background preloader

» Clash Asselineau/Salamé : la journaliste roule pour l’OTAN…comme son papa

» Clash Asselineau/Salamé : la journaliste roule pour l’OTAN…comme son papa
INFO PANAMZA. Samedi, sur France 2, François Asselineau a qualifié Léa Salamé d'"ambassadeur de l'OTAN": une telle expression pourrait également s'appliquer au père de la journaliste. Décryptage. Le 22.09.2014 à 14h11 Les lecteurs de Panamza connaissent les dérapages de Léa Salamé. Samedi dernier, la journaliste n'a pas commis de bévue : elle s'est contenté de dévoiler un pan de l'idéologie atlantiste qui semble l'animer. Face à François Asselineau, président de l'Union Populaire Républicaine, Léa Salamé a fait preuve, comme à son habitude, de pugnacité. Abordant la question du maintien de la France au sein de l'OTAN, la chroniqueuse politique a ainsi fait mine d'assimiler le refus d'Asselineau sur le sujet à de "l'anti-américanisme primaire". A priori, Léa Salamé n'exerce pas la fonction de porte-parole de l'OTAN et n'a pas d'accointances officielles avec la mouvance atlantiste. La fille de son père? Prenons l'exemple de Léa Salamé. Sa spécificité? Cet article vous a intéressé?

Union Populaire Républicaine Le Pentagone se prépare à une rupture civile de masse Un article paru dans le journal britannique « The guardian » : le Pentagone se prépare à une rupture civile de masse Le journal The Guardian – plutôt classé à gauche sur l’échiquier politique britannique – s’est fait une spécialité, depuis maintenant plusieurs années, d’ouvrir ses colonnes et son site Internet à ce qu’il est convenu d’appeler des whistleblower (traduit approximativement par « lanceurs d’alerte » en français). C’est-à-dire à des citoyens ordinaires (fonctionnaires, chercheurs, universitaires,…), qui décident d’informer le grand public d’un danger ou de dérives dangereuses ou criminelles qu’ils ont pu constater dans leur métier, en interpellant les pouvoirs en place et en suscitant la prise de conscience de leurs contemporains. S’inscrivant dans cette ligne éditoriale, The Guardian a publié voici quelques jours – le 12 juin 2014 sur son site Internet – un long article de Nafeez Ahmed, universitaire et journaliste spécialiste de la sécurité internationale.

= L'HISTOIRE VRAIE = IL Y A 50 ANS, LE 6 JUIN 1964, CHARLES DE GAULLE REFUSAIT DE COMMÉMORER «LE DÉBARQUEMENT DES ANGLO-SAXONS»

Related: