieuse[modifier | modifier le code] Il est issu d'une famille d'industriels, son père ayant fait fortune dans l'industrie du textile. En 1842 il s'installe en Angleterre, à Manchester, et travaille dans une société industrielle où son père a des intérêts. Rencontre et révolution[modifier | modifier le code] En juillet 1845, Engels propose à Marx un voyage en Angleterre. Il meurt à Londres en 1895, sans enfant.

Trotskisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trotskisme (l'orthographe trotskysme étant également utilisée) peut faire référence : aux idées de Léon Trotski (ou Trotsky), militant communiste révolutionnaire russe, dirigeant aux côtés de Lénine de la Révolution russe de 1917, exclu du Parti communiste de l'Union soviétique en 1927 et banni de l'URSS en 1929 après la victoire de Staline incarnant, selon lui, la bureaucratie russe parasitaire ;à une partie des courants se réclamant du communisme révolutionnaire et opposés au stalinisme, regroupés en 1938 au sein de la Quatrième Internationale. Les trotskystes, critiquent la dérive bureaucratique stalinienne. Idées générales[modifier | modifier le code] Les trotskistes se réclament du communisme révolutionnaire, et des idées de Karl Marx, de Friedrich Engels, de Lénine, et bien sûr de Léon Trotski. Les organisations trotskistes se réclament du communisme révolutionnaire et veulent mettre fin au capitalisme.

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